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Elles (les IST) se transmettent lors de relations sexuelles (rapport anal, vaginal ou oro-génital). Depuis quelques années le nombre de personnes atteintes d'infections sexuellement transmissibles (IST) augmente.

Le caractère peu symptomatique ou asymptomatique des IST favorise leur transmission à l'insu des personnes porteuses.
La plupart d'entre elles se soignent facilement mais, non traitées, elles peuvent entraîner de graves complications

- L'épidémie de syphilis affecte notamment les homosexuels et bisexuels masculins. Cependant, le nombre de cas chez les hétérosexuels augmente également
- L'infection à chlamydiae trachomatis (CT) est l'IST bactérienne la plus fréquente chez les femmes, surtout entre 16 et 24 ans. La contamination passe inaperçue chez 60 à 70 % des femmes.
- La blennoragie gonococcique ou « chaude-pisse ». Entre 2004 et 2005, le nombre moyen de gonocoques isolés par laboratoire a connu une hausse de 50 %.

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Sortir du Sida ?

Collaborant étroitement avec eux, le Professeur Jacques Leibovitch (co-découvreur du virus du Sida), et son équipe, en l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (Assistance Publique de Paris), ont affiné les traitements, de telle sorte qu’ils ouvrent l’espoir de sortir du Sida.

Les lobbies mandarinaux, et les laboratoires pharmaceutiques, sont-ils si puissant pour pouvoir dresser un tel mur d’ignorance et de bêtise, face aux travaux, de ces hommes de science ?

Nouvelle interview , mais d'une sommité du milieu médical français cette fois ( enfin ! ), le pr Jacques Leibovitch.
Que dit-il ?
Ce que les lecteurs assidus du forum aufeminin, à peu près le seul en france , ont lu ici sans y croire d'abord, parce que aufeminin a eu le courage de me publier malgré les demandes de censure il y a 2 ans.
Leibovitch dit :
1/ les séropositifs sous traitements ne sont plus contaminants
2/ le discours et la politique de prévention actuelle fondée sur le seul préservatif n'est plus du tout adaptée.
Les raisons qu'il avance sont exactement les mêmes que les miennes quant à la necessité de tout revoir, absolument tout.
Il dit encore ( et ça m'interpelle ), que tous les milieux medicaux savent et que le grand public ne sait pas...

Ce que Leibovitch ne dit pas :
pourquoi l'évidence de cette politique nouvelle a été bloquée et les mises en cause possible contre tous les gens qui savaient ( dont lui ?.....) , car l'occultation aux malades a entrainé des contaminations chez leurs partenaires.

Comme je ne doute pas un seul instant que mes anciennes adversaires représentantes de personnes contaminées continuent à lire ici de temps à autres, si elles étaient dans l'impossibilité psychologique de me croire ou d'investir un peu plus mes affirmations, obsédées qu'elles étaient à punir un partenaire "coupable" à leurs yeux, comme elles n'ont pas été indemnisées la plupart du temps et vivent dans la précarité, on verra si elles mesurent aujourd'hui les nouvelles possibilité qui s'ouvrent à elles, quand elles le désireront, pour obtenir des indemnités un peu plus substancielles en portant de nouvelles plaintes .....et accessoirement en faisant avancer le dossier !

Car de leur action ou non dépend l'accélération du recul du sida avec la mise au rancard du baratin habituel et contreproductif qui sévit de façon accoutumée dans les media. Le grand public ne sait pas la vérité su rles moyens non utilisés d'en finir avec le sida en moins de deux ans peut-être, avec la disparition complète et organisée des nouvelles contaminations ( et la fin du préservatif qui va avec , libérant ainsi l'humanité de cette entrave ). Au passage, Leibovitch dit aussi que le préservatif a échoué ( il est presque "pire" que moi à ce sujet ).

Evidemment, le vice va triompher, et les grands labos capitalistes aussi car eux seront venus au bout du sida et pas les zassociations ss au service des foules de miséreux au comportement pur. Il y a des obstacles à la libération, on l'a bien compris !

PS : les associations de séropositifs ne se font pas le relais des dépôts de plainte collective de la part de séropos comme moi car elles sont elles mêmes très gravement compromises dans l'occultation organisée des informations au malade et à leur partenaire ayant entrainé des contaminations dans la période critique ( 1996 - 2008 )

Le préservatif ne suffit plus. Pour ce médecin, il faut entièrement revoir les modes de prévention contre le sida et dépasser le stade du "préservatif", qui n'est plus utilisé de façon assez systématique pour protéger de la contamination. "Les paroles volent, explique-t-il, les contaminations insistent ! Des millions de condoms, vendus, distribués, volés, et des contaminations soutenues, dans des chaînes et des réseaux sexuels ininterrompus. Après vingt-cinq années d’injonctions et de campagnes sur l’usage que l’on aurait dû en faire dans les lieux à hauts risques comme les saunas et les back rooms, là où le speed sexuel aurait pu trouver son écho dans le préserve hâtif, force est de le constater : la balance penche vers la désaffection du groupe pour le transparent hévéatique". Mais alors, comment se protéger contre ce virus qui traumatise le monde depuis plus de 30 ans ?