Années " avant sida " ... un ciné porno près d' une frontière. A l’ étage, la salle homo.
Depuis le matin, j’ ai envie de bites, d’ en avoir dans le ventre, les sentir percer ma rondelle, fouiller mon fourreau, me bourrer le cul et surtout me faire inonder, remplir de sperme.
Je me suis préparé, comme j’ aime : anus, couilles, bite et ventre parfaitement rasés, tout lisses.
Aisselles et tétons épilés, prêts à être sucés.
Un soir d' été, je porte une chemise à manches courtes et un short sans slip dessous ; j' entre dans une très petite salle sombre où se trouvent peut être une dizaine de mecs. Mes yeux s' habituent et je ne vois pas de siège libre.
Je m' appuie contre le mur, devant les deux rangées de sièges, ouvre complètement ma chemise puis fais glisser mon short sur mes chevilles, je passe les pieds, ôte les tongs, c’ est comme si je suis nu.
Ma queue libérée se dresse fièrement à la verticale et je me tourne de manière à être presque de profil et bien la montrer, toute lisse dans la lumière qui vient de l' écran.
J' entends du bruit, un type se lève, je ne regarde pas, me tourne complètement vers l' écran, dos à la salle.
Je ne veux pas voir, je veux offrir ma vulve à des inconnus comme une femelle en rut se donnerait à n' importe quel mâle.
Il vient vers moi, se colle à moi par derrière et, sans se désaper, passe sa queue raide entre mes fesses, la glisse dans ma fente, rudement en me disant : " Tu la veux dans le cul salope ? ", j' adore ...
Je sens le tissu de son pantalon contre mes fesses, le métal de sa braguette ouverte dans ma fente, je ne suis qu' un objet à baiser. C' est ce que je veux.
En même temps, ses mains viennent crocheter mes tétons. Je suis excité à fond et je mouille du cul, je couine :
" Oui ... j' ai envie d' être enculé ".
Je mets les mains vers mon cul, prend mes globes que j’ écarte à fond pour ouvrir ma raie, offrir mon trou que je sens devenir vulve quand sa bite se frotte tout contre.
Je chaloupe et ondule des reins puis, d’ une main, saisis sa bite qui est bien grosse.
L’ autre main me sert à sonder ma rondelle et à l’ ouvrir ; elle est déjà large, détendue, mouillée, prête à être saillie, défoncée.
Je me cambre un peu et vient positionner mon œillet dilaté sur son gros bout.
Je lui dis que j’ ai envie qu’ il me prenne, comme ça, debout, à sec, d’ un seul coup, qu' il me la mette.
Il grogne de plaisir, je bouge, le gland me pénètre et d' un seul mouvement je m’ empale et engloutis son chibre d' une seule poussée, tout entier dans mon boyau.
Ouaaawww, c’ est bon, fort, délicieux d’ avoir la chatte anale percée, violée, envahie, pleine, remplie par ce boudin de chair tout dur.
Sa bite est bonne.
Je gémis : Ouuuui, baise moi, salaud !
Il pince mes seins et me pistonne, vite, fort, brutalement.
Quatre, cinq coups et il jouit en soufflant fort dans ma nuque.
Je sens sa queue au plus profond de mon fondement, secouée par les spasmes de sa décharge ; il éjacule dans mon cul … j’ aime, je jouis presque du cul.
Trois secondes plus tard, il décule, se retire, ne dit même pas un mot et s’ en va.
Je n' ai été qu' un trou à bite, je suis traité comme une salope à enculer et c’ est ce que je veux.
Immédiatement un autre type vient frapper à ma porte arrière et s’ y engouffre en me prenant les hanches
Il a une très grosse bite comme j’ aime et je me tortille pour mieux le sentir dans mes entrailles , je serre mon rectum pour sucer sa bite avec mon trou de cul.
Il grogne, ahane en me baisant et gicle vite aussi en criant.
Cette fois ci l' orgasme anal m' explose le ventre.
Quand il sort de mon cul, je sens le sperme couler, c’ est trop génial.
Je crie : Venez tous me baiser, mon cul est à vous !
Ils n’ hésitent pas et se succèdent.
L’ un ou l’ autre veut me faire bouger mais je résiste, ne veux pas.
Je veux être là, comme ça, debout et être enculé et baisé à la chaîne par des inconnus sans même les voir.
Je n’ ai pas envie de sucer, juste d’ être enculé et longuement sodomisé par le plus de queues possible, d’ avoir plein de sperme dans le cul, de m’ avilir, d’ être un garage à bite, un bac à sperme, que mon trou de cul serve de vide couilles.
Plusieurs doses de jus giclent, jaillissent dans mon cul puis le liquide sort de mon trou et dégouline le long de mes cuisses, de mes jambes jusqu' aux pieds, j’ adore cette sensation.
Le huitième vient de déverser sa semence, de vider ses couilles dans mon fourreau et se retire.
Je passe la main sous mon trou béant, pousse, et plein de jus en sort, déborde de ma main et j' entends le bruit d' une bonne giclée qui tombe sur le sol, forme une petite flaque.
Alors, je me branle, vite et fort avec la main trempée de sperme et de foutre et il ne faut pas deux minutes pour que le mien jaillisse et gicle comme d’ un fontaine.
Je m’ assieds, les jambes flageolantes quand un type qui vient d’ arriver pointe son beau gland devant ma bouche.
Il sent bon la bite, je l' embrasse, l' engobe, le suce et le pompe avidement en le branlant vite et fort car j’ ai soif.
Il essaie de résister, de tenir mais je suis trop fort et il gicle en deux minutes.
Je bois son sperme, c’ est bon.
Je me rajuste un peu puis sors de la salle.
Deux maisons plus loin, il y a un autre ciné homo et j’ y entre avec l' envie et le désir de sucer tout ceux qui voudront de ma bouche pour se satisfaire, d' avaler et de boire tout le sperme qu' on me donnera, en sachant que je finirai dans les toilettes pour me faire arroser de pisse.
Je me sens salope, pute, dépravé, ça m’ excite à mort de faire ça.
Demain, ma pulsion satisfaite, je n’ y penserai plus jusqu’ à la prochaine fois où mon cul se réveillera comme une chatte anale, une chienne en chaleur, avec ce désir, ce besoin irrésistible de bites, de sucer, d' être sodomisé.
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