vassilia.net

Je pensais que l'auteur aurait pris en compte les critiques formulées ici après la publication du Harem
Que nenni, que nenni (mais peut-être ne visite-il pas le forum ?)

Quoiqu’il en soit on retrouve les mêmes défauts dans cette nouvelle série : écriture épaisse, projection sur le papier d'un univers trop personnel (parce que jamais explicité), l'aspect alternatif est faible, l'impact érotique est (AMHA) nul.

C'est dommage car je suis sûr que cet auteur s'il partait sur de nouvelles bases pourrait nous donner de bonnes choses

Framm par Kassariel

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Héhé, zé né zuis bas d’aggord !

J’aime vraiment beaucoup ce qu’il écrit malgré son défaut de répétitions, je trouve qu’il a beaucoup d’imagination, ça sort de l’ordinaire. Et les situations, si elles sont souvent plus psychologiques que physiques, ne manquent pas de sel ni de chaleur…

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« La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent. »
George Bernard Shaw
« des hommes » au sens « êtres humains », hein (sacrée langue française ) !

Quand je dévorais des bouquins de science fiction une chose m'avait frappé et je classais comme ça les écrivains en 3 catégories (grosso modo)

1) Ceux qui ont plein d'idées et qui écrivent bien (Asimov, Silverberg, Bruner, Farmer, Leiber, Priest, Ballard....)
2) Ceux qui écrivent bien mais qui n'ont pas beaucoup d'idées (Sprague de Camp, EC Tubb, Heinlein et d'une façon générale toute l'écurie des space-opéra)
3) Ceux qui ont plein d'idées mais dont le style est un véritable fouilli (Van Vogt, Ph K Dick, Ursula LeGuinn...) et rendent l'exercice de lecture assez proche de la prise de tête.

C'est à cette 3èeme catégorie que me fait irrésistiblement penser Kassariel.

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Quand on est jeune, c'est pour la vie ! (Georges Clemenceau)

Gontran, ton classement est remarquable, je n'y avais jamais pensé comme cela, mais je suis entièrement d'accord avec la manière dont tu les répartis. Et je suis également d'accord pour le classement attribué à Kassariel en précisant que Ph K Dick est pour moi un des tout grand et je mettrais au même endroit sur un pied d'égalité Zelazny.

La description de "l'appartement" me fait penser au 5e élément, (d'accord, ce n'est que du cinéma), mais tout le reste s'inscrit dans l'univers de Ph K Dick avec la présence de Dieux ayant une existence physique que l'on peut retrouver chez Zelazny.

Mais foin des considérations de littérature SF, j'ai tout simplement adoré, une seule chose que je n'ai pas comprise, pourquoi le commentaire pour "la mission" parle t'il de bisex féminine? et pour terminer, c'est un roman de SF avec du sexe, mais si le sexe est important pour l'auteur, tout au moins je le pense, il est quand même accessoire par rapport à l'histoire elle-même. Je ne pense pas qu'il fera un jour exploser le libidomètre.

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Je suis assez déçue. Autant j'avais accroché avec la série précédente autant là pas du tout. Je ne rentre pas dedans sas mauvais jeu de mot. Dommage.

Décidément, je n'accroche pas : après un long texte sans érotisme auquel je n'ai strictement rien compris, on a droit au fantasme classique de la pipe au cinéma qui arrive comme un cheveu sur la soupe où on serait bien en peine de trouver des choses vassilienes.

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

L'atmosphère, la description des lointains étages inférieurs de ce monde, sont bien glauques, bien sordides, comme dans beaucoup de récits de SF "réalistes", ils sont bien décrits et font contraste avec les étages supérieurs luxueux, comme on pouvait s'y attendre.
Pas grand chose de vassilien là dedans, et pour tout dire la séance de pipe au cinéma violente et fort bien décrite arrive comme les cheveux sur la soupe. difficile d'imaginer que dans ce monde ils en soient restés aux superproductions hollywoodiennes

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?