La suite de la suite :
C’ était donc début octobre. Le lendemain de ma rencontre avec Eric, je l’ ai appelé comme convenu afin de nous revoir et il m’ a demandé de se retrouver dans un hôtel anonyme à la sortie de la ville et de ne pas arriver avant l’ heure prévue car il y serait déjà et voulait me faire un surprise.
Quelques minutes avant l’ heure convenue je me suis garé sur le parking à côté de sa voiture et ai reçu un message sur mon portable avec le numéro de la chambre.
Sur la route je n’ ai pas arrêté de bander tout dur en pensant à ce qui allait se passer et la veille au téléphone, je me suis branlé comme un fou en l’ entendant me dire que depuis que je l’ avais défloré, il n’ arrêtait pas de goder sa vulve anale en rêvant que je la suce et y fourre ma bite.
Il me dit aussi qu’ il s’ est parfaitement et intégralement épilé pour moi.
De plus, j’ ai avalé une petite pilule magique pour être certain de profiter au maximum.
Bref, je suis tout chaud quand je frappe à la porte et lorsqu’ il l’ ouvre, j’ ai un choc car je le reconnais à peine.
Son visage androgyne est maquillé et comme il a mis une perruque blonde aux longs cheveux bien coiffés, j’ ai pensé pendant un bref instant que c’ était une fille.
Rien de vulgaire ; il a des yeux de biche aux sourcils épilés, des cils allongés et des lèvres pulpeuses et bien dessinées.
Il est torse nu, exhibant son corps tout frêle et complètement imberbe, et n’ a qu’ un porte jarretelles et des bas pour tous vêtements.
Les ongles de ses mains sont vernis et lorsque je baisse les yeux je vois qu’ il a mis des chaussures ouvertes à talons avec des lanières qui lacent les chevilles et qui laissent passer le bout de ses orteils parfaitement vernis aussi.
J’ ai vraiment l’ impression d’ avoir une jeune fille sans seins devant moi et je bande à en faire exploser mon pantalon d’ autant plus que sa magnifique bite est érigée comme une colonne et est collée contre son ventre.
Avec des seins, il ferait une superbe trans !
Des images de souvenirs lointains et fous me reviennent, soit de moments avec des trans soit ceux ou j’ étais moi – même féminisé comme lui.
Il me sourit, ouvre grand la porte et à peine suis-je rentré que je m’ agenouille et m’ empare de son superbe engin pour l’ enfourner dans mon gosier.
Mmmmh, sa queue est bonne, tout est bon : son capiteux parfum de bite, la texture toute douce du gland, le goût de son bonbon mauve où perle une petite goutte de mouille que je lape du bout de la langue, la peau de la hampe, les plis charnus de son prépuce …
Je me gave … j’ embrasse, je lèche, je suce, je respire, frotte tout mon visage avec son gland … je plonge le pal délicieux jusqu’ au fond de ma gorge, je pompe, salive pour l’ inonder, le faire coulisser dans ma bouche dont je fais un écrin de velours … il glisse bien entre mes lèvres et je l’ entends étouffer des gémissements de plaisir comme un petit animal.
J’ arrête ma fellation et ma bouche descend à ses couilles que je pourlèche, embrasse, prends entre mes lèvres , fais rouler sous ma langue tandis que mes doigts caressent les cuisses, le ventre, les fesses … une main va dans la raie qui s’ ouvre pour livrer l’ accès à la rondelle toute lisse, l’ autre s’ occupe de la bite, alternant de légers effleurements du gland, de la couronne avec des prises plus fortes du bout ou même des petits pincements de la peau du prépuce.
Il adore, ses jambes tremblent et il couine quand j’ enfonce un doigt impérieux dans son anus tout en léchant les plis de l’ aine, là où c’ est tout doux.
Il est mouillé, tout ouvert, chaud, accueillant et son fourreau se resserre autour de mon doigt pour le faire prisonnier.
Ouaaaw, j’ adore ça.
Je le retire et le renifle, respire l’ odeur un peu fumée de son cul, plonge le doigt dans ma bouche pour le sucer, y met un deuxième que je mouille avant de retourner à sa corolle et de les replonger dans son boyau qui se donne.
Il crie de plaisir et je meurs d’ envie de lui manger la chatte anale.
Je décide d’ aller sur le lit et je me relève mais, soudain, il approche son visage de fille du mien et vient coller sa bouche sur la mienne.
Je suis surpris, je n’ aime pas du tout ça avec les hommes d’ habitude sauf en de rares moment de folle excitation mais là, c’ est fou, j’ adore comme avec une trans ou comme lorsque j’ étais transformé en fille.
Ses lèvres sont charnues, pulpeuses et lorsqu’ elles s’ ouvrent, j’ ouvre les miennes pour laisser pénétrer sa langue dans ma bouche.
Je ferme les yeux et c’ est comme si j’ échange un baiser passionné avec une jeune femme.
Les langues se mélangent, il aspire la mienne très fort presque à la douleur … je bande à exploser.
Par réflexe, mes mains cherchent des seins et je rencontre ses petits tétons tout durs, épilés comme les miens et je les pelote, les serre, les pince, les tords, les étire, leur fais tout ce que j’ aime qu’ on fasse aux miens que je sens pointer tout sensibles sous ma chemise ouverte.
Il fait la même chose et se met à jouer avec les miens, copiant avec le bout de ses doigts chaque geste des miens.
Il m’ enlève ma chemise tandis que je fais rapidement glisser mon pantalon le long de ma jambes et je coince nos deux bites raides et gonflées entre nos ventres.
Je n’ en peux plus, j’ arrête ces caresses et le pousse sur le lit, couché sur le dos, m’ empare de ses jambes gainées de soie et les relève bien haut.
Ses cuisses sont ouvertes, les fesses sont écartées, la raie est offerte et je peux admirer sa corolle, son abricot que j’ ai déviergé deux jours plus tôt.
- Tiens tes jambes, ma chérie, je vais te bouffer la chatte …
Il me fixe avec un air lascif, me fais un sourire gourmand, vicieux et, comme une femme, il passe ses bras entre ses jambes ouvertes, les relève encore et les écarte à fond pour me donner sa fente.
- Voilà, soupire t’ il je te donne mon cul …
Je plonge en soupirant de bonheur et enfonce mon nez dans sa fleur anale.
L’ odeur m’ explose le cerveau et je hume, respire, m’ enivre de son trou de cul.
Il gémit :
- Oh oui, c’ est bon, oh oui, c’ est bon
Je retire mon nez de ce trou foncé dont les plis m’ excitent à fond ; l’ étoile est un peu ouverte, m’ offrant un aperçu des chairs rouges de l’ intérieur, de l’ entrée du fourreau, du puits de jouissance que je m’ apprête à dévorer et je colle mes lèvres dessus pour aspirer comme une ventouse.
Je plonge ma langue dans l’ étui et je l’ embrasse encore plus fougueusement qu’ il ne l’ avait fait avec sa bouche juste avant.
Son anus devient l’ objet de ma gourmandise la plus folle ; je suis avide de sa chatte anale, de sa mouille, du foutre qui en sort, j’ aspire, je mange les lèvres de son cul, je prends ses chairs en bouche et les mordille.
Il crie de plaisir et pousse comme je lui demande pour en faire sortir le maximum du trou.
C’ est trop bon.
Il crie :
- Encule moi maintenant s’il te plaît, baise moi, bourre ma chatte ….
Une fois de plus, je me retrouve dans la situation inverse de ce que j’ aime car je préfère m’ offrir, être la salope qui donne son cul, mais là, devant cet animal androgyne, je bande comme un âne et j’ ai envie de prendre.
Je me redresse, viens sur lui et il m’ enserre la taille avec ses jambes, comme le ferait une femelle, comme je le fais moi – même quand je me fais saillir.
Ma queue trouve le chemin toute seule et je sens mon gland s’ enficher dans le trou évasé, mouillé, brûlant.
Je sens qu' il est prêt pour être enculé mais je n’ ai pas le temps de penser car il me serre avec bras et jambes, avance son bassin et m’ attire à lui pour que je m’ engloutisse et envahisse sa chatte anale d’ un seul coup.
Je le prends, le mets jusqu’ à la garde, c’ est bon, je crie, il feule.
Ouaaaw, son fourreau est serré autour de ma bite qui le remplit et je commence à le baiser.
Il a relevé ses bras et je lèche, mange ses aisselles épilées, vais téter et agacer ses tétons,
l’ embrasse dans le cou pendant que je laboure son ventre, coulisse dans son con qui fait un bruit de mouille.
Je joue sur tous les rythmes, change les cadences de ma sodomie, je décule puis reviens le mettre sauvagement, adorant sentir mon braquemart se promener entre ses superbes fesses et plonger dans son boyau brûlant.
Tout à coup, il se met à gémir plus fort, son bassin accompagne le mien, il chaloupe, se trémousse, ses jambes se serrent encore plus fort autour de ma taille, s’ accrochent pour me suivre, son ventre se colle au mien … il s’ arque sur le lit comme une femelle et crie qu’ il jouit du cul !
Je sens aussi que du sperme s’ écoule de sa queue et inonde délicieusement nos ventres.
Ses bras m’ enserrent, il revient coller sa bouche à la mienne puis ses doigts viennent crocheter mes mamelons qu’ il pince et tord violemment.
Ma bouche collée à la sienne je ne peux m’ empêcher de crier de douleur et de plaisir car au même moment, je sens mon sperme passer dans ma queue comme de la lave en fusion pour se déverser tout au fond de ses entrailles.
J’ éjacule longuement, décharge plusieurs giclées de jus dans son fondement que je sens palpiter au rythme des spasmes qui agitent mon mandrin tandis que ma semence jaillit.
Mon orgasme est d’ une intensité extraordinaire et je me répands en me couchant sur lui, prenant ses mains dans l’ une des miennes et l’ autre va caresser amoureusement sa croupe pendant que je l’ embrasse en suçant sa langue, à bout de souffle.
J’ ai l’ impression de jouir de tout mon corps puis, lorsque l’ orgasme s’ apaise, que ma queue se retire doucement de son antre, je me fais glisser le long de son corps ; j’ embrasse le dessous de ses bras, sa poitrine et ses tétons, sa peau toute lisse et douce en descendant et ma bouche va laper, lécher tout le sperme qui mouille son ventre et sa bite.
Il est pantelant de plaisir, allongé et je le fais mettre sur son ventre en ouvrant les jambes à fond pour aller amoureusement lui offrir une feuille de rose tendre et passionnée.
Une fois de plus je colle ma bouche à son anus de rêve pour me repaître de ses chairs tendres et boire le mélange de foutre anal et de sperme qu’ il fait sortir en poussant ses lèvres culières.
Je pétris ses fesses, caresse partout, mange sa fente, dévore sa rondelle et il gémit de plaisir.
- Merci ma petite chérie, ton minou est trop bon, je crois que j' ai envie de te baiser toute la nuit ...
- Oh oui, c 'est trop mais je veux te sucer aussi, boire ton sirop.
Ce n’ est que le début d’ une longue nuit …
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