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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : dim. 10 juin 2012, 09:44 
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Voila une suite à mon histoire qui intéresse, semble t-il Mlle, et peut être quelques autres.

La revanche petit roman. Premier chapitre:bavardages autour d’un repas impromptu

Nous voila donc installés pour manger.
Maria a sorti des hors d’œuvre et de la charcuterie du réfrigérateur, un poulet froid rôti, de la mayonnaise et des fromages, ainsi que deux bouteilles de vin de bordeaux.

« - Vous m’étonnez tous les deux dit-elle.
Toi Sylvianne, pour avoir repêché le poisson, ça mijote quelque chose ; et toi au fait quel est ton prénom, tu n’est plus le poisson maintenant ?
- C’est Marc mon prénom ; je comprends ta surprise j’arrive comme un cheveu sur la soupe, alors que je m’étais promis de ne plus remettre les pieds ici.
Mais le temps a passé, je ne compte pas m’incruster ; c’est juste pour dire bonjour, remuer des souvenirs, dire mes impressions ou mes rancunes, cela sur l’insistance de Sylvianne. »

Un moment de silence s’installe nous commençons à manger, pour rompre ce début de gêne , je reprends la parole.

«- Bon, pour parler franchement, je vous ai à l’époque, en pensée bien souvent traitées, de salopes, jolies mais salopes quoi !
- Ah tu vois dit Maria, comme il parle, nous sommes des salopes le mot est méchant heureusement qu’il a ajouté jolies pour tempérer son propos.
- Oui Maria, mais veux tu satisfaire une curiosité d’homme stupide.
As tu eu du plaisir en mangeant le bandit que tu avais rapetissé ? »

En cet instant Sylvianne s’exclame !
« - C’est quoi ça, tu ne m’avais pas dit que tu avais mangé un petit mec.
- Oui en effet j’ai mangé un petit homme, et pour te répondre Marc ce n’est pas en l’avalant que j’ai eu du plaisir, c’était juste marrant de le sentir glisser dans mon œsophage, alors qu’il remuait encore un peu.
- Non, c’est le lendemain quand j’ai chié que psychiquement j’ai été très troublée en pensant à ses petits os qui probablement étaient enrobés de mes excréments. »

Sylvianne, alors se prends à mugir de rire, en postillonnant autour de son assiette des miettes du pâté dont elle avait la bouche pleine.

« - Ho Sylvianne s’il te plait tiens toi bien, dit Maria, tu mange comme une cochonne.
- Oui c’est en chiant le petit homme, que j’ai eu du plaisir, c’est d’ailleurs pourquoi, Marc je t’avais apporté mon excrément sur un plateau, pour en plaisantant te demander de faire une recherche de son squelette. »
« - Ah d’accord je dis, il me semble d’ailleurs que vous êtes toutes deux, les filles, assez adeptes du plaisirs annal, est ce que cela fait vraiment partie de vos jeux amoureux ? »

« -Sylvianne reprends la parole, elle a fini d’avaler son pâté.
- Mais il veut tout savoir le vilain, tu est bien curieux Marc.
- Oh tu sais, je me moque bien du contenu de vos jeux amoureux, quand je ne suis pas concerné vous pouvez faire tout ce que voulez.
- ce que je viens de dire est une constatation, au souvenir des jeux que vous avez toutes deux pratiqué en abusant de ma petitesse, mais je ne veux pas discuter de ce sujet, mes questions ne sont que simple curiosité.
- j’ai cru comprendre, que les divers comportements de maltraitance envers moi, étaient tous prétexte d’une recherche de plaisirs érotiques inédits, ce n’est plus le moment d’en faire le reproche. »

« - Oui de la curiosité dit Maria, mais je me demande si cette curiosité n’est pas un peu autre chose, Marc je reste toujours un peu surprise que tu aie accompagné Sylvianne ici.
- Depuis ton aventure, appelons les choses ainsi ; tu as repris les dimensions d’un homme ordinaire, tu ne pense tout de même pas partager avec l’une de nous, ou nous deux ensemble des ébats amoureux que je sache ?
- Non Maria je ne pense pas à ce genre d’ébats, je t’ai dit je suis passé pour un bonjour en amitié et un peu pour faire la paix avec toi, avec vous deux.
- Il est vrai que vous êtes des jolies salopes, mais de là à en faire un plan cul, voila cela te va ?»

Moi ça ne me déplait pas d’être appelée salope, dit Sylvianne avec un grand rire, je réponds et pourtant tu est bien la plus grosse, toc !

Tout en bavardant ainsi, les hors d’oeuvres sont mangés, et nous faisons un bon accueil au vin de Bordeaux, une des deux bouteilles est déjà vide.

L’appellation jolies salopes, avait créé un léger froid sur cette sympathique réunion, je m’empresse donc de mettre un souffle plus libertaire sur les principes concernant ma vision des choses du sexe.

« - Oh vous savez les filles, je suis pour la liberté des meurs, et je n’ai pas d’arguments rétrogrades, ni de tabous, que chacun, ou chacune, fasse ce qui lui semble bon, à condition de respecter la liberté des autres.
- Oui je sais dit Maria, et nous n’avons pas, respecté ta liberté.
- C’est du passé Maria oublions je n’en fait plus grief, et peut être bien que j’aurais pris du plaisir à vos jeux si j’avais été votre égal et sous condition de ma dimension d’homme normal. »

« -Mais ce ne serait pas la même chose, dit Maria en riant car dans une dimension d’homme normal Marc, tu ne pourrais pas entrer dans ma chatte ou dans mon cul, et pas plus dans Sylvianne.
- Non c’est vrai, je réponds sur le ton de la plaisanterie, dans la normalité je partagerais vos ébats d’une manière plus extérieure.
- Ah tiens donc moi qui croyais te faire subir des supplices je te donnais donc du plaisir !
- Non dans cet état diminué, je n’avais pas de plaisir. »

Nouvelle période de silence; moment de gêne et de questionnements, je garde mon nez dans l’assiette, nous mangeons, nous buvons, chaque regard croisé est bizarre. Après un temps je dis.

« - Je suis bien content de vous avoir revues toutes les deux, et pour ce sympathique repas, qui marque la relation que nous avons eue tous les trois d’un aboutissement bien charmant, je vais donc rentrer chez moi le cœur plus léger, et qui sait, laisser l’avenir au destin. »

Je prends congé, en embrassant les deux femmes sur les joues, le baiser de Judas, je glisse un regard rapide à Sylvianne car je pense qu’elle m’enverra d’autres mails si elle persiste dans ses projets.

A suivre

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 10 juil. 2012, 15:51 
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Deuxième chapitre, l’anniversaire de Maria.

J’attendais un e-mail de Sylviane et il est arrivé ; je ne suis d’ailleurs pas trop intéressé par le projet qu’elle fait de punir sa copine pour une infidélité supposée ou réelle qui évidemment m’indiffère.
En fait c’est de Sylviane que je veux le plus me venger, car ce fut elle qui de ces deux femmes à été le plus incorrecte envers moi, cela même sans raison, si ce n’est de bien s’être amusée.

Dans son mail elle m’écrit qu’elle a préparé Maria au cours de quelques intelligentes conversations ; (comme quoi elle serait donc capable d’intelligence, j’en doute fort !) à renouer toutes deux avec moi une véritable réconciliation, « ben voyons. » Elles fêteront me dit-elle cette semaine l’anniversaire de Maria et c’est à cette occasion qu’elle espère que je pourrai utiliser cette fête pour agir.

En réponse je lui dis qu’elle doit d’abord me détailler clairement ses intentions, je ne lui dis évidemment pas que les miennes peuvent être cruelles, et même plus envers elle.
Utiliser l’une des femmes contre l’autre et inversement, est un jeu délicat qui demande de la finesse, car mon projet ce n’est pas leur plaisir, si elles en obtiennent ce sera tant mieux pour elles, mais je ne perds pas de vue mes envies revanche.

Nouveau mail ; Sylviane dit, qu’il n’est pas nécessaire que je connaisse pour l’instant ses projets, mais elle m’assure que je garderai le contrôle de la situation. Elle m’apprend qu’elle a persuadé Maria, qu’en compensation des supplices que j’ai subit de leur fait, elles pourraient m’offrir si cela m’intéresse, le spectacle de leurs ébats intimes devant moi, et si j’ai envie de les posséder sexuellement elles seraient même consentantes. Pour me rassurer,elle prétend qu’elle me dira où est dissimulée la bague magique afin que je m’en empare pour assurer ma sécurité.

Si je suis d’accord sur le principe de cette séance elle me demande de me libérer pour le week-end, anniversaire de Maria,

Espérant qu’il n’y a pas de piège caché derrière cette proposition, car logiquement ces femmes ont obtenu suffisamment de plaisir en se servant de moi comme d’un jouet ; qu’elles aient maintenant envie de plaisirs non falsifiés me parait concevable, si elles n’ont pas deviné mes envies de revanche.
Je réponds donc favorablement, pour ce week-end.

Le week-end de vérité

Et voila, c’est le week-end de vérité.
Ma stratégie est-elle bonne, je commence à en douter, cette vengeance que je désire sans l’avoir bien préparée pourrait bien se retourner contre moi.
Maria me fait entrer..
« - Bonjour Marc, entre, pose ton sac.
-Merci pour cette invitation, j’apporte une bouteille de champagne, veux tu la mettre au frais. »
Les deux femmes, sont pimpantes et mutines, habillées légèrement en ce début d’été précoce.

Maria reprend la parole.

« - je vais me répéter, vous me surprenez tous les deux, ne seriez vous pas complices ? Sylvianne a plaidé auprès de moi avec une telle vigueur cette rencontre érotique en ta présence pour dit-elle nous faire pardonner les supplices que nous t’avions imposés.
- Il n’y a pas de surprise prévue, je t’assure dit Sylvianne à son amie.
- Oui, oui, je veux te croire, mais c’est quand même irritant que je ne retrouve pas ma bague, méfiez vous, si vous êtes responsables, cette bague est dangereuse il n’y a que moi qui sache s’en servir.
- Je comprends ta suspicion Maria, et je précise pour vous deux, que je pratique une sexualité normale et sans magie, sachez que la magie de la bague ne pourra pas m’atteindre je préfèrerai me tuer sur l’instant.»

Et voila Sylvianne qui pépie comme une perruche.
« - N’ai pas de souci Marc, je te promets d’être honnête avec toi, et si tu veux bien commençons tout de suite.
-Mais Sylviane, tu as été la plus garce, crois tu que je voudrais te faire plaisir.
- Bien sûr Marc t’es un brave mec, Maria nous regarde déshabille moi. »

Il n’y a pas grand-chose à enlever, un petit chemisier dont les pans sont noués au niveau de son nombril, un soutien gorge que je détache, libérant d’énormes seins lourds qui se balancent sous mon nez, une jupe courte à mi-cuisse et un slip brésilien contenant difficilement une toison pubienne exubérante.

« - Regarde, ne suis-je pas belle.
- Elle frétille comme une oie se dandine et pivote dans un semblant de danse, avec ses grosses fesses elle est plutôt cocasse.
-Regarde, j’ai apporté un grand pot de miel, pour que tu m’enduise le ventre le cul et les seins ; Maria me léchera devant toi. »

-Ah je me souviens c’est son plan pour me permettre de prendre la bague. Je plonge une main dans le pot de miel qui est large de col, je tâte le fond, il n’y a rien d’autre que du miel ; c’est quoi ça ?
Je regarde Sylvianne elle est couchée sur le dos un sourire malicieux en travers de la bouche, les cuisses écartées qui nous montrent, des lèvres épaisses et roses au milieu de la broussaille brune de ses poils.
Quant j’étais rapetissé aux dimensions d’un homoncule j’avais une autre vision des ces intimités et je me demande si ce n’était pas en fin de compte plue regardable dans cet état.

« - Alors dit-elle ce miel arrête de le pétrir, qu’attends tu donc ?

Ok on verra bien, je commence donc à enduire son ventre et sa chatte, le miel englue ses poils qui forment de grandes mèches gluantes

- Garnit moi l’intérieur dit-elle enfonce tes doigts, glisse aussi ta main dans ma raie du cul, oui je sais, c’est touffu aussi par là, je crois que tu vas aimer.

Elle approche sa main refermée en forme de poing, la glisse entre ses cuisses sous la mienne et assurée que ma main et ses cuisses dissimulent l’objet qu’elle glisse entre ses doigts, la bague.
Hé oui la garce on dirait qu’elle aime la farce, son sourire s’est élargit jusqu’aux oreilles, elle enfonce la bague dans son anus.

A suivre

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 10 juil. 2012, 21:32 
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J'ai commis un impair, je viens d'editer le contenu de ce chapitre, en fait j'ai rajouté quelques phrases pour faire un final à cette partie,et rendre l'ensemble plus interessant, et je trouvais le chapitre un peu cours.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 10 juil. 2012, 23:11 
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Merci merci... je le lirai avec délectation dès que j'aurais un moment :mrgreen: :lip:


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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mer. 11 juil. 2012, 08:38 
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Revanche troisième chapitre

Je ne suis plus très sûr de réussir dans mes projets.
Maria a des soupçons et voila que Sylviane me manipule, je ne maîtrise plus grand-chose, elle n’a pas mis la bague au fond du pot de miel mais la cachait dans sa main.
Cela me stresse, me déstabilise ; j’hésite, je suis bloqué, Mais Sylviane la garce me sort de mes pensées.
« Alors tu dort, continue voyons il reste encore un peu de miel enduit aussi mes seins je veux être comme un bonbon pour être léchée.
- Enfin quoi Marc tu pourras me lécher aussi après Maria, vois tout ce bon miel qui colle à ma chatte et mon cul et que je vais parfumer de mes flux très intimes.
- Maria te montrera comment faire, tu ne semble pas bien connaître cette affaire.
- Et enduit bien mes seins aussi j’ai envie d’être léchée et sucée de partout. »

Je croyais avoir pourtant tout prévu, j’ai put me procurer, grâce à l’aide d’un ami qui bosse dans un laboratoire de chimie une substance narcotique sous forme de poudre facilement soluble dans de nombreux liquides, qui agit par ingestion ou par osmose, mais il faut que je l’en introduise sur les muqueuses de ces deux femmes, ou bien encore dans leur alimentation.

j’ai apporté cela dans mon sac, et pour le moment les événements ne se déroulent pas comme j’espérais.

Maria qui s’est déshabillée pendant que je tartinais le miel vient, souriante se coucher en 69 sur le corps de Sylviane, et lui lèche la chatte.
Moi dépité, je me suis assis dans le fauteuil en face des deux femmes, je ne sais trop quelle attitude adopter, je me sent peut attiré pour être voyeur. Elles sont couchées sur la table carrément, j’ai un peu l’impression d’assister à une scénette de théâtre pornographique.

Maria, lèche, étire d’une bouche gourmande les mèches de poils englués de miel, elle tire sur les nymphes et suce le clitoris de Sylviane qui apprécie, puis elle s’arrête, me regarde et dit :
« - Marc je croyais que tu voulais, une compensation pour les désagréments que nous t’avions imposés, viens avec nous, t’es bloqué là ?
- Non pas du tout, je vais t’accompagner, car Sylviane est en effet assez énorme pour nous accueillir tous les deux,
Dis-je afin de critiquer l’autre salope. »

Donc je me déshabille, je viens me coucher sur la table à coté des deux femmes, Maria change de position pour me faire une place, et j’attaque un léchage consciencieux des mamelles de la grosse, tout en me demandant si elles ne sont pas encore complices pour me jouer un vilain tour.

Puis Sylviane change de position, se mettant à quatre pattes elle tourne ses fesses vers moi et entreprend de lécher Maria, tout en frottant son cul sur mon visage, le miel qui enduit ses fesses colle à mon nez et mes poils de barbe maintenant. N’ayant pas d’autre bonne idée je lui lèche la raie, j’enfonce ma langue dans son cul.

Je l’aspire, j’essaie de récupérer cette bague qui me fait du souci, mais peine perdue, la garce l’a trop profondément enfoncée. Son œillet palpite s’ouvre et se referme sur ma langue les muscles de son sphincter se resserrent et compriment. Les poils de son culs englués de miel bouchent mes narines une mixture collante adhère à ma bouche et mes joues, et voila qu’elle écarte à deux mains ses grosses fesses ouvrant bien grand sa rosette palpitante, dans cet exercice de relâchement elle a poussé un gaz qui vient vibrer contre ma bouche.

Et je n’ai toujours pas réussi à attraper la bague, Maria amusée par le pet de Sylvianne s’exclame, oh la Marc on dirait que tu lui fait de l’effet.

« - Non ça suffit dis-je, je vais employer d’autres moyens.
- Oui dit Sylviane regarde dans le tiroir du chevet il y a un toy que j’aime bien, j’ouvre le tiroir et elle précise un joli plug, donne le moi. »

Je m’exécute sans réfléchir et le lui donne, elle se l’enfonce dans le cul et me demande de l’aider à s’en divertir, mais je perd un peu plus la maîtrise de la situation en ce faisant je comprends que cette action va enfoncer plus loin encore la bague dans son intestin et je ne serai pourtant rassuré que si j’en prends possession.

Préoccupé de ce souci, je participe quelques instants au plaisir des femmes en ne faisant qu’un piètre figurant, puis profitant de leur trouble grandissant, de Sylviane surtout qui gémit bruyamment. Je lui retire le plug que je m’empresse de remplacer par mes doigts, deux puis trois puis l’extrémité de la main dans son cul qui souple et large accepte facilement cette introduction.

La vache, la salope, elle n’a pas le droit de m’empêcher d’attraper la bague, merde enfin !
J’enfonce, mes doigts, c’est souple c’est gras, englué de miel et sécrétions intimes, je veux cette bague, la moitié de ma main est maintenant à l’intérieur de son rectum, elle gémit plus fort, me traite de sale cochon, sale mec, en disant vas-y plus loin, encore, encorree.

Ah si tu savais salope comme je me moque de ton plaisir, mais je veux la bague, ah je la sent, là au bout de mes doigts, j’enfonce plus encore ma main, avec un mouvement de torsion du poing, j’essaie de l’attraper mais elle m’échappe s’enfonce plus encore. Ma main est complètement enfouie jusqu’au poignet dans les cul de Sylvianne maintenant, et cette bague qui joue toujours les évadés au bout de mes doigts.

Maintenant Sylvianne hurle de plaisir, Maria bouche bée, s’est arrêtée de lécher pour admirer ma prestation.
« - Hé Marc, dit-elle, tu sais faire toi. »

Mais c’est la bague que je veux, ah ça va peut être marcher, j’ai réussi à allonger mes doigts au-delà de la bague dans l’intestin de Sylvianne, je replie l’index et je la prends en pince avec mon pouce, Ouf, si les filles savaient que c’est mon principal souci.
Bon je referme ma main en poing et doucement en exerçant des poussées et des retraits je parviens à ressortir mon bras, oui qui était enfoui au-delà du poignet, oh il est merdeux, cette grosse Sylviane aurait bien eu besoin d’un lavement.

Mais qu’importe à la guerre comme à la guerre, cela me donne au moins un bon prétexte pour courir m’isoler dans la salle de bain, me nettoyer et enfin cacher cette saleté de bijou du diable.

La suite me permettra peut être de reprendre complètement la situation en main, si je puis dire.

A suivre

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : dim. 13 janv. 2013, 22:34 
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Une suite pour histoire de sortilèges

Six mois maintenant que j’ai supendu cette histoire sans lui trouver une fin, j’avais pour cela des idées qui au fil de mes réflexions ne m’ont pas parues assez bonnes, j’ai craint qu’à force de moudre la même farine, cela épuise votre intérêt,et surtout perdre une logique que je voudrais lui donner.
Mais le nombre relativement important de consultations m’incite à terminer ce récit sur une fin qui en soit vraiment une et pas une suspension qui laisse espérer autre chose.

Dans le cas où cependant cette histoire ne serai pas assez intéressante pour y donner une suite; j’espère que quelques-uns ou (unes) parmi vous m’avertiront de leur désintérêt.

D’abord pour raffermir votre mémoire des plus anciennes consultations.
Le petit nain minuscule qu’une bague magique avait fait de moi, avait permis à ces deux femmes ; Maria et Sylvianne de m’utiliser pour leurs immondes jeux de plaisir.
Après de multiples tribulations j'ai retrouvé ma taille normale, me voila par hasard interpélé lors d’une promenade par Sylvianne qui désire se venger de la tromperie amoureuse de sa copine Maria qui aurait un amant.
Et j’ai accepté espérant y trouver une revanche; d’aider dans son projet cette pourtant, peu recommandable personne, mais lors du déroulement de nos ébats érotiques je me rends compte que je risque encore d’y perdre sinon mon état d’humain du moins ma dignité d’homme.

A bientôt donc si vous le désirez pour faire une vraie fin de ce feuilleton

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : lun. 14 janv. 2013, 21:31 
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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 15 janv. 2013, 17:46 
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Merci Isa, pour cette correction de texte,

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : dim. 27 janv. 2013, 16:11 
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Je vous l’avais promis je termine cette histoire, j’en décevrai peut être parmi vous; bah allez pardonnez moi, mon imagination s’épuise et s’enlise dans des redites, des retournements qui n’en sont pas vraiment.

Histoire de sortilèges, fin de l’histoire

Suite à cette séance de jeux érotiques avec les deux femmes, étant rentré chez moi j’en ai gardé une impression décevante, aucune envie de poursuivre et surtout le sentiment d’être encore manipulé surtout par Sylvianne qui ne mérite pas que je complote avec elle.
Ma seule consolation étant de posséder maintenant la bague diabolique, lequel objet que j’ai rangé dans un tiroir de chevet dans ma chambre.

Mais posséder la bague du sortilège sans en connaître le mode de fonctionnement loin de me tranquilliser me dérange dans mon sommeil, me crée de mauvais rêves.
J’ignore tout de cet objet du diable, par moments je me dis que s il peut être commandé à distance par Maria sa vraie propriétaire, cela justifierai de punir à nouveau le voleur que je suis.

Aussi pour mettre fin à mes soucis, après quelques jours je me décide à sonner un soir chez Maria pour lui avouer la vraie motivation qui m’a fait accompagner Sylvianne, l’idée que je m’étais faite de prendre une revanche d’homme sur elles deux, retrouver dans un comportement de mâle le respect que j’avais perdu quand j’avais été miniaturisé.

Ainsi je lui explique que c’est Sylvianne l’instigatrice parce qu’elle désire punir son amie d’une supposée infidélité de Maria qui aurait un amant. Je lui raconte que c’est Sylvianne qui lui a dérobé la bague et comment elle a procédé pour me transmettre malproprement ce bijou du diable, que je lui rapporte maintenant.

Maria pas très surprise accepte mes excuses.
Je rentre chez moi soulagé et bien décidé à ne plus jamais revoir ces deux femmes, j’ignore ce qu’elle fera de Sylvianne, ce n’est pas mon souci car je n’ai pas d’estime pour cette vulgaire et perverse nana.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mer. 05 juin 2013, 00:24 
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J’ai une idée qui permettrai d’ajouter à cette histoire un nouvel épisode, mais je ne suis pas certain que cela puisse intéresser quelques-uns parmi vous, je demande donc votre avis si vous le voulez bien, car je n’ai pas eu souvent des retombées d’approbation est-ce trop demander ?
L’idée que je résume ci-dessous, je nommerais cela :

Le procès de Maria

Si vous avez envie de lire une façon différente de raconter cette histoire dites le moi.

Voici un résumé :
Après la visite que j’avais personnellement effectué chez Maria pour m’excuser.
je croyais ne plus entendre parler de ces deux femmes et oublier le désagréable épisode pendant lequel j’avais été par elles, outrageusement utilisé et maltraité ; mais j’eus la surprise de recevoir par mail un petit mot de Maria qui me disait être assignée à comparaître en justice correctionnelle sur le motif d’avoir usé d’abus de pouvoir et peut être même de crime.

La raison de ceci étant que sa copine Sylvianne jalouse, se sachant délaissée pour un amant à fini par aller dans un commissariat dénoncer son amie.

Alors Maria me demande par écrit si j’accepterais de l’aider à se tirer de ce mauvais pas en prenant sa défense comme témoin et dire que j’avais été consentant. A la lecture de ce mot je suis très surpris et je me donne quelques jours de réflexion avant de lui répondre.
Effectivement avec le temps qui passe les griefs que j’avais contre Maria ce sont émoussés.
Je ne suis plus fâché contre elle maintenant et c’est bien plus sa copine Sylvianne qui selon moi est la vraie salope.

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