Offrande du P’tit…
Avec Awena, j’allais en vitesse lente pour l’inciter progressivement à me révéler ses envies et désirs les plus cachés, ainsi, lors de caresses digitales ou de cunnilingus, je lui avais déjà plusieurs fois effleuré l’œillet d’un doigt et même de la langue, provoquant chez elle soupirs et gémissements qui l’emmenaient vers un orgasme certain, arrosé par sa fontaine généreuse dont je me régalais en m’y abreuvant goulument quand elle se laissait aller sur mon visage, elle jouait ensuite la « honteuse » en s’excusant pour l’état dans lequel elle m’avait mit ainsi que les draps, feignant dans les premiers temps de nos relations humides, ne pas savoir d’où cela venait, lors de suaves discussions sur le sexe, elle avait reconnue ne pas en être à ses premières giclées, ayant découvert la chose pendant ses juvéniles masturbations…
De là, elle m’avait avouée, du moins, ‘’accusée’’, d’en être responsable à cause de mes attouchements cochons envers son petit orifice, surtout lors de pénétrations digitales, j’en avais profité pour insinuer que si cela lui arrivait aussi pendant ses caresses solitaires, c’est qu’elle se touchait là également, rougissante, elle m’avait avouée que ‘’Oui mais pas souvent…’’, aveux qui m’avait naturellement (vous me connaissez) amené à lui parler de sodomie, de la pénétration rectale par une verge et du plaisir qui pouvait en découlé (et s’écouler), baissant les yeux, gênée par le sujet tabou d’un zizi dans le derrière, elle m’avait posée tout un tas de questions qui me laissaient penser qu’elle ne tarderai pas à vouloir y goutter, je lui promettais alors de m’en occuper avec douceur le jour où elle se déciderai…
L’offrande est arrivée un soir à la fin de mon travail de gérant dans un bar de nuit, après la fermeture, alors que nous sirotions un verre en nous passant des mains dans les culottes, elle, me durcissant la verge de sa bouche humide, moi, lui ayant stimulé la vulve et le petit volcan peu avant, dans l’espoir qu’elle ose enfin se laissée aller au plaisir interdit, je fantasmais sur la possibilité de la chose en dégustant la fellation qu’elle me faisait, adorable et gourmande suçeuse de ma queue, j’imaginais qu’elle me durcissait le bâton pour qu’il lui visite sa corolle encore vierge après sa chaude bouche et c’est là qu’elle a murmurée entre deux sucettes, ‘’- Si tu veux… je veux bien par derrière…’’’, j’ai d’abord crus avoir rêvé, prolongation auditive de mon fantasme en cours, mais non, elle attendait ma réponse…
Les yeux grands ouverts, sure d’elle et interrogative du regard, le buste bombé, Awena savait qu’elle venait de franchir la barrière de sa pudeur pour m’offrir l’endroit ‘’sacré’’ de sa personne, la porte étroite de son petit chemin jamais emprunté qui allait me mener à la jouissance, toute honte cachée, elle m’offrait son anus à sodomiser consciente du cadeau qu’elle me faisait mais aussi de sa dépravation car elle savait autant que moi à quoi servait cet orifice que j’allais profaner sans retenue, femme Celte, fière d’aller au sacrifice de son rectum pour le bien être de son amoureux, mais aussi du sien, sachant qu’elle allait s’ouvrir à d’autres découvertes, élargir son horizon, connaître la force du menhir pénétrant sa rosace plissée, la délivrant de sa virginité anale longtemps préservée…
Je l'ai fais mettre à quatre pattes, courbée sur une table ronde du bar, tête posée entre les bras, entièrement habillée, je lui ai troussé la jupe sur les hanches puis baissé sa culotte blanche à mi cuisses, ses rondes fesses pâles étaient exposées, semi écartée, telle une offrande, juste éclairée par une ou deux appliques murales, la scène valait le coup d’œil comme un tableau d’artiste...
Je lui tournais autour un instant en la regardant et lui demandant si elle était certaine de vouloir par derrière, tout en lui massant la vulve d'une main, puis je lui léchais la raie et embrassais l'anus en la masturbant, elle dégoulinait de la fente, je lui ai encore fais sucer ma queue en lui disant de bien regarder ce qu'elle allait recevoir dans les fesses, c'était comme un rituel de sacrifice antique, elle avait un super cul joufflu avec une raie de brune un peu poilue…
Sa fente était rouge avec des lèvres longues et pendantes,, sa mouille pendait en filaments gluants, son anus est devenu souple pendant que je lui massais les plis de mes doigts, je lui ai dis de pousser comme aux wc, elle l'a fait sans discuter, elle savait que ça aide, je lui avais déjà mis un doigt ou deux pendant des câlins buccaux, son orifice réclamait la saillie, son cul était pile à la hauteur de ma queue, sa culotte blanche pendouillait à mi cuisses, je bandais comme un âne...
Elle portait un pull noir et une jupe plissé noir aussi, troussée sur les reins, Awena savait ses intimités totalement exposées, elle en avait honte et baissait les yeux quand je la fixais du regard, je faisais traîner le préliminaire pour la voir totalement soumise, je lui ai demandé de me redire ce qu’elle désirait, dans un souffle, elle a murmurée "encule-moi"...
J'ai posé mon gland sur son anneau avec de la salive, je n'avais pas de vaseline, je lui ai rentré ma queue au ralentis, d'une traite, , sans m'arrêter, jusqu'à qu'elle ai tout le morceau dans le rectum, elle gémissait pendant que je m'enfonçais en elle puis elle à poussée des râles quand j'ai commencé à bouger, j'ai ressortis entièrement ma queue et la lui ai remis, plusieurs fois de rang, son anus était boursoufflé sur les bords, elle ne s'était pas vidée avant, ça ce voyait sur ma queue.
Elle à pissée sur la table pendant que je lui faisais le cul en lent mouvements de hanches puis par des saccades accélérées, je regardais ma queue aller et venir dans son anus qui formait comme une bouche lippue autours de mon manche, je lui ai déchargé dedans au bout de moins de dix minutes puis je lui ai montré l'état de ma queue, elle s'est excusée et a foncée aux wc... Quand j'y repense et revois la scène, ça me file encore le bâton, alors je m’astique le manche…
_________________ Tout est Bon dans le Cochon...
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