Ce matin, rien de spé à raconter, pas de coulage de bronze extraordinaire, pas de sodo sauvage avec le Voisin ni avec moi même, je me refais une virginité depuis plusieurs jours, autant devant que derrière, je me trouve des occupations pour ne pas y toucher, souhaitant l'orgasme supérieur la prochaine fois que je me laisserai faire le cul ou que je m'en ferai un...
Quoi qu'il en soit, je vois que vous passez ici la verge à la main, espérant que j'y ai posté une petite histoire bien salace, voir dégoutante, afin de bien vous secouer la nouille en me lisant, peut-être même en vous titillant la rondelle d'un doigt ou d'un gode, voir les deux orifices pour les dames... Et bien je vais vous parler d'un stagiaire que j'ai eu avec moi au travail il y a quelques temps...
Un gars plus jeune que moi de quinze ans, l'air un peu coincé, j'hésitais au début entre l'hétéro coincé ou le bi refoulé, aimable mais pas causant, j'avais du mal à l'amener sur les sujets qui m'intéressent, heureusement qu'a déjeuné au self, il y avait toujours un ou deux lascars pour détendre l'atmosphère avec des blagues bien grasses ou des supputations vicelardes sur la vie des autres
C'est au cours d'un de ses repas de fins gourmets joyeux que le sujet était tombé sur la discussion tel un décalotage de gland imprévu, les mecs qui aimaient se faire doigter la rondelle par leur épouse ou amante pendant la fellation, j'ai vus mon stagiaire écarquiller grands les yeux, par surprise puis par intérêt m'a t, il semblé, il ne participait pas mais écoutait mine de rien des deux oreilles...
Ce n'est que le lendemain matin pendant le boulot qu'il a remit le sujet sur l'ouvrage, en me demandant si je pensais que les deux gars qui avaient parlé de "ça", le pratiquaient aussi, pour le faire attendre, je lui ai demandé ce qu'était le "ça" dont il me parlait, il a bégayé gêné " Bin vous savez bien...!!!? Le truc avec le doigt...!?, je sentais qu'il avait envie d'en parler mais en avait honte...
Je ne lui répondais pas de suite, le fixant droit dans les yeux d'un regard interrogateur voir soupçonneux quand à ses orientations sexuelles, aussitôt il débredouillât des excuses du style "-moi je dis ça... Je dis rien... J'en suis pas..., à quoi je rétorquais qu'il n'y a pas de mal à s'informer tout au long de la vie, sans pratiquer et peut-être de goutter à d'autres plaisirs si l'occasion se présente...
Il en resta bouche bée, les lèvres en cul de poule, ce qui déclenchât en moi une envie de me faire sucer et un début d'érection, sa bouche en trou de balle était une invitation à y planter ma bite mais il ne le savait pas, je l'ai planté la dessus, le laissant mariner dans ses interrogations de puceau de l'œillet, du moins, je pensais qu'il l'était encore mais voulait savoir ce que ça faisait...
L'après midi, j'ai eu l'occasion de passer au cran supérieur de notre intimité salariale, comme j'allais changer l'eau des pommes de terre, je tombais sur lui aux wc posté à faire de même devant un urinoir, je me soulageais en le regardant, il était gêné, puis sans ambages, je venais me poster au dessus de ses mains et de sa miction en cours, il devint tout rouge, voyant que j'avais ma queue à la main...
- Mais...!? Qu'est ce que vous faites...?!! bredouillât-il apeuré
- Moi...? Rien... Je regarde juste... T'es bien monté dis donc... Lui dis-je en lui tapotant les fesses et en y passant des doigts dans la raie, effleurant son petit trou...
Il en sursaute, au point d'arroser le mur de son jet de pipi, je vois aussi qu'il jette des coups d'œil furtifs à ma verge, j'ai une demi molle qui lui présente un aperçut de ce qu'elle peut devenir une fois qu'on s'occupe d'elle, mon stagiaire finit de pisser et j'attrape une feuille d'essuie main en lui proposant de lui essuyer les dernières gouttes, il me dit affolé qu'il n'a jamais fais cela...
Je lui répond que ça tombe bien, c'est aujourd'hui, il se laisse faire quand je lui prend la bite et la décalotte, elle est moyenne pour l'instant, un peu ratatinée par l'angoisse, il me dit qu'il a peur que quelqu'un nous surprenne, je lui dis de ranger son engin et essaye de ranger le mien qui maintenant est raide et bien tendu, il la regarde encore, comme si elle lui faisait envie, je me décalotte...
Nous retournons silencieusement à notre bureau, on bosse un peu puis s'est lui qui rond le silence en me demandant si j'en suis, je lui demande "- en être de quoi...?!, il s'excuse pour sa question et bégaye un timide "-Vous savez bien...?!" ,
- Et bien non... Je ne sais pas... luis dis-je, un PD...?! Tu me traite de PD...?!!!
- Non... Pas du tout... Je veux dire, Comme les gars en parlaient à table...
- Si j'aime mettre un doigt dans le cul...?!!! Ou m'en faire mettre un...?!!!
- Heu... Oui... Je ne critique pas... Chacun fait comme il veut...
- Et toi...?! Tu l'as déjà fais...? T'es encore puceau de derrière...?
- Bi oui...! Et alors...? On est pas obligés de faire ça...?!
- Ha ça non... Mais on peut en avoir envie... C'est pas interdit...
- Vous l'avez fait Vous...?
- Dis donc...! T'es bien curieux toi... Tu me donnes quoi si je te le dis...?
- Bin, j'sais pas moi... Vous voulez quoi...?
Pour toute réponse, je me suis levé pour fermer le bureau à clef et suis venus devant lui ouvrir mon pantalon et sortir ma verge, de suite il a comprit que j'allais lui demander quelque chose qu'il n'avait jamais fait et a protesté en disant qu'il n'en était pas, je li ai dis qu'il n'y avait pas besoin qu'il en soit, il avait juste à être sympa avec moi et avec sa bouche et je lui dirai tout sur moi, on serai juste de bons copains...
Il a hésité un instant en ronchonnant puis m'a prit la queue dans sa main, comme il me disait qu'il ne savait pas comment faire, je lui ai dis de me faire comme lui fait sa femme, là, il m'a embrassé le gland et le prépuce puis m'a décalotté de la main, assez sèchement d'ailleurs, je lui ai dis de mouiller ma queue, il a craché dessus pour la branler, j'ai demandé "-Mieux que ça...!" il l'a prise dans sa bouche...
Entre deux pompage, il m'a dit qu'elle était grosse et que ça devait faire mal par derrière, je lui ai dis que oui et qu'elle n'était pas faite pour un cul de puceau ni de pucelle, il m'a demandé si je l'avais déjà fais, j'ai répondus que oui, filles et gars, il a précisé sa question, est-ce que j'avais déjà été sodomisé par une grosse bite comme la mienne, j'ai dis oui, et que j'avais sucé des bites aussi...
Cela le rassurait, il avait eu peur que je l'encule à sec sur le bureau, je lui ai raconté mes débuts avec l'anal, les premiers objets, les premiers doigts, la première queue, il écoutait en me pompant le dard, je lui ai proposé u doigtage avec fellation pour débuter, il a accepté avec timidité, la vraie pucelle, je ne lui ai pas parlé de lavement, on verrai bien plus tard, une fois la première fois faite...
Je lui ai fais enlever pantalon et caleçon et s'allonger sur le bureau puis j'ai commencé à lui lécher la teub et les boules, il a bandé presque de suite, un beau morceau au gland développé, le genre de truc qui t'élargit l'entrée mais on en était pas encore là, je lui ai passé un doigt entre les fesses, son anus s'est contracté, je l'ai caressé longuement avec de la salive tout en lui taillant une pipe, il m'a déchargé dans la bouche...
Il est resté un moment honteux d'avoir aimé cela, bien que je ne l'ai pas pénétré avec mon doigt, chaque jour, si l'on en parlait, je lui donnais des conseils pour mieux s'ouvrir à la pénétration digitale, j'en profitais pour lui servir de cobaye d'entrainement, j'améliorais sa façon de me sucer et me retrouvais à quatre pattes sur le bureau à me faire doigter, j'avais ramené un gode de chez moi pour les leçons d'enculage...
Il a finit par se prendre mon index puis le majeur, il a aimé cela et à juté fortement à chaque fois, il admettait maintenant que le plaisir anal pouvait être hétéro, qu'on pouvait aimer sodomiser sans "en être" , comme il disait au début, d'ailleurs, il n'a pas dit non quad je lui ai donné mes fesses à fourrer avec sa queue, il m'a ramoné avec fougue, sa belle queue m'a déchirée le trou de balle, il m'a juté dedans, on a parlés lavement...
Puis son tour est venu, après une semaine de godage il s'est senti apte à me recevoir, c'est même lui qui s'est offert, baissant son pantalon en me disant de le dépuceler, je l'ai enculé doucement pour qu'il se prenne tout le morceau, il a gémit pendant l'introduction puis pleuré pendant que je lui ramonais le rectum, j'avais une capote donc il n'a pas eu son lavement au sperme, dommage...
_________________ Tout est Bon dans le Cochon...
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