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Vendredi 5 mai, 6 heures du matin, ça y est, nous partons enfin pour notre long week-end dans les Alpes. Ce week-end cela fait des semaines que nous en parlons, que nous avons envie de découvrir un peu la région. Nous avons bien évidemment regardé des photos d’endroits à visiter et nous avons hâte d’y être.
Comme à chaque fois que nous allons faire un long voyage, je sais que je dois avoir mon sexe accessible pour que mon Dom puisse en profiter quand il le veut et j’avoue que j’adore qu’il me caresse lors de nos longs voyages.
Je porte ma robe vintage noir à pois blancs qui laisse le dos nu en s’accrochant derrière la nuque, j’ai mis un tanga en dentelle couleur chair.
Après quelques heures de route ou nous avons parlé de tout et de rien je sens que mon Dom se réveille, qu’il a envie de jouer, j’arrive souvent à le deviner car son regard change et les propos aussi. Il me demande d’écarter plus mes cuisses et ses doigts viennent appuyer sur ma fente au dessus de mon tanga. Il me parle, il me raconte des histoires excitantes et sexys pour faire monter encore plus mes envies, très vite ma fente s’humidifie de ses mots et ses caresses.
Il écarte mon tanga pour être directement sur la peau et je l’aide en écartant mes lèvres, je veux mieux sentir ses doigts appuyer sur mon clitoris et glisser le long de ma fente. Je suis très vite trempée comme chaque fois qu’il me caresse en voiture en me disant que je suis une salope qui vient de se faire prendre en stop.
Souvent lorsque nous jouons comme cela sur l’autoroute, nous sommes aussi dans une position d’exhibitionniste en n’hésitant pas à ralentir au niveau des poids lourds pour que les routiers profitent de la vision et de nos jeux mais souvent sans succès.
Ils arrivent parfois que quelques uns d’entre eux nous fasses un appel de phare pour nous remercier mais rien de plus, hormis le hasard de ce vendredi 5 mai 2016.
J’ai les yeux fermés, je savoure les doigts de Sergio sur ma chatte trempée et je vais avoir un orgasme dans les secondes qui arrivent, je le sens monter dans mon ventre lorsqu’un coup de klaxon énorme me fait revenir à la réalité, c’est un routier qui nous fait entendre qu’il à tout vu et que cela lui plait. Malheureusement pour moi, cela me fait revenir à la réalité et je reprends mes esprits aussi vite que part mon futur orgasme.
Sergio lui répond par un appel de phare et nous continuons notre route. Je me réajuste car pour le coup je ne suis vraiment plus dedans et mon Dom se met sur la file de droite, il ralentit à l’approche d’une aire de repos, je lui demande ce qu’il fait :
- Tu veux te faire baiser ? c’est le moment
Je lui souris, oui j’ai toujours voulu visiter la cabine d’un poids lourd et bien évidemment de me faire entreprendre par le chauffeur.
Sergio se met juste à l’entrée de l’aire de repos en me disant ; on va voir s’il sort aussi.
Je regarde dans mon rétro, je vois le camion arriver effectivement il met son clignotant, il prend aussi la direction de l’aire de repos.
Mon dom se gare, le camion se gare aussi à notre droite, j’ouvre ma portière et je descends de la voiture, mon Dom aussi bien sur et le chauffeur nous sourit en ouvrant sa fenêtre. Il nous remercie du spectacle et nous demande ce que l’on veut. Dans ces cas la je laisse toujours la parole à Sergio, c’est lui qui gère ce genre de jeu et de fait je « redeviens » soumise car cela fait partie de mon plaisir de me dire qu’il va m’offrir à cet homme, que je n’ai qu’a m’exécuter.
Les hommes s’expliquent, le routier hésite il doit livrer avant midi mais il a aussi envie que je monte dans sa cabine, il en a vu suffisamment pour être excité et il a envie de bien plus.
Enfin ils tombent d’accord mais en réalité cela n’a pris que quelques minutes, juste le temps d’expliquer au routier que non je ne monterais pas seule dans la cabine, que non Sergio n’est pas bi et que oui il prendra des photos et que oui aussi nous avons des capotes.
Sergio va à la voiture, il en glisse quelques unes dans sa poche de jean et me voila ouvrant la portière passager de cet énorme camion, j’entends mon Dom faire les photos derrière moi, je me hisse dans la cabine, le routier m’aide à monter et Sergio ferme la marche et la porte.
Enfin ! Je visite enfin cette fameuse cabine qui alimente de temps en temps mes fantasmes secrets lorsque je me donne du plaisir seule ou même lorsque c’est mon Dom qui me caresse. Elle est bleue, tout ou presque est bleu et gris et je suis surprise de la taille plus que confortable du lit, je l’imaginais plus étroit.
Je m’assois sur le lit et immédiatement le routier me demande de soulever ma robe, il voit ma culotte et se montre presque déçu de cette vision, disant à mon homme qu’il serait mieux que je n’en porte pas sur la route mais Sergio lui fait savoir que c’est comme ça que cela nous plait. Je fais glisser ma culotte sur mes cuisses et me lève pour qu’elle tombe sur le sol. Le routier passe immédiatement à l’action, il n’attendait que cela, il caresse mon sexe trempé en appuyant assez fort sur ma fente, je gémis, mon plaisir remonte vite, je n’ai pas joui tout à l’heure et j’en ai plus qu’envie. Petit à petit, je me laisse aller vers l’arrière, m’allongeant de plus en plus sur la banquette-lit de la cabine du camion. Il fouille un peu l’entrée de mon vagin mais il sent que je me contracte, il n’insiste pas, revenant vers mon clito. Effectivement je n’aime pas qu’un autre que mon Dom entre ses doigts dans ma chatte.
Cela dure un peu et je gémis plus fort, je prends du plaisir mais je sais déjà que je n’aurais pas d’orgasme avec cet inconnu. Il se met debout et enlève son jean et son slip, Sergio lui tend un préservatif qu’il met en s’asseyant sur le lit. Il bande pas encore très dur mais l’envie est là. Il met un genou sur le matelas, l’autre jambe est sur le sol entre les sièges, il me demande si j’ai envie de le sucer, ce que je fais bien sur. Je me penche et je le prends entier dans ma bouche, directement en gorge profonde ce qu’il a l’air d’apprécier, je caresse ses couilles en même temps. Je m’applique à lui donner du plaisir mais la position est très inconfortable, j’ai le dos et les hanches tordus par la position mais maintenant il bande dur.
Je m’allonge sur le dos dans cette cabine gris-bleu, il m’écarte très largement les cuisses, tenant mes jambes pratiquement ouvertes au niveau de ses épaules et il me pénètre d’un seul coup jusqu’à la garde, je gémis, je n’attendais que cela, il va et vient, plutôt rapidement mais la position ne me convient, je ne le sens pas bien et je veux en profiter un maximum.
Je me redresse et me met en levrette, il ne se fait pas prier pour m’agripper les hanches et me prendre de nouveau sans vraiment de précaution. Ce qu’il aime mon routier c’est d’entrer d’un coup, qu’on le sente passer et je le sens.
La main de mon Dom est sur mon sein dont il tire un peu la pointe, c’était le geste dont j’avais besoin pour me laisser aller, je lâche mon plaisir et je jouis enfin. J’en profite laissant la jouissance m’envahir pendant que le camionneur me ramone allégrement. Il lâchera son jus quelques minutes plus tard en étant malgré tout discret dans son plaisir.
On se rhabille, on pose pour la dernière photo, soft cette fois et nous quittons notre routier tous les trois satisfait de cet intermède fort agréable.
Je vais aux toilettes me rafraichir, j’ai laissé mon tanga sur le sol du camion, mon Dom l’a mis dans sa poche. Sergio est parti chercher la voiture, lorsque je sors des toilettes, il vient vers moi, un large sourire aux lèvres et me fait le plus beau des compliments :
- Tu es une belle salope.
Et il m’embrasse en me serrant contre lui.
J’ai vécu mon fantasme, en vrai, grâce à mes envies que j’assume complètement, mais aussi et surtout parce que tu es la, à mes cotés, toujours prêt à satisfaire mes désirs sexuels entre autre parce que entre nous il n’y a pas que cela.
Je ne regrette pas le jour ou j’ai croisé ton regard, le jour ou je t’ai dis, c’est toi mon Dom. Je t’aime.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".
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