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Un apprentissage.

Je venais d'accompagner ma femme à la gare st-Lazare, j'avais 20 ans et me dirigeais vers la gare de l'est, quand j'aperçus une pissotière qui bordait un jardin. Nous étions dimanche et l'avenue était calme. Ne pouvant plus me retenir, j'entrais dans ce lieu d'aisance pour me soulager. C'était un WC en ligne droite avec 6 emplacements. Une seule me suffisait, ce que je fis. J'étais en train d'uriner, quand un homme plus âgé se plaça juste à côté et alors que je m'égouttais pour engager mon engin dans mon pantalon mon voisin le prit dans sa main, je fus agréablement surpris. Je vis ma bite augmenter de volume et cela devint plaisant, je laissais continuer mon voisin qui fléchissa sur ses jambes et le mit dans sa bouche. C'était bon et je sentais ma queue prête à éjaculer, par un rale je prévenais mon suceur que j'allais jouir, mais je sentis qu'il ne tenait pas à retirer sa bouche qui m'enveloppait tout mon sexe. J'envoyais tout mon foutre dans la bouche de mon bienfaiteur, qui n'en laissait pas une miette sur le sol, et avala avec délectation tout mon sperme. Je sortis de ce lieu féérique et me dirigeai vers mon logement. J'étais encore retourné par l'attitude de l'homme qui approchait des 40ans et qui avait, sans doute déjà connu cette attitude. Je me dit, il faudrait que j'essaye aussi pour savoir si ça me plaira.
Le lendemain après mon travail, je me rendis dans une tasse( pissotière) et le premier personnage qui entra se trouva à côté de moi et j'eus tout loisir à regarder la grosse bite qu'il sortit de sa braguette, je la touchais, il me laissa faire, et après quelques aller retour avec ma main, je fléchissais et me retrouva avec sa queue devant ma bouche qui me permit de l'avaler toute entière. Mon compagnon ne fut pas long à éjecter son sperme que j'avalais avec plaisir. Quand il s'en alla il me remercia et me dit c'était formidable.
Depuis je n'ai jamais pu arrêter d'utiliser cette méthode qui me donnait entière satisfaction et rendait heureux ceux qui se prêtaient à ce jeu.
J'ai appris par la suite que cet échange s'appelait : une fellation et plus simplement une pipe.

Merci pour ce très beau récit de ton vécu tagarin. L'expérience doit être des plus troublantes. Notamment la première fois où cet homme t'a sucé et la première fois où tu en a sucé un à ton tour pour la première fois. La seule chose qui me fait froid dans le dos c'est le risque sanitaire que l'on prend dans de telles pratiques.

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J'adore partager des confidences intimes lors de correspondances respectueuses

Idem mais il y a aussi le risque de tomber sur un gars qui soit homphobe et donc de rester sur le carreau. Vu le nombre de fois ou j'ai croisé des mecs qui dégageaient une aura au point d'avoir envie de sortir leur bite pour les pompés si je redoutais pas ce risque je crois que je serais devenu un sérial sucker !

Effectivement Passif13Anal parfois l'envie est là et l'on n'ose pas mais c'est plutôt excitant également de rester sur sa faim, non?

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Je dirais excitant et frustrant !
Excitant car on s'imagine pleins de choses à faire et frustant justement car on ne fait qu'imaginé et ça serait quand même mieux de pouvoir les faire !

Je précise que celà se passait vers les années 1965. C'était la période faste, de la pilule pour les femmes. Les hommes pouvaient assumer une vie plus confortable sans trop de risque.

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"Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie... pas leurs différences" Anna Galvada

Enchanté, Monsieur!

Voila un homme heureux.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

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On ne nait pas femme, on le devient (Simone de Beauvoir)

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"Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie... pas leurs différences" Anna Galvada

Le plaisir d'être sucer n'est vraiment bon que si celui de prendre en bouche est total....

A te voir Jardinsecret..
Je ressent que tu fais cela par amour par plaisirs..
Que c'est bon........

Ah la belle époque des pissotières publiques. j'ai aimé les fréquenter également lire les graffitis obscènes...
Malheureusement il n'y en a quasiment plus.

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"L'Homme est un loup pour l'Homme"Hobbs