J'abonderai dans ce sens, quand un fantasme devient réalité, il n'y a que deux choix : oublier, ou recommencer.
Une chance pour moi, mon premier mec a su être un homme respectueux, tout comme les quelques suivants. Mes premiers "navets" sont arrivés plus tard.
J'ai décrit ma première là :
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Je colle les parties les plus en rapport avec le sujet pour ceux qui ne veulent pas allez voir le lien.
Et depuis, je n'ai jamais pu me passer de ce sexe fort.
L’adolescence, les premiers flirts... et très souvent, ce besoin de me masturber, impérieux, plusieurs fois par jour, n’importe où. Et si au cours de cet éveil sexuel propre à tout adolescent, mes fantasmes me projetaient avec de belles filles, faisant l’amour à corps perdu, il y avait très souvent... la vingt-cinquième image, l’image quasi subliminale : de gros sexes d’homme, durs comme la pierre, couillus, éjaculant des seaux de sperme. Jamais de silhouette, jamais de visage, que leurs queues bandées, énormes.
Mais une fois l’éjaculation finie, plus rien, que de beaux seins, de splendide culs, de belles femmes au visage resplendissant, du style Hamilton. Je n’avais aucun problème avec les filles, et même lors des premiers rapports, tout s’est très bien passé. Bon, la performance n’y était pas, bien évidemment, mais cette sexualité me convenait à 100 %, et je convenais également à mes partenaires.
(...)
Je poursuis tout de même mon récit, lui expliquant qu’à aucun moment le désir d’embrasser un garçon ne m’est venu à l’esprit ! Que juste quelques fois, vers mes 14 ans, alors que j’étais interne, le soir, nous comparions nos bites comme beaucoup d’ados le font, du reste. Une autre fois, j’ai osé attraper la queue d’un copain qui en avait une bien épaisse pour le branler un moment, et la texture et la chaleur de cette verge m’avaient... troublé, émoustillé. Il regardait ma main le masturber, et d’un coup, du sperme s’est mis à couler sur le sol, entre ses chaussures. Ce fut le seul épisode... jusqu’à mes 18 ans, quand j’ai connu mon premier mec, Stéphane.
(...)
Mon fantasme récurant était la fellation, je rêvais de sucer un homme. Je voulais coûte que coûte connaître les sensations que l'on pouvait ressentir en suçant un homme, en lui faisant une bonne pipe. Je venais de rompre avec une copine plutôt chiante et pleine de manies, et somme toute assez peu portée sur le sexe.
En voiture, et à la nuit tombée, je me gare sur un parking bien connu pour être un "parking à PD" comme le disaient assez connement mes collègues de boulot. La peur au ventre, je m'imaginais des tas de situations, des visages... mais bizarrement, des tas de voitures ''tournaient", sans jamais s'arrêter ! Si, mais les gens descendaient pour se diriger vers le parc entre les bosquets. Et ça, même pas en rêve.
Ma fenêtre ouverte le temps de reprendre l'air, une voiture arrive avec 2 mecs dedans, et pilent devant moi, juste à ma hauteur. Après quelques questions, ils me disent de ne pas rester planté là, et de les suivre pour aller boire un coup chez eux. Pensant que de toute façon, ce n’est qu’un fantasme, et compte tenu du côté glauque de l’endroit, plutôt me saouler que de sortir de ma caisse sur ce parking de dingues ! J'ai suivi. On boit, on cause, je me détends, puis vers 23h, veux rentrer chez moi. Là, le plus jeune (30 ans environ) essaie de me rouler une pelle, chose inattendue avec un homme. Quelle horreur ! L'autre voyant que ça ne colle pas, lui dit de me lâcher, le salue et sort de l'appart avec moi. Dans la rue, il m'invite à venir discuter chez lui, sans engagement. 40 ans, beau mec posé, propre, un peu psychologue, il a tout compris.
Chez lui, lumière tamisée, whisky, il s'assoit sur un pouf, et nous parlons calmement. Puis, me sentant décoincé, il me demande ce que je cherchais sur ce parking un peu plus tôt. Je finis par lui avouer mon désir, mon rêve de sucer un homme, la voix tremblante. Il me dit alors que ces endroits étaient réservés à un certain "abattage", que cela pouvait être perturbant. S’il me convenait, il était tout à fait disposé à se laisser faire... Voyant ma paralysie, il se leva, et naturellement se déshabilla devant moi, avant de se rasseoir en tailleur devant mes yeux ébahis. Là, à quelques centimètres de moi, un homme était nu, et quel homme ! De puissants pectoraux s’étalaient fièrement entre ses larges épaules, à peine masqués par une toison brune descendant harmonieusement jusqu’à son pubis velu. Sous ses abdos, un trois pièces comme j'en voyais dans les bouquins de cul : une demi-molle d'une bonne quinzaine de centimètres, d'une largeur confortable, au fort gland retenant un prépuce plissé, faisant penser à un ressort prêt à propulser un harpon. Deux très gros testicules soumis aux lois gravitationnelles pendaient largement dessous ce gland. Craquant, pour ne pas dire irrésistible. Tout en me parlant, il me fit remarquer que mes yeux le suçaient déjà. Il me prit calmement par la main, et m’emporta vers le lit dans la pièce d'à côté, au bord duquel il m’invita à m’asseoir.
"Tu fais comme tu le sens, et si quelque chose te dérange, tu es libre d'arrêter, ok ?" me rassura-t-il. Et timidement, ma main vient au contact de ce sexe qui gonfle et déjà s’allonge.
Puis vint l'instant de le prendre en bouche. Il est gros, chaud, bute contre mes lèvres. J'écarte au maximum, et le voilà qui me pénètre délicatement. Ma bouche est vierge de toutes ces sensations : la douceur du gland, son volume, puis le prépuce qui se cale contre mes lèvres... Il me caresse la tête, m'encourage, et m'investit tendrement. Il tire sur sa hampe avec ses doigts pour bien dégager son énorme bout qui remplit bien ma cavité buccale, tant pour l'espace que par son goût, étrange et pourtant... agréable. Déjà de doux va-et-vient me permettent de bien sentir sa hampe gonflée m’écarter et me pénétrer la bouche. Ses mots me donnent de la hardiesse, et sa rigidité m’encourage, malgré l’arrogance de son gros bout. Je ne sais combien de temps je l'ai sucé, mais toujours est-il qu'à un moment, je lui ai dit :
"Je veux te boire".
Il a alors un peu plus fortement imprimé ses va-et-vient en me demandant de saisir ses couilles. Tout chez lui était gros, lourd, il était vraiment fortement membré, je m'en suis rendu compte plus tard, avec les suivants.
En quelques minutes, son souffle est devenu plus court, et puis sa queue a gonflé encore un peu, expulsant d'un coup une chaude substance, ce foutre tant attendu. Son fort goût un peu métallique m'a irradié en même tant que sa chaleur. A peine la première impression passée, un autre jet vint combler l'espace déjà très plein, et menaçait de ressortir. Je ne sais trop comment j'ai fait, mais sans trop prendre le temps d'analyser le goût, ni de réfléchir, j'ai avalé, puis une autre salve est arrivée. Des étoiles, j'en avais plein la tête, mais quel bonheur de sucer un homme, enfin ! Le goût ? La texture ? Je ne m’y suis pas attardé. En d’autres lieux, d’autres circonstances, sûrement. Mais je venais de réaliser mon fantasme le plus ancien, car depuis l'âge de mes premiers fantasmes, j'imaginais de longues giclées de foutre chaud remplir ma bouche. Et je venais de vivre cela avec un mec cool, hyper propre et très bien monté. Tous mes désirs étaient comblés !
(...)
Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si j'avais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, m'allongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche. Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je l'ai remise entre mes lèvres. Je n'en revenais pas de la chance que j'avais, depuis si longtemps que j’en fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait l'anus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction. Lui rebanda en quelques minutes tandis que sa langue fouilla mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait s'y prendre, c'était un sacré mec, et avait compris que je n'étais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait l'endurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.
Il m'expliquait comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors: "j'ai envie de te prendre.", tout en me léchant la raie des fesses. J'avais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il n'y avait pas photo ! "Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je m’arrête immédiatement". La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et j’allais me faire prendre en supplément !
Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul.... même si je n'en menais pas large, j'étais hors de tout raisonnement ! Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. J’ai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il s'était déjà arrêté, il connaissait...
Bref, en une dizaine de minutes à me ‘’brosser dans le sens du poil”, à me rassurer et me décontracter, il m'avait rempli de son pieu, sans violence, m'habituant à son imposante présence. Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je n'avais pas mal, mais mon cul “tout neuf” n'avait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle. Je ne prenais que le plaisir de l'avoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de l'instant, ça oui, d'avoir pu prendre cette queue généreuse, comme j'en voyais sodomiser des culs de femmes dans mes nombreux bouquins pornos, seuls compagnons de branlette ces dernières semaines. Là, c'était moi, c'était mon cul, et lorsque selon la position, la glace me renvoyait l'image de ce pieu qui s'enfonçait entre mes fesses jusqu'à ce que ses grosses couilles se collent aux miennes, je nageais en plein bonheur, au point de ne pas sentir de véritable douleur. Le même mec, mais brutal, il y a longtemps qu'il m'aurait cassé en deux, et je me serais rhabillé dare dare, et serais parti déçu ! Mais lui me faisait du bien, et satisfaisait mes désirs les plus inavouables !
Puis il me dit qu’il allait jouir entre mes fesses. Prenant mes hanches plus fermement entre ses mains, il accéléra un peu dans mon cul légèrement douloureux, et son visage se figea en éjaculant, enfoncé au plus profond de mon fondement. Je venais de faire jouir un homme deux fois de suite. Je n’en revenais pas, sentant Stéphane lentement ramollir entre mes fesses.