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L'Hôtel du bon plaisir par Atagartis

J'aime bien l'uro, mais pour moi c'est juste une pratique fantasme parmi d'autres. Pour d'autre c'est leur truc avec un T majuscule ! C'est le cas de l'auteur de ce récit et il faut bien constater qu'il met tout son cœur et tout son talent à essayer de nous le faire partager.
C'est à suivre...

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Je rebondis sur le commentaire de valentin. L'uro pour moi, c'est Le truc avec un grand 'L', pourtant je n'ai pas accroché.

Trop de description, de détails qui ont peut-être leur importance pour l'auteur mais beaucoup moins pour les lecteurs, une description sommaire suffit. Ceci dit, tout n'est pas négatif mais cela reste plutôt gentillet.

Encouragement quand même à l'auteur. Comme il est coutume de dire, fera mieux la prochaine fois.

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Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

Hôtel du Bon Plaisir 2 - Pause pipe (suite) par Atargatis

L'uro s'éloigne, ça reste chaud, bien décrit mais peu vassilien

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Hôtel du Bon Plaisir 3 - L'assouvissement du désir (partie 1) par Atargatis

avec une grosse digression sur le voyeurisme oedipien, c'est nouveau, ça vient de sortir

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Hôtel du Bon Plaisir 4 - L'assouvissement du désir (partie 2) par Atagartis

Oh ! Ça c'est très bien écrit et saluons la performance, il n'est pas si facile de ne décrire que du factuel pendant 20.000 caractères. Le seul problème c'est que c'est d'un classique désespérant. La petite surprise finale n'apparaissant que comme une infime concession vassilienne.

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...