Je ne suis certes pas du niveau de martine mais voici ma dernière expérience uro
Fantasmant souvent sur des femmes me donnant à boire de leur champagne, je me suis souvent dire que je souhaitais savoir le gout qu'avait ce dernier avant de se lancer. Aujourd'hui j'ai décidé de sauté le pas. L'heure de la douche approchant, j'avais bien suivi les recommandations des médecins lors des jours à forte chaleur et m'était bien hydrater. Prenant mon mal en patience, sentant ma vessie se remplir petit à petit, j'avoue que mon excitation était allait grandissante. Mais là encore, je m'étais donné pour consigne de ne pas libérer mon essence avant d'avoir mon expérience.
Fort heureusement, les heures sont passé plutot vite, passant mon temps sur ce forum et sur le net en général, occupant mon esprit autant que faire se peu. Cependant, le premier défi fut, et pas des moindres, de ne pas céder à la précipitation. Vous savez, quand vous retirez vos vêtements, que l'air même légèrement plus froid touche votre peau. Pour mon corps c'était le signal qu'il était temps, l'envie d'uriner sembla sauter sur moi aussi surement que mon sang commencait à battre. Je me hatai donc d'entrer dans la douche disant "merde" à un quelconque rangement de vêtements, les faisant volé dans la salle de bain.
Alors que j'entrais dans la cabine deuxième épreuve, se retenir alors que la surface froide de l'intérieur de celle ci me disait "c'est bon, maintenant tu peux te lacher". Et gacher ainsi mon champagne ? PAS QUESTION. J'étais prêt, je fermais la douche. Les premiers signes d'excitations étaient bien là. Devant l'angle de mon appendice lorsqu'il en érection, je devais une fois encore me hater pour éviter de devoir faire une drole d'acrobatie pour profiter de l'expérience. J'avais prévu une petite bassine sous mes pieds, histoire d'en conserver un maximum.
Enfin, j'ouvrais les vannes. Le liquide doré apparaissait enfin. J'étais assez surpris de sentir sa chaleur et le bien que cela me faisait ressentir lorsqu'il touchait ma peau légèrement plus froide (d'ailleurs cela me laisse penser que la même expérience en hiver pourrait être bien alléchante). Je passais ma main pour étaler tout le liquide sur moi. Les mots me manquent pour décrire l'odeur, que dis-je la fragrance, qui arrivait à mon nez. La douche étant fermée, je m'enfermais dans ce nuage de senteur qui commencaient à faire de sacré effet. Sur la fin, mon gland semblait légèrement se serrer, au point que la sortir du liquide était plus chaotique mais aussi plus étendue. La bassine à mes pieds étaient plutot bien remplie, je la portais alors à ma bouche.
La première gorgée, fut la plus petite, je la savourais tel un vin grand cru, je la retenais sur ma langue pendant bien 30 seconde, peut etre plus, avant de céder à la tentation de l'avaler. Le gout ... là encore, je ne saurais comment le décrire si ce n'est qu'il était extrêmement troublant, changeant entre le passage de la langue à la gorge. Pas question de m'arrêter là. Je bus deux autres gorgée normal alors de remplir ma bouche et me recouvrir du reste. Debout, recouvert d'urine, assaillit par mes propres "souillures", si on peut dire, j'étais dans un état second. Je commencais alors à me masturber, pensant à cette sévère maitresse qui, en plus de m'attacher, de me goder le cul, s'amusait à m'uriner dessus, à me mettre sa culotte imbibée de sa liqueur dans la bouche et me laissait là, dans son odeur. Puis comme pour me donner le coup de grace, elle me collait le visage sur sa vulve pour que le puisse la boire à la source. A ce moment, j'avalais les dernières gouttes de la grosse gorgée. Mon membre tressauta, mon esprit enivré, mon palais totalement troublé, j'eus alors, juste à la dernière minute l'idée de recueillir ma semence dans ma main. J'étais déjà allé si loin pourquoi, ne pas continuer la découverte culinaire du jour. Je portais donc ma main à mes lèvres et lécha mes cochonnerie. Là encore, mon palais était plutot surpris du gout. Si je ne manquais pas de culture en vocabulaire culinaire, j'aurais temps aimé vous décrire ... Quoiqu'il en soit, je suis resté bien 2 ou trois minute dans mon jus à respirer mes fragrance avant d'enfin faire couler l'eau et nettoyer mon corps sale d'urine, de transpiration, et de sperme un peu (j'avais été plutot doué dans la récolte).
Certes plus de trace de mes travers sur ma peau, mais mon esprit reste rêveur. Réitérer l'expérience semble au programme prochainement ^^
En espérant que cela vous ait plu