Bonsoir (Ou plutôt bonne nuit) à tous les vassiliens !
J'étais sur le point de m'endormir, mais je me suis dit qu'il fallait que je partage cette expérience avec vous.
Ma femme est partie en vacances avec mon fils pendant une semaine, et je viens de profiter de cette première soirée seul à la maison pour tenter une expérience : les témoignages sur ce sujet m'ayant donné pas mal d'idées. En fouillant un peu dans la chambre, j'ai retrouvé des capotes et du gel lubrifiant, mais nous n'avons plus de gode. J'ai donc repris mes vieilles habitudes, et fait avec ce que j'avais sous la main : un tournevis relativement imposant (C'est exactement
celui qui est sur la photo), avec lequel je m'étais déjà godé, voilà bientôt un an et demi.
Je lui ai enfilé la capote, en ai recouvert un peu le bout de gel lubrifiant, ai affiché des récits érotiques sur ma tablette (J'ai fait une infidélité à Vassilia ce soir pour découvrir ceux de Revebebe), ai éteint la lumière et me suis mis au lit.
J'ai eu un peu de mal à enfiler le gode au-delà des deux premiers centimètres, et étais prêt à me caresser en ne faisant pénétrer que le bout quand, en m'allongeant sur le dos, il est entré en moi d'un seul coup (Jusqu'au niveau du creux, vers les trois-quarts du manche). Au début, je pensais me masturber seulement, comme je l'avais déjà fait de rares fois auparavant, mais quelques sensations m'ont poussé à expérimenter et à découvrir ma prostate. J'ai commencé en douceur, en faisant quelques va-et-viens, mais je me suis rendu compte que les sensations étaient plus fortes quand je le maintenais à la même profondeur, et que je lui faisais faire de petits cercles.
Les sensations se sont encore accentuées quand j'ai contracté mes sphincters et, tout en continuant ma lecture, je me suis remis sur le dos. Je me suis cambré en poussant sur mes jambes, et j'ai décuplé les sensations en poussant légèrement la tige du tournevis vers le bas, ce qui faisait appuyer le bout du manche de ce dernier contre ma prostate.
Les sensations montant, je me suis progressivement désintéressé de ma lecture, mais je n'ai abouti qu'à quelques malheureuses gouttelettes, à plusieurs reprises. Je me suis posé pour souffler, le gode improvisé toujours implanté dans mon fondement, puis je me suis abandonné. J'ai alterné les moments pendant lesquels je serrais les sphincters, où les sensations sont les plus fortes, et les moments où je les relâchais, me permettant de donner plus d'amplitude aux mouvements du gode. La jouissance approchant, je faisais des mouvements de plus en plus amples, pour aboutir à l'orgasme le plus puissant de ma vie. J'ai fini par jouir une grande quantité de sperme, le souffle court.
Je me serais bien endormi, mais il me fallait aller nettoyer le tournevis et jeter la capote, que j'avais quelque peu souillée. J'ai tout de même attendu quelques minutes, dans un état de total abandon. Je ne vous remercierai jamais assez pour m'avoir fait découvrir ça.
Quelques considérations techniques :
- La sensation est, au départ, comme une forte envie d'uriner, rien à voir avec la montée d'un orgasme "normal". Ça m'a bloqué au début, parce que je ne voulais pas salir les draps, mais je venais d'aller aux toilettes auparavant.
- C'est en contractant les sphincters que les sensations ont été les plus fortes. Toutefois, je pense que c'est dans un moment de décontraction que j'ai joui. Il faut donc, à mon sens et à l'aune de cette seule expérience, bien alterner les phases, et ne pas relâcher les mouvements. C'est quand je faisais des pauses que les sensations redescendaient. Il était toutefois facile de les faire revenir, et ces pauses m'ont fait du bien.
- Un mouvement qui m'a bien fait monter est, les sphincters contractés, le fait d'avoir donné de petits coups répétés sur la base du tournevis, pour que le bout du manche masse plus ou moins fortement la prostate.
- J'ai été tenté d'abandonner plusieurs fois, ayant à un moment atteint un moment d'extase proche d'après un orgasme normal.
- Pour finir, j'ai pris en tout, facilement une heure et demie, voire deux, pour jouir. Mais je suis un habitué, lors de mes pratiques solitaires, de montées de plaisir en douceur, sur le temps (Ce qui fait que ces jours-là, je me couche tard).