vassilia.net

Merci Omphale.
Cela me fait penser à cette règle d'or que l'on retrouve dans divers courants de spiritualité: "ne fais pas à autrui ce que tu n'aimerais pas que l'on te fasse". En affinant dans l'affirmative, on peut par empathie viser juste sans ne rien imposer. La réciproque est bien valable dans tout type de relation. "aimer son prochain comme soi-même" ou "ce que vous voulez que l'on fasse pour vous, faites- le aux autres"
Qui ne souhaite pas être aimé en retour ? Ne rien attendre est un stade avancé de sagesse, qui n'exclut pas le partage, et sous-entend également de savoir recevoir, mais qui reste une belle théorie pour beaucoup.

Et la volonté d'aimer ou d'être aimé n'est certainement pas le meilleur chemin. Les notions de lutte, de combat, d'acharnement inscrites dans le vouloir y sont guère propices. Alors que désir, plaisir envie... La nuance est de taille.
L'attrait pour des êtres différents, exceptionnels, atypiques, remarquables, originaux, marginaux et bien sûr pourquoi pas handicapés ne me choque en rien.
je me méfie plutôt de la norme et du commun.
Sans toutefois idéaliser, les accidents de la vie peuvent aussi favoriser un certain recul, une réflexion sur des questions plus essentielles, que nombre de "valides" ne prennent pas le temps d'aborder.
Bien plus qu'un tas de chair, le corps est bien un outil, un moyen pour éprouver l'être.
Oui, là c’est bien triste et regrettable, la vigilance s'impose.
Mais combien de malsains, de manipulateurs a priori bien sous tous rapports isolent, fragilisent et détruisent des gens « bien portants » ? Certains se font même élire...
Pour tout un chacun, il n’y a rien de pire que de subir par dépit.
Alors c'est cool Martine, mais comme on ne peut généraliser, ils ne sont pas « toujours » aussi patients, chacun à ses soucis et moments d’humeurs.
On peut bien le comprendre, surtout pour ceux qui ont encore du mal à accepter leur condition, ça peut être long.
Il arrive que certaines personnes souhaitant aider en fasse trop, et les traitent aussi comme des débiles, ça ne fait pas vraiment plaisir… Comme aussi par exemple, parler très fort à un aveugle mdr

Ton questionnement sur l’ambiguïté devrait être la même qu’avec n’importe qui, non ? Chacun peut réagir différemment, mais si ça te titille, aborde toi-même le sujet, tu verras bien…

Un reportage vu dernièrement (la chaîne ?) traitait des assistants sexuels en Suisse, des personnes formées à donner aussi bien de la tendresse, de l'affection et du plaisir à des personnes handicapées.

remarque très pertinente !


MisterG, le point que tu abordes a justement été évoqué dans Sexe et handicap. N'hésite à y donner ton avis

Au-delà de cette prise de conscience, il serait temps pour le coup, de se retirer les doigts du cul...

Bon, petit intermède musical:
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Ce post auquel je n'avais pas pris garde me rappelle subitement une petite aventure dans un ciné porno.
J'étais assis au dernier rang et très occupé à me palucher.
A un moment j'entends une respiration un peu forte derrière moi et je me retourne.
C'était un homme petit dans une chaise roulante qui était là et qui avait du me regarder depuis un moment.
Nos regards se sont croisés et le sien est descendu vers mon sexe comme s'il voulait que je continue.
Alors je me suis mis de côté de façon qu'il puisse me voir le plus possible.
Il m'a semblé qu'il était aussi paralysé des bras car il avait un petit "manche" sur l'accoudoir de son fauteuil. Il était presque plaqué sur le dossier de son siège et avait manifestement des problèmes pour bouger son buste.
Quand j'ai changé ma position pour qu'il me voie mieux il m'a souri en disant "merci".
Je me suis donc masturbé cette fois là uniquement pour cet homme.
Au bout d'un moment j'ai passé mon bras derrière le dossier de mon siège pour tenter de le toucher. Ma main s'est posée sur sa jambe et j'ai tenté de remonter vers son genou. Mais il était trop loin.
Alors l'homme a manoeuvré sa chaise et j'ai cru qu'il allait partir. Mais non il s'est positionné de côté de façon à ce que ma main puisse atteindre sa cuisse que j'ai touchée.
J'ai bougé sur mon siège de façon à pouvoir aller plus loin dans mes investigations et atteindre son sexe. Il ne faisait aucun mouvement et n'a pas bougé ses bras. J'ai pensé qu'il était très handicapé.
J'ai appuyé mes doigts sur l'emplacement de son sexe et je l'ai regardé en lui demandant à voix basse "je peux ?". Il m'a fait un signe de tête qui voulait dire oui.
J'ai donc insisté et en me tournant complètement j'ai défait son pantalon et j'ai introduit ma main sur un sexe qui m'a paru relativement gros. Il a eu une petite toux et en même temps j'ai dégagé sa verge qui commençait à grossir. Comme j'étais dans une position peu confortable je me suis levé et je suis venu me mettre à coté du petit homme. J'ai posé ma bite sur sa main. Il a réussi à tourner sa main pour saisir ma bite et la serrer. Moi un peu penché je me suis mis masturber sa verge qui était plus grosse que la mienne.
Cela a duré environ 10 à 15 minutes et subitement l'homme a reculé son fauteuil et m'a dit d'une voix rauque : "Range tout et je te remercie". Et il est sorti du cinéma.
Quelques jours plus tard je me promenais avec ma femme et j'ai vu le même homme dans son fauteuil à la terrasse d'un café. Nos regards se sont croisés sans plus.

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Il faut donner ses lettres de noblesse au travail manuel.

je trouve que cela est très bien de ta part d'avoir eu une relation avec un handicapé, car comme je le disais plus haut les handicapés doivent avoir aussi droit à la sexualité , ce qui ne doit pas être toujours évident!! mais ce que je ne comprends pas c'est qu'en étant assis au dernier rang il était derrière toi??? en principe le dernier rang est collé au mur!!
ensuite tu l'a revu à la terrasse d'un café mais il avait peu de chance de te reconnaitre vu la pénombre des ciné porno!!!
pour te raconter une anecdote une fois que je parlais d'un ciné porno avec quelqu'un d'autre, m'a dis avoir vu une fois alors que le chiottes étaient bouchés et débordait, il y avait un trav qui pataugeait dedans!! alors je lui ai dis oui je m'en souvient car cela devait être moi!!

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toujours très courte sans aucun sous-vêtement!! ne vas pas aux WC, mais aime servir de WC complet!!!

Martine tu as raison j'aurais du préciser que dans ce cinéma les spectateurs entraient par le fond de la salle et qu'il y avait environ 3 ou 4 mètres entre le mur du fond et les derniers rangs. La personne handicapée avait l'espace suffisant pour faire rouler sa chaise. Et puis nous nous sommes retrouvés suffisamment près pour nous puissions voir nos visages dans la pénombre à laquelle notre vue s'habitue.

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Il faut donner ses lettres de noblesse au travail manuel.

OK petibicou et félicitation!!!

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toujours très courte sans aucun sous-vêtement!! ne vas pas aux WC, mais aime servir de WC complet!!!

je n'ai pas ce fantasme ou envie spécialement , mais je comprends bien que ces personnes aient des besoins comme nous bien sur. Alors sauf hadicap ''lourd'' je ne vois pas pourquoi une personne handicapée mais sympa, de bon niveau , ne m'interpellerait pas..je pourrai être tenté..effectivment une non voyante aurai ma préférence, peut-être parce que je me sentirait plus 'libre'' sans un regard jaugeur...j'ai eu un emaie (en couple dommage) qui avait un pb de naissance à la hanche elle boitait beaucoup et avait besoin d'une canne souvent, mais elle avait une gueule d'ange et un corps superbe, je n'aurai pas hésité longtemps

Je suis handicapé des jambes suite à une déficience musculaire à partir de la taille je marche avec des cannes et je suis aussi incontinent urinaire je porte des couches culotte.
J’ai rencontré dans un bar où je vais boire un café tous les matins un homme mur avec qui j’ai sympathisé, il était très curieux de mon handicap, sur son origine, sur les douleurs, sur la gêne que cela occasionné. Quelques rencontres plus tard il m’a invité à boire un verre chez lui en fin d’après midi. Nous avons échangé quelques paroles anodines et la conversation est venu sur mon handicap par des questions plus ou moins indiscrètes, l’air un peu gêné il m’a dit j’aimerais voir comment tu es sans tes habits si ça ne te gêne pas. Après un petit silence j’ai répondu oui si tu y tiens vraiment (j’ai passé plusieurs années en pension dans une école spécialisé et ce mettre nu devant les autres pour la toilette était une chose normale et en plus j’aime être nu et m’exhiber) Il m’a dit oui j’aimerais voir.
Assis sur un pouf J’ai commencé par me mettre torse nu, j’ai enlevé mes chaussures et mes chaussettes, j’ai enlevé mon pantalon, il ne me restait plus que ma couche culotte je me suis levé du fauteuil pour qu’il me voit bien j’étais debout devant lui appuyé sur mes cannes et ma couche culotte pour tout vêtement et d’un air interrogateur je lui demande si ça lui plait. Il me dit oui très intéressant il m’examine du regard il fait des commentaires sur mes jambes fines très peu musclées sur mon torse et mes épaules larges, il se lève tourne autour de moi et me dit on peut voir ce que cache la couche ? Sans répondre je défais les attaches de la couche qui tombe à mes pieds, me voila totalement nu devant lui, à partir de c’est instant il fait des commentaires à caractères sexuel sur mon anatomie trouvant mon petit sexe sympathique et passant de la parole aux actes il caresse mes petites fesses en insistant sur mon petit trou, il tâte mes testicules pendantes, il caresse mon sexe avec ses doigts se qui a pour effet de déclencher une érection que je ne peux pas maîtriser, les commentaires sont de plus en plus sexuels et obscènes et mon érection à l’air de l’inciter à continuer ces attouchements, il passe une main sur mes fesses et force mon petit trou avec doigts il branle mon sexe et mon anus sans retenu ce qui me fait jouir rapidement dans sa main, il essuies sa main sur mon bas ventre et me dit j’ai vu ce que je voulais voir tu peux te rhabillé. En me raccompagnant à la porte il me dit la prochaine fois moi aussi je veux prendre du plaisir j’ai dit oui et je suis parti.

Tu as déjà la date de la prochaine fois?

Et sais-tu ce que tu lui feras pour son plaisir?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Il s’est écoulé une bonne semaine avant qu’il m’invite de nouveau chez lui. Il m’a ouvert sa porte juste vêtu d’un caleçon, d’un ton très directif il me montre une chaise et me dit déshabille toi, à cause de mon handicap je ne suis pas très rapide pour me déshabillé, je me lève en ayant gardé ma couche culotte. Il me fait face, il enlève son caleçon en exhibant son sexe (de taille moyenne) il me dit c’est pour ton petit cul, suit moi, il me fait mettre à plat ventre sur la table de la salle à manger les jambes pendantes, il m’enlève ma couche caresse mes fesses, m’enfonce un doigt dans le cul, masse mon anus, il enfile un préservatif pose ses mains sur mes hanches et il me sodomise sans retenu mon anus s’ouvre de plaisir les vas et viens s’accélèrent et me pénètrent de plus en plus jusqu’à la jouissance il se retire et me dit il y a un petit moment que j’attendais ça.

Il ne t'a pas fait jouir? C'est chacun votre tour?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Non il ne pensait qu'a mes fesses plates et à mon petit trou et son désirs de sodomiser un handicapé

je trouve sympa que des personnes handicapées parlent de sexe et de leur handicap!!!

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