Etranges bijoux de sexe pour l’homme que ces « casques » (helmet en anglais). En bronze naturel, argenté ou doré, de formes différentes selon l’effet recherché, ils sont prisés aussi bien par les homosexuels que par les hétéros. Nos recherches n’ont permis de trouver qu’un seul fabricant, Rosebuds, que nous connaissons bien (mais nous ne nous sommes arrêtés à eux qu’après avoir honnêtement exploré le web). Voici quelques modèles, qui permettent quelques jeux d’exhibitions privées, le plus souvent teintés de domination soumission. Pourquoi le helmet ? Parce que, pour certains, c’est fort joli. Un pénis dressé arborant fièrement ce bijou qui enserre la base du gland est assez esthétique.
Une autre raison est la sensation, d’enserrement bien sûr, mais aussi de froideur sur la peau. Ces helmets décoratifs ont plusieurs dessins. Certains sont plus ouverts, d’autres plus pleins. Affaire de goût.
Enfin, certains helmets donnent de curieuses éjaculations : ainsi le « Bira», en forme de serpent, empêche-t-il le sperme de jaillir, mais le fait couler le long de la hampe, ce qui permet à la personne qui jouit de ce spectacle de le lécher et de « nettoyer » le membre jusqu’à la dernière goutte. Pour les amateurs avertis, le « Ari snake », helmet également en forme serpentine, mais avec une pointe légère, celle-ci pénétrant l’urètre sur un ou deux centimètres, empêche encore plus l’éjaculation de fuser. Les vrais amateurs de pénétration urétrale pourront même apprécier le « yourethra », certes un casque, mais un casque à pointe, pour une pénétration prussienne. Punition infligée par une dominatrice ou un dominateur ? Sans doute.