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 Sujet du message : Re: [Jeu] Histoire collective !
MessagePosté : ven. 21 oct. 2011, 00:08 
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 22:28
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Sexe et orientation sexuelle : bi? pas bi? allez savoir...
Localisation : 4 lieues à l'est
J'ai repris l'ensemble des aventures de Cunégonde et arrondi un peu les angles, mais ça devient très très chaud :D

Chapitre 1

Elle commença par défaire sa robe d'été rouge de manière lascive, la laissant glisser lentement vers le sol dans un geste alliant grâce et légèreté.
C'est alors que son chien entra...
Elle prit son revolver et tua le chien, car celui ci ne plaisait pas à son amant principal, oui parce qu'elle avait toute une collection d'amants, était elle une vraie s.....? Non bien sûr c'était une femme du monde qui faisait dans le caritatif et que personne n'aurait put soupçonner de se complaire dans des actes que la morale réprouve et que la Sainte Église condamne.

Et pourtant en ce samedi soir, son désir était bien fort, alors elle se leva, se dirigea d'un pas résolu vers sa cuisine et d'un geste vif, ouvrit le réfrigérateur pour prendre un concombre .....mais se ravisant et elle se dirigea vers la sortie de son appartement parisien qui se trouvait juste au dessus de la brasserie Mollard, vers la gare Saint Lazare. Elle prit la direction de la rue du même nom pour s'engouffrer rue de Budapest, qui fut un haut lieu de la prostitution et de maisons d'abattage. Mais qu'allait elle faire dans de pareils endroits, alors qu'elle était attendue chez Mollard pour déguster des huitres en compagnie d'un charmant vieux monsieur bedonnant, un brin vieux cochon...
Elle remontait la rue de Budapest, songea un instant à entrer dans une boutique d'électronique pour faire réparer son vibro mais s’arrêta devant un groupe de filles qui attendaient là. Elle s'adressa à une petite rousse au minois craquant et lui demanda....
« Excusez-moi, vous n'auriez pas l'heure, s'il vous plaît ? » ce qui évidemment n'était qu'un moyen de l'aborder. En effet la femme a qui elle demandait l'heure n'était autre qu'une belle prostituée, mais accepterait elle de la prendre comme cliente, ce n'était pas gagné, il faut dire que cette belle fille l'attirait beaucoup. Un corps dodu, de gros seins, des lèvres pulpeuses, si elle n'était appuyée sur le chambranle de cette porte, on aurait put la prendre pour une femme du monde....

Puis elle se dit "bah, après tout, on ne vit qu'une fois" et décida de se jeter à l'eau. Hélant un taxi, tout en invitant la prostituée à la suivre, Cunégonde (c'est enfin son prénom, qui signifie: "celle qui n'a pas froid aux yeux"), demanda au chauffeur de les conduire sur les quais de Seine. Flûte, pensa-t-elle amusée, j'aurais dû prendre ma bouée à tête de canard (allusion à son RDV chez Mollard)...

Puis, la prostituée lui dit: "vous vous promenez souvent dehors en si petite tenue ?" Elle ne comprit pas tout de suite, et réalisa avec horreur qu'elle était sortie en sous-vêtements. Où avait-elle la tête ? Pourquoi ne lui avait-on rien dit ? ... Se ressaisissant elle répondit:" Je m'appelle Cunégonde, je n'ai froid ni aux yeux, ni ailleurs"... Pour le lui prouver, elle prit la main de la prostituée pour la plaquer sur son sexe déjà fondant.

"Waow!" S'exclama la rouquine, " Enchantée, tu me plais bien dans ton genre, je crois que l'on va bien s'entendre toutes les deux, moi je suis "P'tite Lulu", et je te réserve également quelques petites surprises que tu apprécieras certainement. Et puis... bon, je fais peut-être une connerie, mais j'arrête le compteur pour ce soir, je sens qu'on va bien s'amuser, tu as l'air complètement folle et ça m'excite".

Le chauffeur de taxi, qui n'en perdait pas une miette, les regarda s'embrasser dans son rétroviseur... C'est alors qu'il brula un feu rouge et renversa Urbain Moussant, sénateur de côtes d'Armor

A l'arrière du véhicule, le choc eut l’effet d’une douche Écossaise. Cunégonde laissant échapper un cri, reconnut en une fraction de seconde ce grand Breton qu’elle avait quitté une semaine plus tôt.

Le taxi s’arrêta. Urbain Moussant gisait sur le bitume, des bulles s’échappaient de sa bouche, ça rappela à Cunégonde cette soirée torride passée avec lui dans son jacuzzi.

« Et merde ! » lança le chauffeur, « Tout ça c’est de votre faute, espèce de salopes ! ». P’tite Lulu ne se démonta pas : « qu’est-ce que tu racontes, abruti, on te paye pour conduire et regarder la route, se branler avec les clients c’est mon job, alors arrête ton char, et crois-moi que ton permis et ta licence vont sauter, c’est bien fait pour ta gueule ducon ! Et t’attends quoi, là ? Sors de ta caisse et va au moins voir si t’es pas non plus un assassin, enculé ! ».

« Minable, s’il est mort, je te crève !» surenchérit Cunégonde… sur ces entrefaits une ambulance et un car de police arrivèrent; le pauvre Urbain avait eu plus de peur que de mal, juste sa veste arrachée et une bosse. Cunégonde sentait sa soirée partir en sucette, elle était a demie nue dans un taxi, un taxi qui avait manqué d'écraser un homme, un car de police était la, et une prostituée était assise a coté d'elle dans le taxi, elle qui n'aimait pas trop le parfum du scandale, elle était servie. Foutue sa partie de jambe en l'air avec la cette jolie fille, du moins le pensait-elle, mais les choses allaient tourner autrement et ce de façon si innattendue et si agréable.

C'est alors que le chauffeur se tourna vers elles et leur dit: "bon, tout ceci est de ma faute, je peux faire quelque chose pour me faire pardonner ?". Cunégonde eut alors une idée, et sans qu'elle n'aie rien dit, Lulu comprit rien qu'avec son regard qu'elle avait l'intention de...
- De se faire une infu ?
- De porter plainte ?
- De piquer une tête dans la Seine ?
- Manger un kébab, mais sans oignons (faut pas pousser) ?
- venger son amant ?
- D'aller à Eurodisney avec Carla (oui, c'est le vrai prénom de p'tite Lulu, enfin, anciennement Carlo) ?
- De tirer (un trait sur le passé) ?
- Passer voir sa mère ?
- De partouser avec le chauffeur, p'tite Lulu, Urbain, les urgentistes et les flics ?
- De ne pas payer la course ?
- 2 kaurijaient lé fôte à Porequi ?
- De s'occuper d'Urbain, avec p'tite Lulu ?
- De faire les boutiques ?
- D'aller en teboî ?
- D’appeler son psy ?
- De partir pour St Jacques de Compostelle ?
- De changer de forfait ?

En fait P’tite Lulu n’avait rien compris. Mais à peine avait il fini sa phrase que quelqu'un cognait à la vitre du taxi, coté chauffeur. Un homme en imper montrant sa carte barrée tricolore, interpellât le chauffeur.
''Alors mon brave, ou comptez vous aller comme ça? Et puis tiens une femme en sous vet dans un taxi qui renverse un homme, ca m'intéresse tout ca, vous allez tous m'accompagner au poste, allez au trot!!!''

La carte tricolore, n'était autre que le commissaire Prosper Vert, de la brigade des mœurs (fameux organisateur de partouzes dans les commissariats et casernes de Pompiers de Paris)..... Qui justement avait un besoin urgent de chair fraîche pour une petite partouze que son Ministre organisait...


Chapitre 2


Une rafale de mitraillette retentit, Vert dégaina son portable.
"Allo Prosp’, c’est Claude, bon qu'est-ce que tu fous ? Dominique vient d'arriver, tu viens fêter son retour avec nous ?"
Et pas d'erreur ce coup-ci, ok ? »…
"Quelle aubaine" se dit-il. Il se tourna vers les deux filles et leur dit: "ça vous dirait de m'accompagner à une soirée...hem...très spéciale ?", elle acquiescèrent avec un grand sourire. Vert répondit alors à son correspondant: "ça tombe à pic, je vous amène de la compagnie". Et ils partirent tous les trois...

Le car de police disparut, tandis qu'Urbain Moussant sortant de l’ambulance, eût juste le temps de reconnaître Cunégonde qui montait à l’arrière de la voiture du flic.
Il les regarda s’éloigner puis courut vers le taxi, oublié sur le bas côté:
- « Quelle chance, est-ce vous qui m'avez percuté ?".
- "Voui..." bredouilla le chauffard hébété.
- "Et vous êtes libre ? »
- "Ben… Je pense que oui, finalement".
Le sénateur ouvrit la portière.
- “Très bien, alors, vite, rattrapez-les ! Vous me devez bien ça...”
Pendant ce temps, dans le véhicule de Prosper, les présentations se sont engagées :
- "… P’tite Lulu ? On se connait me semble-t-il ?"
- "Hmmm, pas tout à fait commissaire, mais je sais que mon demi-frère Carlo vous a déjà… rencontré."
- "Carlo ! En effet, il y a un air de famille… Waow ! Bravo, très réussie, tu es magnifique !
Je crois bien que c’était chez Franck, tu es une bonne copine de zahia, non ?"
- "Décidément, le monde est petit !" lança Cunégonde, "figurez-vous que je connais l’homme qui a été renversé. Je me sens stupide de ne pas m’en être inquiétée d’avantage, mais ce soir tout va si vite, je suis… comme happée par un… je ne contrôle plus rien… Mais au fait, où allons-nous exactement ?"

Prosper remarqua le taxi dans son rétroviseur :
- "Encore lui ? Les filles, on dirait que nous sommes suivis, et là où je vous emmène, on n’aime pas trop ça, alors accrochez-vous ! "
Ils filèrent à toute allure dans les rues de Paris, et arrivèrent à destination en semant leurs acolytes.

Le commissaire sonna à la porte d'un appartement cossu, une soubrette a demie nue leur ouvrit, ils pénétrèrent à l'intérieur et là, sous leurs yeux, un grand nombre de couples hétéros ou homos, copulaient ensemble, dans tout les recoins de cet appartement, parfois cela ressemblait à un amoncellement de corps.

Puis un homme arriva au cheveux grisonnant arriva.

-"Bonjour, je suis Denis-Simon De Kalembourg, propriétaire de ces lieux, mettez vous à l'aise. ..... Ah vous êtes la commissaire, je me sens déjà moins seul, suivez moi au hammam et ensuite nous prendrons une douche..."

Cunégonde était émoustillée, son crustacé commençait a ruisseler
Se retrouvant momentanément isolées dans ce boudoir aux tentures de velours rouge, P'tite Lulu s'approcha de Cunégonde pour l'embrasser dans le dos, remonta sur son épaule, puis dans le cou.
Tout en glissant délicatement une main entre ses cuisses humides, elle lui chuchota :
"Comme on se retrouve, hmmm, tu n'as pas changé... Viens, je vais te faire visiter, je suis déjà venue ici, tu vas halluciner".
Au contact de ses baisers, Cunégonde sentant ses jambes flageoler, se rattrapa à une petite commode. A peine devina-t-elle la main de p'tite Lulu se frayer un chemin sous sa petite culotte, que tout son corps s'embrasa, ses tétons prêts à exploser perçaient son soutien-gorge. Après un long gémissement, entre deux halètements, elle finit par ouvrir les yeux et articuler:
"Ha bon, tu connais cet endroit ? Mais pourtant personne ne semble te reconnaître... Ok, je suis prête à tout mais juste avant, indique-moi le pipi room".
P'tite Lulu qui se léchait les doigts, répondit en souriant: "C'était, disons dans une autre vie, tu n'es pas au bout de tes surprises, et justement, le pipi room en fait partie".

Cunégonde décida de se déshabiller afin que les auteurs de Vassilia ne soient plus perturbés. Puis elle donna le peu de vêtements qui lui restait à une fille blonde au frais minois qui lui fit un grand sourire déshabilleur (quoique là c'était déjà fait) qui lui dit "Je te retrouve tout à l'heure, moi, c'est Tristane... Ne t’inquiète pas, Mlle, je prendrai grand soin de tes affaires"…
Cunégonde n'ayant pour seule préoccupation immédiate que de pouvoir soulager sa vessie devenue douloureuse, était loin de se douter qu’elle ne reverrait plus jamais ses effets.
Tristane était la jeune héritière de « Bleu de France », une maison réputée très sérieuse, qui avait également pour passion de revendre sur internet tous types de sous-vêtements déjà portés.
Tout le monde ici le savait et s’en amusait. Cunégonde avait bien eu un ticket, mais certainement pas celui qui lui permettrait de se faire rembourser autrement qu'en nature…
- "Conduis-moi vite, P'tite Lulu, je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps !".
- "Viens ma chérie" répondit-elle, " tu vas me faire un joli petit cadeau en liquide !"
Cunégonde, qui était un peu naïve, s'écria: "Mais, je ne suis pas porteuse de valise, et je n'ai pas un radis"!
- "viens, ne soit pas godiche, et soit dit en passant, ici on préfère les concombres aux radis!"
Entraînant Cunégonde dans la pénombre d’un couloir qui n’en finissait plus, dans lequel se mêlaient à une musique techno les cris et gémissements d’autres convives, ça et là quelques regards approbateurs et mains flatteuses, P’tite Lulu poussa enfin une porte donnant sur une pièce a priori spacieuse, toute habillée de marbre noir et de grands miroirs fumés, agréablement éclairée de lumières indirectes.
En son centre, encastré dans le sol, un spa vide se trouvait surplombé d’un siège percé, accessible par quelques marches.

Cunégonde entra, poussée par P’tite Lulu qui referma la porte en laissant glisser sa robe à ses pieds déjà nus, dévoilant ses formes généreuses ainsi qu’une protubérance, que le frêle shorty ne pouvait décemment plus contenir entre ses jambes.
- "Vas-y ma reine, grimpe sur le trône et donne-toi à fond !"
Pour le moins bluffée par cette promotion, le cadre et la découverte de l’anatomie prometteuse de sa compagne, mais toujours friande de nouvelles expériences, Cunégonde s’installa de bon cœur.
C’est vrai, se dit-elle, en de telles conditions, il serait regrettable de se priver.
Ne dépassant le sol que du sommet de sa chevelure rouge, P’tite Lulu était fin prête à recueillir ce jus, aussitôt lâché d’un jet puissant accompagné de râles de soulagement…

Denis-Simon Kalembourg les regardaient en compagnie de sa femme de ménage, qui lui taillait une saint Claude royale.

D'une autre pièce se faisait entendre les échos de la fête des 18 ans d'une pucelle pas effarouchée et qui sautait de bites en chattes. Oui c’était l'anniversaire de la fille de Denis Simon Kalembourg, il ne savait rien refuser à sa fille, même ses frasques sexuelles, la fête battait son plein, il y avait vraiment le tout paris libertin à cette fête, des travestis, des dragqueens, des transsexuelles, des gays, des lesbiennes, de héteros, et même des métro sexuels.
De plus il y avait toutes les nations ou presque dans cette joyeuse assemblée.
Il y avait même parait il un évêque qui était présent à cette fête de façon incognito.
La champagne coulait à flot, les petits fours, les canapés, étaient servis par des serveurs et serveuses qui déambulaient fesses nues, il y avait presque un parfum d'orgie romaine dans ce grand appartement parisien avec même un feu d'artifice...
Les gens étaient rassemblés par tribu : les gays d'un coté, les lesbiennes de l'autre, tout le monde copulait sans se soucier du regard des autres, de jeunes serveuses bavaroises aux poitrines opulentes, prélevaient d'une fontaine à bière en laiton massif des chopes de bière moussante et les proposaient a qui le voulait.

Par ci par là, des stands de sandwich, de sushis, de mets orientaux agrémentaient la fête... Denis-Simon ne regardait jamais à le dépense quand il faisait la fête, il y avait aussi des montagnes de préservatifs de toutes les couleurs et à tout les parfums.

On attendaient parait il des attractions pour minuit... Cunégonde n'en revenait pas. Tant de luxe, pour une jeune provinciale, c'en était presque trop. Cette fête aurait fait pâlir les princes de Condé, et Louis XIV lui même. Cunégonde se sentait misérable sans même ses dessous sur les fesses...

Mais où était donc passé la femme de Denis??? tout le monde se le demandait... et pendant ce temps là, grand mère se tape la bonne (Merci Brel!)! En fait, (le temps passe!!) la femme de Denis était debout sur une table, dans une salle ronde, les jambes écartées, une jeune fille, assise au sol lui massait délicatement l'anus pendant que sa fille, couchée au sol, se caressait frénétiquement, profondément. Autour, des couples nus, assis regardaient un DVD perso de l'ex patron du Fuck Machine International, méconnaissable derrière son loup taillé dans un rideau de douche.


Pendant ce temps, Cunégonde, maintenant soulagée, roulait une pelle d'enfer à P'tite Lulu qui avait bu tout le contenu de sa vessie. Au départ P'tite Lulu avait bien caché sa queue entre ses cuisses, mais l'excitation l'avait maintenant fait jaillir de son mini shorty et cette jolie catin aux cheveux rouge doigtait doucement le cul de son amie dans l'espoir de bientôt l'enculer.

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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 Sujet du message : Re: [Jeu] Histoire collective !
MessagePosté : mar. 28 févr. 2012, 23:39 
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Membre Prolixe
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 21:29
Messages : 794
Sexe et orientation sexuelle : Homme hétéro côté humain, bitophile pour le reste.
Localisation : dans c' plat pays qu'est l'mien
Eh bien ? à court d'inspiration ? ;)

L'engin grossit tellement que Cunégonde ne tarda pas à le sentir. Passée la surprise, elle jubila et dit "aha, ça explique des tas de choses ! Tu as envie de me la mettre où je me trompe ?". "Tu m'ôtes les mots de la bouche, ma petite cochonne. Allez, tourne-toi." Et c'est ce qu'elle fit.

_________________
Kangourophile qui aime les quéquettes pas humaines.
Cupidon vous déteste ? Moi, il se paye ma tête.


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