Et bien, dites-moi, heureusement que Estonius était là… Déjà la livraison de la semaine passée n’était pas terrible, mais cette semaine on a droit à un exposé médicalo-anatomique de Betwo 21, un radotage de Slavio 63 (bien écrit mais il raconte toujours a peu près la même chose), et un récit en québécois sympa mais fort mal maîtrisé…
Alors heureusement le récit d’Estonius même s’il n’atteint pas des sommets (le récit n’est pas crédible, mais on s’en fout) relève le niveau de plusieurs kilomètres !
Si l’histoire basée sur la bisexualité latente et le libertinage est sans surprise de la part de cet auteur, c’est surtout le cadre dans lequel elle évolue qui est intéressant. En tous cas, moi j’ai beaucoup aimé
Carosse céleste par Estonius