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MessagePosté : lun. 06 déc. 2010, 15:27 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 14:49
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Bien qu'ayant dû changer de pseudo, je suis heureux de retrouver ce forum qu, je suis certain, va revivre encore plus attrayant. Et j'espère que d'autres que moi auront envie de nous décrire le plaisir que leur procura la découverte de l'art de la masturbation.
La première découverte du plaisir sexuel fut pour moi, en effet, comme je suppose pour beaucoup d'hommes, un "plaisir solitaire" qui fut aussi une surprise, d'autant plus que non seulement je ne l'avais pas recherché, mais que je ne me suis pas rendu compte de sa nature.
J'avais une dizaine d'années, j'étais bien entendu impubère. Près de notre maison, il y avait une sorte de mât où nous avions l'habitude de grimper, comme à une corde lisse, en le serrant entre nos jambes croisées. Un jour, alors que j'étais arrivé au sommet et que je m'y maintenais, je ressentis une sensation intense très agréable dans le bas de mon ventre. Je gardai donc la position un certain temps avant de redescendre. Je renouvelai l'expérience de temps en temps. sans aucun sentiment de culpabilité (en ces temps, la masturbation était très mal vue, mais je ne savais pas ce que mon plaisir était une forme de masturbation). Je ne l'ai compris que quelques années plus tard, devenu capable de ressentir un orgasme et d'éjaculer. Je retrouvai le même plaisir en "faisant des abdominaux" :allongé sur le dos les jambes tendues légèrement relevées. Mais cette fois-ci, J'étais conscient de ce qui m'arrivait. C'était le début d'une merveilleuse aventure qui toutefois fut pas mal altérée par cette absurde condamnation orchestrée par les maîtres de la morale, laïcs et religieux, y compris le corps médical.


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MessagePosté : lun. 06 déc. 2010, 22:08 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 19:08
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Pour ma part, cela est arrivé à 14 ans...

Depuis mes 10 ans je me provoquais des érections (en fantasmant sur des scènes d'esclavage ou avec des NEWLOOK ou PLAYBOY) très régulièrement... C'est lors d'une discussion avec un copain qu'il m'a conseillé de "secouer" (bref, de branler...). Étant impubère (vraiment pas précoce) mais très informé (je lisais tout ce que je pouvais trouver...) je pensais que mon corps ne pouvait pas encore produire de sperme et ne m'attendait pas à éjaculer (j'avais lu et était persuadé que c'était systématique que les premières pollutions des garçons étaient nocturnes).

Donc devant Roland-Garros, au mois de juin, je secoue Popaul, et je me suis trouvé "terrassé" par un orgasme et 3 gouttes de sperme...

Ça a été une révélation pour moi, depuis je n'ai jamais arrêté :oops: Je prétends encore aujourd'hui à 36 ans que entre ce jour là et aujourd'hui, le nombre de mes masturbations est supérieur au nombre de jours qui ce sont passés !!!!


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MessagePosté : lun. 06 déc. 2010, 22:25 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 00:45
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro
Localisation : Les Yvelines
Ben, j'étais en 6eme, je devais donc avoir 10-11 ans. J'étais tombé par hasard sur des BD pornos que cachait mon père. J'ai commencé à les lire, à plat ventre sur le lit. Sentant de bonnes sensations en remuant, je me suis frotté sur les couverture et vlan. Un slip et un fute à la machine. Que m'était-il arrivé??? Heureusement que j'avais trouvé cela très bon. J'ai recommencé et découvert d'autres façons de me procurer du plaisir avant de me "branler" comme il se doit. :)

Depuis ce jour, comme cs31, je pense que j'ai eu plus de jouissance par "branlettes" que de jours dans mon existence, car même si j'ai ralenti la cadence aux contacts des femmes, j'avais pris une sacrée avance. :devil:

_________________
"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".


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MessagePosté : lun. 06 déc. 2010, 23:30 
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 23:48
Messages : 20
Sexe et orientation sexuelle : femme hetero a tendance bi
Localisation : lorraine et parfois savoie
Pour ma part ça devait être vers 10 ans , j ai compris qu en me flottant sur divers objets cela me procurer comme une drôle d envie d uriner mais aussi un plaisir de plus en plus intense...ça passer part le coussin, le nounours, la chaise de bureau, l accoudoir du canapé...c été presque compulsif, mais tellement bon... la pénétration est venu beaucoup plus tard.

_________________
If you are a vampir suck me, if you are a werewolf bite me...but be carefull i'm succubus


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MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 01:18 
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 22:28
Messages : 4131
Sexe et orientation sexuelle : bi? pas bi? allez savoir...
Localisation : 4 lieues à l'est
Un peu comme tous les précédents intervenants, mais peut être un peu plus tôt, je n'étais au courant de rien du tout, je me rappelle que je passais la nuit de très longs moments à rêver de seins colossaux, (à se demander s'ils étaient reliés à une femme tellement je ne pensais qu'à eux) et à les téter. Et en dehors de ces images que je faisais tourner dans ma tête il ne se passait rien :(

Ce n'est que plus tard, toujours dans ces rêves, me rendant compte que j'avais des sensations bizarres du côté du zizi, je l'ai manipulé trouvant ça plutôt agréable, et il ne s'est pas passé longtemps pour que je trouve le mode d'emploi. :lol:

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 11:50 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 08:27
Messages : 1797
Sexe et orientation sexuelle : Ecureuil Mâle à noisettes craquantes
Localisation : Lille
En ce qui me concerne, c'est venu d'une façon un peu différente!
J'ai grandi dans une famille très prude où parler de sexe est carrément tabou!
Je ne connaissais donc rien de la masturbation.
Bien sûr, le matin, je me reveillais avec de belles petites érections, mais je pensais que c'était parce que je devais aller aux toilettes (j'étais quand même pas très futé ;) )
Puis, vers l'âge de 12ans, je me suis cassé le bras gauche, une très vilaine fracture qui m'a forcé à passer trois jours à l'hôpital. (J'avais eu droit à une anesthésie générale).
Dans ma chambre, il y avait un autre garçon, d'une quinzaine d'années.
La deuxième nuit que j'ai passé là bas, j'avais du mal à dormir. L'autre mec a soudain commencé à se livrer aux plaisirs solitaires pensant que je ne l'entendais pas. Déjà un peu voyeur sur les bords, je n'ai pû m'empecher de regarder ce qu'il faisait.
Quelques jours plus tard, j'ai décidé d'essayer (heureusement que je suis droitier ;) )
Le simple fait de me caresser m'a procuré des sensations assez plaisantes, mais ce n'était rien en comparaison de ma toute première éjaculation!
:horr: :ctop:

_________________
Chose paradoxale: c'est avec les gens intelligents qu'on déconne le mieux. [Fréderic Dard]


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MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 14:26 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 00:13
Messages : 337
Sexe et orientation sexuelle : Homme Hétéro.
Localisation : La Côte varoise
J'ai découvert la masturbation vers l'âge de 12 ans. Je tenais un traversin dans mes bras en imaginant qu'il s'agissait d'une de mes copines de classes. Je l'embrassais et le caressais, quand l'idée de faire ceci nu en m'imaginant faire l'amour à cette fille me vînt... J'étais terriblement excité. Après 1h de rêves délicieux et de sensuels frottements, je finis pas éjaculer (2 ou 3 gouttes) en ressentant un petit picotement inquiétant. Après avoir cru que je m'étais blessé, c'est avec une grande joie que je compris que j'étais enfin une "jeune homme " !!! :mrgreen: Oui ma premiere et unique poupée gonflable était un traversin mais je ne suis pas un fétichiste des oreillers en tout genre !!! :lol: Je me demande si ce genre de fétichisme existe d'ailleurs... :grat:


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MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 16:49 
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Enregistré le : mar. 07 déc. 2010, 03:58
Messages : 67
Sexe et orientation sexuelle : Homme, hétéro
Localisation : Est
moi c'était devant un porno, prêté par un pote, j'avais 12 ans.
les premieres fois ont été arrêtées avant l'éjaculation, car la peur de faire pipi.
puis finalement, on se laisse aller au bout, quelques gouttes de sperme, mais une sensation inouie. sensation perdue puis que j'ai retrouvé par le massage de la prostate.
depuis, c'est tous les jours, une fois ou plus.

_________________
L'ouverture d'esprit et du corps sont les clés du bonheur


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MessagePosté : mer. 08 déc. 2010, 07:29 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 07:44
Messages : 1254
Après avoir eprouvé à de nombreuses reprises le plaisir de la rampe d'escalier, j'ai transposé cette position à califourchon sur le dossier d'un fauteuil. Je devais avoir entre 10 et 12 ans. Je chevauchais donc régulièrement ledit fauteuil en frottant vigoureusement sexe et couilles sur son dossier. La sensation augmentant d'une séance à l'autre, j'ai fini par jouir dans mon pantalon. Le plaisir fut intense, mais se doubla d'une certaine inquiétude devant le produit de mon orgasme souillant mon slip. Les fois suivantes, je pratiquais parfois nu, ce qui décuplait le plaisir. Ce pôvre fauteuil finit par en pâtir: déchirures et taches.
Je savais confusément qu'il convenait de ne pas faire la publicité de mes ébats. Bien que j'ignorasse pourquoi.
Quel dommage que ce tabou ait gâché en partie tout le bien que j'éprouvais. :roll:


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MessagePosté : mer. 08 déc. 2010, 19:40 
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Enregistré le : mer. 08 déc. 2010, 17:14
Messages : 361
En ce qui me concerne, cela s'est passé un soir au lit . J'avais déjà dormi, je me suis réveillé avec la queue bien raide, en me demandant un peu ce qui m'arrivait . Après quelques caresses, je me suis masturbé et en peu de temps, une sensation jusque là inconnue pour moi m'a emporté dans une jouissance qui m'a étonnée autant qu'un peu inquiété . Mais cela avait été tellement bon, que j'ai recommencé presque tout de suite jusqu'à une seconde éjaculation . J'étais aux anges, rassuré sur ma santé, je me suis endormi à nouveau .
J'avais 11 ans .
Depuis, jamais je n'ai cessé de me masturber et j'ai toujours autant de plaisir à le faire . :D :lol:


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MessagePosté : jeu. 09 déc. 2010, 10:37 
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Enregistré le : mer. 08 déc. 2010, 15:23
Messages : 10
J'ai découvert la masturbation lors d'une classe verte, je devais avoir 12-13 ans. Nous étions 3 sous la tente, un copain de mon age et un autre qui devais avoir un an de plus. Ils ont parlé sexe et masturbation et devant mon ignorance à l'époque, un des deux m'a dévergondé. On avait chacun la main dans le slip de l'autre et les frottements m'ont agréablement surpris ! Depuis ce jour, je n'ai de cesse que de m'améliorer !!!! Dommage que ma timidité m'ait empêché de lui demander de recommencer :cry:
Moi aussi, j'ai plus de branlettes à mon actif que de jours vécus ;)


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MessagePosté : ven. 10 déc. 2010, 02:10 
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Enregistré le : mer. 08 déc. 2010, 23:19
Messages : 154
Sexe et orientation sexuelle : Bisexuel
Ma première fois, je fus seul sans comprendre comment ca pouvait se faire avec un si petit sexe du haut de mes dix ans. Ca me faisait mal! Vers 13ans, un mec qui avait redoublé s'était masturbé en salle d'étude bondée. On était une table de quatre. Il nous avait dit de regarder sous la table et avait éjaculé. J'étais fasciné par la belle couleur blanchâtre quelques gouttes de sperme qui sortaient de son pénis.
Je me suis masturbé dans ma chambre avec un copain chacun dans son coin.... Plusieurs fois par jour ensuite.
Aujourd'hui je me masturbe peu: Dans les nouveaux lieux que j'habite, dans la nature quand le paysage est splendide, quand je suis très excité sans personne autour et quand je veux m'endormir et que mon esprit en a descidé autrement et tourne a plein regime. Une branlette est tout s'apaise. (Pour rassurer d'éventuelles rencontres futures quand je ne dois pas dormir, jouir ne m'a jamais anéantis lol... seulement quand je le veux bien ;))


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MessagePosté : ven. 10 déc. 2010, 08:43 
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Membre d'honneur
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 21:08
Messages : 1271
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro à tendances bi
Localisation : Est
La masturbation et moi...

Je devais avoir 9 ou 10 ans lorsque je découvris les joies de la masturbation... Découverte au départ fortuite, mais tellement agréable que j'y revins très vite, et tout à fait volontairement ! Les débuts furent maladroits, par frottement... puis doucement, cela devint de plus en plus élaboré, même s'il me fallut beaucoup de temps pour oser me toucher directement avec mes doigts (hé oui, l'idée que c'était sale a eu la vie dure !). En y repensant (je viens de faire la découverte, je n'y avais jamais resongé avant), j'ai souvenir de goûts déjà bizarres pour une fillette de dix ans ! Ce que j'ai pu faire subir à mes Barbie à cette époque, c'est assez fou ! Je me souviens plus particulièrement que je les dénudais pour m'amuser à les attacher ! Révélateur non ?

Bref, l'onanisme est entré dans ma vie pour n'en plus jamais sortir ! Au fur et à mesure, j'ai perfectionné ma pratique, et j'ai appris à découvrir mon corps. J'ai souvenir d'un jour mémorable, où je me livrais en toute quiétude à mes activités jouissives dans la salle de bains, quand ma mère est entrée sans crier gare... Le ciel m'est tombé sur la tête d'un coup... Cris et hurlements, "Tu es une dépravée ma fille !" m'a-t-elle dit. Elle précisa même que si je continuais, elle m'enverrais consulter le médecin pour qu'il me soigne de mon vice... (non, non, je n'invente rien, elle a bien dit cela !) Cette perspective, je dois bien l'avouer, m'a mortifiée ! Et pourtant, en y repensant maintenant, je me dis que si elle avait mis a exécution cette menace, notre vieux toubib m'aurait sûrement libérée d'une très grande culpabilité !!! Cependant, cet épisode, s'il m'a culpabilisée, ne m'a pas empêchée de continuer mes jeux récréatifs...

J'ai découvert par la suite les bienfaits de la pomme de douche... hummm quel délice de pouvoir jouer de la puissance du jet, de la température de l'eau... A ce propos d'ailleurs, je dois dire que les douches multi-jets sont une vraie bénédiction pour la masturbation ! Une bonne décennie après, les sex-toys sont entrés dans ma vie, et plus récemment, je me suis lancée dans les expériences biologiques... A bientôt 45 ans, je n'en finis pas de découvrir de nouvelles façons de pratiquer, pour mon plus grand plaisir ainsi que celui de mon mari... Pour moi, le fait d'avoir une vie sexuelle bien remplie n'est en rien incompatible avec une activité masturbatoire. Elles sont complémentaires, et pour mon bon équilibre, je ne saurais me passer ni de l'une, ni de l'autre...

Franchement, quel plaisir par exemple de voir le regard de son partenaire se troubler alors que l'on s'exhibe devant lui ? La jouissance est à ce moment précis autant cérébrale que physique... (pour l'un comme pour l'autre d'ailleurs).

_________________
Isa
Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne (Chamfort)


Modifié en dernier par Isa le sam. 11 déc. 2010, 11:04, modifié 1 fois.

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MessagePosté : ven. 10 déc. 2010, 16:53 
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 23:07
Messages : 55
J’avais environ 11 ans lorsque, avec mon cousin de 12 ans, nous avons rencontré un « grand » d’environ 14 ans. Je ne me rappelle plus comment c’est arrivé, mais on s’est retrouvé en triangle tous les trois derrière un meule de foin, le zizi dans la main.

Nous avions beaux faire comme le grand, mon cousin et moi, tirer sur l’élastique, pas de résultat. Au bout de quelques minutes, notre initiateur a triomphalement fait jaillir comme du lait de son engin.

Plus tard, entre 12 et 13ans, une soirée de printemps, alors que j’étais couché sur le ventre, j’ai ressenti comme des chatouilles dans mon zizi, rien que je n’avais connu avant. Après quelques instants, agacé, je me suis mis sur le dos et posé ma main sur mon sexe. Ca m’a fait du bien, mais les chatouilles ont repris de plus belle et, chose extraordinaire, ma bite prenait de l’ampleur.

Je me suis vite rendu compte qu’en faisant des va et viens sur la colonne c’était encore meilleur. Il ne pas fallu longtemps pour arroser mon ventre et mon maillot de corps d’un liquide poisseux, ça m’a fait un peu peur. J’ai allumé la lumière et constaté les dégâts. Rien pour s’essuyer. Après quelques moments d’hésitation, je remontais mon slip et décidais de me lever sans savoir ce que j’allais faire.

En bas, je suis allé aux toilettes pour pisser un coup. Il n’y avait pas de salle de bains dans ces maisons ouvrières, les toilettes étaient à l’extérieur collé à la maison et protégé par un appentis. Il n’y avait qu’un point d’eau qui se trouvait dans la cuisine. La chambre de mes parents donnait directement sur la cuisine et ils avaient l’habitude de dormir la porte grande ouverte.

Pas question pour moi de prendre le risque de devoir répondre à des questions gênantes. Je m’essuyais dans la première serviette de toilette à portée de main et remonté dans ma chambre.

Je sperme qui avait refroidit sous mon maillot commençait à être désagréable mais cela ne m’a pas empêché d’avoir une nouvelle envie. Laissant la lumière allumée, j’ai alors découvert que j’avais un pouvoir magique, celui me faire jouir. Tant pis pour le sperme, je m’essuyais dans un coin du drap avec lequel je ne devais normalement pas avoir de contact. C’était tellement bon que je recommençais une troisième fois avant de m’endormir heureux.

Ce n’était que le début d’un long entraînement qu’infatigable, je reprenais tous les soirs. Les côtés de mes draps étaient maculés de tâches jaunâtres qui rendaient les draps rugueux et comme amidonnés.

Ma mère ne m’a jamais rien demandé?

_________________
Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.


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MessagePosté : ven. 10 déc. 2010, 19:28 
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Membre Prolixe
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 08:29
Messages : 967
Comme Isa, j'ai entendu les mêmes rengaines, c'est sale, etc. Lorsque j'avais 10 ans, dès que ma mère m'apercevait avec la main sur mon pubis (j'adorais à l'époque juste caresser le petit duvet tout soyeux qui commençait à pousser), elle me traitait de dépravée, me menaçait de le dire devant tout le monde, style "devinez ce que je l'ai trouvée en train de faire". Donc à part effleurer gentiment mon petit duvet, pas de caresses ni intromission, ni rien, l'idée m'est sortie de la tête.

Plus tard, lorsque j'ai entendu parler de masturbation, je pensais que c'était quelque chose "qui rendait sourd", comme on le disait souvent, et surtout que c'était quelque chose réservé aux hommes, qui, eux, avaient quelque chose à branler. L'expression "je m'en branle" dans les cours de récréations, battait son plein.

J'ai découvert la masturbation tard, j'avais 24 ans, j'étais en Allemagne, j'habitais par manque de moyens financiers en communauté, ce qu'on appelle maintenant co-location. Dans le salon, il y avait un projecteur et des films dans un tiroir. Un après-midi où j'étais seule, ce qui était très rare, j'ai installé l'écran et le matériel, j'ai ouvert le tiroir pour faire mon choix, et j'ai découvert une drôle de pochette, au fond du tiroir : une fille, une fille nue, avec la tête renversée et les doigts entre les cuisses. J'ai pensé "chouette, mon premier porno, toute seule, si ça ne me plait pas, j'arrête" et j'ai mis le film en marche.

La fille se caressait, lentement, pas de ces va et viens rapides comme l'on voit maintenant dans les pornos, je pense qu'elle y prenait vraiment plaisir, il y avait toute l'intensité de la montée de sa jouissance, le mouvement de ses doigts sur son clito, ses rales de plaisir, et surtout, elle mouillait de plus en plus, j'étais fascinée, c'était en gros plan sur l'écran, rose, luisant, j'avais de drôles de sensations dans mon bas-ventre, et lorsqu'elle a joui, j'ai pu remarquer toutes les contractions de son vagin, c'était tellement réel et plaisant ! Fin du film, l'impression de la fin du mystère qui planait pour moi sur la masturbation féminine. Alors j'ai enlevé mon jean et mon slip, mis la clé dans la serrure pour empêcher quiconque de rentrer, et j'ai remis le film en marche ; mes doigts ont glissé avec bonheur dans ma fente bien humide, et j'ai fait comme elle, les yeux rivés sur l'écran. Mais j'ai joui avant elle, une formidable explosion de sensations, j'avais l'impression que ma chatte sautait sous les contractions, j'en avais mal au ventre tellement c'était bon. Je me suis retrouvée épuisée et délicieusement détendue sur mon fauteuil, les doigts gluants, je les ai léchés soigneusement un après l'autre, quel bon goût, pleine d'une infinie reconnaissance envers cette découverte. J'ai pensé "je peux recommencer quand je veux, pas besoin d'un homme, j'aurai du plaisir chaque fois, et je n'aurai pas besoin de dire merci après".

J'ai rangé le film, et le soir, seule sous ma couette, j'ai fermé les yeux et repensé au film, mes doigts entre mes cuisses, et ce fut le même enchantement 2 ou 3 fois de suite. Je me suis endormie merveilleusement bien.

Je n'éprouve absolument aucune honte à me masturber, je le fais pratiquement tous les jours, de préférence le soir car le matin je n'ai pas le temps, dans ma douche souvent, avec le jet d'eau que je règle plus ou moins puissant selon les jours. C'est rapide, cela me détend et m'apaise.

A plusieurs reprises, ce fut pour moi une façon de me rassurer sur ma féminité, je me souviens notamment d'une intervention chirurgicale typiquement féminine et particulièrement douloureuse (hystérectomie), dès que j'ai pu marcher, j'ai filé aux toilettes de l'hopital pour me masturber afin de voir si je fonctionnais comme avant. Les contractions du plaisir m'ont pliée en deux de douleur, cela allait jusqu'au nombril, mais j'en avais des larmes de soulagement, j'étais encore une femme malgré cette opération.

Maintenant, cela devientparfois un jeu avec mon partenaire, je sais que certains hommes sont vexés qu'une femme se masturbe devant eux, pour eux cela signifie qu'ils n'ont pas été assez performants, mais pour moi, c'est un cadeau à lui offrir, le don de mon plaisir, l'image de moi dans un domaine réservé, signe que je me sens assez bien avec lui pour le laisser me regarder jouir.


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