Pour des raisons de vacances, le rendez vous prévu a été reporté et j’ ai repris contact avec Lucien quand je suis rentré.
On s' est retrouvé il y a 15 jours chez Jean, l’ ami médecin de Lucien et Pierre et comme nous avions parlé de nos expériences, de nos envies au téléphone, Lucien m’ a promis que je serais peut - être comblé au-delà de mes espérances sans vouloir me donner des détails.
Le jour venu, depuis des heures, je ne pense qu’ à ça : j’ aurai trois queues pour moi tout seul puisqu’ il est convenu que, comme dans un gang bang, seuls mon trou de cul et ma bouche pourront servir de trous à bites, de vide couilles et de bac à sperme pour eux.
Mais lorsque j’ arrive, j’ ai la merveilleuse surprise de découvrir qu’ ils sont quatre !
Il y a Jean, le médecin mais également Albert un de ses amis, tous sains et avec tests, comme moi.
Ils sont déjà nus tous les quatre et se caressaient devant un film porno et voir ces quatre hommes, plus âgés que moi, avec de belles verges imberbes épaisses et gonflées au bas du ventre, savoir qu’ ils vont me désirer et que bientôt ces tiges se dresseront dans ma bouche comme des pieux de chair avant de m’ empaler, me transpercer la rondelle pour y cracher leur jus me fait bander, saliver et mouiller du cul.
Je sais que Lucien et Pierre ont respectivement 68 et 66 ans et j’ apprends que Jean en a 68 également mais qu’ Albert en a 75 ce qui augmente encore mon excitation car boire le sperme d’ hommes très âgés réveille des souvenirs d’ ado.
Nous prenons un verre, je me déshabille, ils me touchent, me pelotent le cul, les tétons et ils adorent mon corps parfaitement imberbe puisque j’ ai même pris soin d’ épiler les quelques poils qui déparaient mes tétons.
Lucien les caresse, les tords un peu, les étire et je couine de plaisir en les sentant darder et gonfler un peu.
Albert, lui, a testé mes aisselles toutes lisses et a compris ma sensibilité car il prend la peau entre les doigts, tire, griffe et pinçote un peu, j’ aime ça.
Mmmmm, c’ est bon, je commence à me sentir femelle et lorsque Jean me doigte l’ anus, ses doigts rentrent en moi comme dans du beurre.
Il soupire et annonce que je suis déjà mouillé comme une cochonne, que ma vulve est presque prête et après les avoir reniflés, il met le bout de ses doigts dans ma bouche en me disant qu’ il sera le premier à m’ enculer et à me fouiller le con puisque je suis son invité.
Je ronronne.
En m’ attendant, ils se sont mis d’ accord.
Ils jouiront chacun deux fois en moi, dans le cul ou la bouche et me prendront d’ abord par derrière et ensuite de face.
Pour commencer, à quatre pattes comme une salope, je devrai sucer Jean et lécher sa fente pour le faire bander à fond pendant qu’ Albert préparera ma vulve anale à la sodomie.
Il m’ ouvrira avec sa langue puis m’ élargira avec ses doigts pour évaser mon conduit afin que Jean puisse m’ enculer sans autre lubrifiant.
Je sens mon trou palpiter d’ envie, souple et trempé de mouille, me disant que même sans autre préparation, il ne résisterait pas et qu’ un gland simplement enduit de salive pourrait déjà m’ éclater la rondelle et envahir mon tunnel d’ une seule poussée.
Je frémis d’ envie, frissonne de plaisir en me mettant en position.
Ça y est, je suis une salope impudique en levrette, la croupe cambrée, les fesses écartées et la raie ouverte, offrant mon trou de cul dans une pose obscène et cette idée me fait bander encore plus.
J’ étais mec et je viens de virer de bord, de passer mentalement et physiquement de l’ autre côté, laissant libre cours à mon côté féminin pour devenir une pute, une salope, une chienne en chaleur, une femelle en rut avec la chatte en folie.
C’ est comme un transfert : mon trou de cul est devenu un con baveux, avide de bite, un vagin en manque de sperme ; ses bords sont sensibles comme les lèvres d’ une vulve et l’ extrémité pétille comme si j’ avais un clito ; ma bouche salive de gourmandise et s’ ouvre pour offrir des pipes, sucer, engloutir des queues, lécher, pomper, boire du sperme ; mes tétons sont devenus des bouts de seins durs, sensibles comme des mamelons, impatients d’ être sucés, doucement torturés.
Je suis prête, dévorée de désir et totalement disponible pour que ces quatre mecs se servent de tout mon corps pour satisfaire toutes leurs envies, tous leurs caprices.
Les mains d’ Albert se posent sur mes fesses et les écartent encore pour mieux ouvrir ma fente.
J’ adore et lorsque sa langue vient à plat sur ma pastille, je pousse pour que les ourlets de chair de mon orifice en sortent.
Il soupire, me dit qu’ il aime ça, que mon cul sent bon et qu’ il regrette qu’ il soit si propre.
Je sens sa langue puis ses dents frotter les petits bourrelets de mon cratère et il fouine et fouille divinement mon trou avec une langue habile et gourmande, me mange le cul et j’ ondule des reins au moment où Jean vient présenter son anus à ma bouche.
J’ embrasse goulûment son œillet imberbe, joliment plissé avec des lèvres anales ourlées puis sors la langue, la darde en pointe et je fore le centre de son trou de cul pour lécher l’ intérieur tendre du fourreau.
Il gémit de plaisir et bouge les fesses pour l’ y faire coulisser.
Mmmm ça sent bon et il y a de la mouille sur ma langue dont la pointe fouille chaque repli de l’ orifice. J’ aime faire cette caresse, manger un anus étoilé.
Derrière, Albert cesse de bouffer mon trou et commence à me doigter.
Je sens ma salope de chatte anale se donner sans pudeur quand plusieurs doigts la pénètrent.
Elle s' élargit, s' offre sans retenue à cette invasion et ils évasent mon étui de chair sans aucune résistance.
Il dit aux autres que je mouille du cul comme une vraie salope.
Albert me sent bien, comprends que j’ aime les sensations un peu douloureuses et ses doigts pincent mes lèvres anales, les triturent, les étirent au maximum dans tous les sens pour torturer le pourtour et l' entrée de mon conduit
Entre temps, Jean s’ est retourné et vient poser son gland sur mes lèvres pour se faire sucer.
Mmmmmh, j’ ouvre la bouche, sors la langue pour lécher le gros bout violacé, énerver le méat perlé de liquide que je lape, pourlécher les plis du prépuce dans les moindres recoins puis j’ aspire tout le boudin de chair qui n’ attend que ça pour grossir encore et durcir complètement dans mon gosier.
Je le suce, tète le bonbon mauve, pompe un peu toute la bite en poussant des petits gémissements.
Elle est bonne, pas trop grosse ni trop longue et je la prends entière à fond de gorge.
Il m’ arrête pour ne pas jouir et dit à Albert de lui laisser la place car il veut prendre mon cul, me sodomiser.
Je meurs d’ envie d’ avoir enfin une bite dans le cul et je lui demande d’ y aller, de me saillir, de m’ enculer, de me bourrer à fond, que je suis sa salope à baiser.
Il me saisit par les hanches et trois secondes plus tard, sa trique me transperce et il me la met toute entière d’ une seule poussée jusqu' à la garde, me faisant crier de plaisir quand mon fourreau s’ ouvre pour l’ accueillir.
Son ventre claque mes fesses et son sac de couilles frappe le mien.
Ouiiii, salaud, mets la moi à fond, j’ aime ça.
Albert, lui, m’ a fourré sa bite dans la bouche et elle coulisse entre mes lèvres.
Deux bites en moi, c’ est bon et je suis encore plus excité en voyant que Lucien et Pierre, qui attendent leur tour, se branlent lascivement en me regardant me faire mettre ; ils me traitent de garage à bites …
Jean a accéléré la cadence et son pal me laboure et me brûle le cul me procurant mon premier orgasme anal.
Mon anus se resserre autour de son membre et, s’ enfonçant au plus profond de mon boyau, il se met à jouir et décharge son jus de couilles. Mmmmmm.
Je le trais, le suce avec mon anus, il finit de se répandre dans mon ventre en grognant et lorsqu’ il décule pour céder la place à Albert, mon trou crache bruyamment du sperme qui dégouline sur mes couilles, le bruit et la sensation m’ excitent grave.
Albert vient alors se mettre entre mes cuisses, passe sa queue dans ma raie mais doit la pousser dans mon trou car il ne bande pas tout à fait dur.
Son gland me pénètre avec l’ aide de deux de ses doigts qui envahissent aussi mon anus tout dilaté et le tout rentre dans l’ ouverture béante, détrempée de foutre et de sperme. C' est délicieux.
Pierre le remplace dans ma bouche, gémit de plaisir, me crie : Suce moi à fond salope …
Dans mon cul, la bite d’ Albert durcit enfin et il me baise nerveusement, vite et ne tarde pas à gicler sans me faire jouir. Dommage.
Il se retire et ma vulve est en manque !
Je sens que mon trou est ouvert et que mon conduit palpite de désir, tout chaud et le liquide déborde de l’ orifice et inonde le bas de ma raie et mes couilles.
C’ est alors que Pierre demande à Lucien de prendre son tour pour m’ enculer car lui préfèrerait jouir dans ma bouche.
Bonheur car j’ aime être enculé par la très grosse bite de Lucien qui me fera jouir du cul et celle de Pierre a juste les bonnes dimensions pour que je lui fasse une gorge profonde.
Ça y est, le gros gland de Lucien vient titiller les lèvres de ma chatte anale ; il le promène sur les ourlets, me fait languir, me dit que j’ ai un super cul de salope débordant de sperme et qu’ il va m’ éclater le fion.
Il sait que j’ aime ça et me parle crûment comme à une pute, à la salope que je suis devenu.
Son bout ne me pénètre pas et il joue avec ma vulve, me fait languir.
Ses doigts prennent mes lèvres anales et les pincent fort ; la sensation est géniale, délicieusement douloureuse. Il tire sur mes chairs, les tords, je crie de plaisir et à ce moment, il me transperce la rondelle et s’ enfiche dans mon ventre, complètement, entièrement.
Toute sa grosse queue remplit totalement mon conduit dont les parois se serrent autour de son dard pour encore mieux le sentir et le masser.
Tout mon cul est en feu
Ouaaah, c’ est bon, il crie et moi aussi.
Pierre va et vient dans ma bouche et me tient la tête d’ une main pour imprimer sa cadence tandis que l’ autre s’ occupe de mes tétons douloureux de plaisir sous les caresses délicieusement violentes de ses doigts.
Je le pompe amoureusement tandis que le braquemart de Lucien glisse bien dans mon boyau détrempé, me bourre et se retire plusieurs fois pour mieux revenir me pénétrer et m’ enculer sauvagement comme j’ aime.
A chaque fois que la tête transperce mon trou, elle fait ce superbe bruit de mouille et je gémis de plaisir tout en ayant la bite de Pierre en bouche.
Tiens salope, prends ma bite dans ton fion, sens comme je t’ encule, t’ éclate …
Pierre aussi me parle, me dit que je ne suis qu’ une pipeuse, une bouffeuse de bites assoiffée de sperme, qu’ il va décharger dans ma gorge …
C’ est trop fort, c’ est trop bon d’ avoir ces deux bites en moi, de sentir mon cul comme une vagin, ma bouche comme celle d’ une suceuse, mes mamelons comme des seins et je décolle complètement, devient femelle jouisseuse.
Je jouis du cul deux ou trois fois pendant que Lucien me pistonne, ma bouche se régale de plus en plus de tailler une pipe à Pierre et ça ne tarde pas.
Quelques instants plus tard, Lucien est tout au fond de moi et éjacule en grognant son plaisir de mâle quand sa queue est agitée de soubresauts dans mon rectum qui brûle plaisir.
Je sens les spasmes de mon orgasme anal mais aussi les siens quand le sperme jaillit par saccades … c’ est trop bon, cette vague de plaisir qui part de mon cul, me traverse les entrailles, la poitrine, m’ éclate le cerveau et j’ aspire à fond la queue de Pierre dont le gland vient dans ma gorge pour le faire jouir.
Il se retire un peu et lorsque son gland est au milieu de ma bouche, sa bite sursaute et son suc gicle.
Mmmmm, il en avait plein les couilles car trois ou quatre lourdes rasades de jus crémeux me remplissent le gosier et m’ abreuvent.
Je bois son nectar en me régalant, aspirant encore plus fort pour tout recevoir et avaler sans en perdre une seule goutte en pensant aussi à la semence qui se déverse dans ma chatte anale.
On termine tous les trois de jouir et quand les deux queues sortent de mes trous à bite, je m’ effondre sur le sol, épuisé de jouissance et rempli de sperme.
Albert vient m’ écarter les fesses et plaquer sa bouche sur mon trou pour aspirer le sperme qui en sort ; j’ aime ça et je pousse.
Quelques minutes plus tard, je suis assis dans un fauteuil avec une serviette sous le cul car mon orifice dégouline encore.
Nous prenons un verre en discutant, en regardant un film porno uro et ils savent ce que j’ attends d’ eux puisque j’ en avais parlé avec Lucien.
C’ est Albert qui donne le signal en disant qu’ il doit pisser et comme il fait très bon, nous allons sur la terrasse.
Je me couche sur le sol et Lucien invitent les autres à inonder le sac à pisse ...
Ils se lâchent, me pissent dessus, tous les quatre et m’ arrosent partout, le visage, tout le corps car je bouge dans tous les sens pour en recevoir partout, surtout dans la raie culière et sur mon trou encore ouvert.
Mmmmm, cette douche de pisse chaude et odorante me fait bander à fond mais je résiste à l’ envie de me branler et de jouir sous les jets d’ urine.
Quand les flots se tarissent, je prends chaque gland en bouche pour le suçoter et avaler les dernières gouttelettes de pisse en caressant les couilles, les fesses, les fentes de leur propriétaire.
Une bonne demi heure plus tard, c’ est encore Albert qui repart à l’ attaque.
Il a été décidé que je devais caresser ses couilles et sa bite en regardant le film et lorsque sa queue regonfle, il me demande de le sucer, ce que je fais avec plaisir.
On pose plusieurs serviettes sur le sol, je me couche sur le dos et lui demande de venir au – dessus de moi, en 69.
J’ aime sentir cette verge gonflée mais encore un peu molle et je prodigue des caresses de rêve à son gland tout en caressant ses couilles et son anus.
Elle durcit, Albert souffle fort et quand je lui mets un doigt, il ne résiste pas et pousse un petit cri en jouissant et en éjaculant deux petites gouttes de sperme dans ma bouche ... dommage car j' avais soif.
Vite, il se retire en me remerciant et en s’ excusant d’ avoir été si rapide mais Lucien ne me laisse pas le temps de répondre et vient coller sa corolle sur mes lèvres en me traitant encore de salope, de bouffeuse de rondelle et il pince mes tétons jusqu’ à la douleur en m’ ordonnant de lui dévorer le cul, ce que je fais en grognant de bonheur comme une femelle soumise.
Pendant que je mange son trou de cul, il ordonne à Albert de prendre mes chevilles et de les relever en m’ ouvrant les jambes pour les passer sous ses bras.
J’ adore, d’ autant plus qu’ Albert se met à lécher et à sucer mes orteils.
Je suis là, les jambes en l’ air, les fesses relevées et la raie ouverte avec mon trou de cul béant bien exposé et offert à la sodomie avec, de l’ autre côté, un anus collé à ma bouche, ma langue enfoncée dedans et des doigts qui me pincent le bout des seins.
Je me sens femelle soumise, utilisée, humiliée, possédée … j’ adore, j’ ai besoin d’ une bite dans le cul … vite.
Lucien bouge, se recule et je peux voir Pierre qui arrive vers moi, son membre dressé avec la grosse boule mauve pointée vers ma chatte anale.
Voir son envie, sa bite tendue de désir avec cette tête gonflée me rend fou et il me dit qu’ il va me péter l’ oignon, m’ exploser la chatte, me déchirer le fion.
Je lui dis de venir et lorsque son champignon s’ introduit dans mon orifice, je lui crie de me prendre, de me saillir, que je suis sa chienne.
Il s’ abat sur moi et son pieu de chair tout dur, me pourfend, me transperce les chairs, s’ engouffre dans mon conduit et je jouis du cul instantanément avec une décharge de plaisir inouïe, sentant ma chatte exploser et mouiller comme si j’ éjaculais du cul.
La bonne bite de Lucien vient alors sur ma bouche pour s’ y enfourner et se faire sucer.
Je ne sais plus combien de temps ça dure …
Albert suce et mordille mes tétons, lèche mes aisselles épilées, mord dedans, ouaaaw, c' est bon ...
Pierre me bourre bien puis sa queue s’ immobilise en moi et il jouit, décharge longuement dans mon boyau puis décule et vient à son tour s' occuper de mes seins tandis qu’ Albert prend alors ma queue dans sa bouche et me suce divinement en gorge profonde tout caressant mes couilles qu’ il enserre et étire juste comme j’ aime.
Jean remplace immédiatement Pierre et encule complètement ma chatte d’ une seule poussée sauvage.
Comme un vagin brûlant et en folie, mon puits d’ amour débordant de jus de couilles l’ accueille au plus profond de mon ventre.
Je ne sais plus qui je suis ... une pute, une salope, un jouet à bites ...
Il me baise et sa queue coulisse, glisse dans mon cratère brûlant en faisant des clapotis comme dans une vulve déjà bien remplie, il me traite de bac à sperme …
Pendant tout ce temps, je jouis du cul et pompe le dard de Lucien qui finit par se répandre dans ma gorge au moment où Jean inonde mon fourreau.
Et là, en avalant la liqueur crémeuse qui gicle dans mon gosier, je jouis et le sperme jaillit de mon gland.
Je suis terrassé par un orgasme fulgurant quand mon jus brûlant traverse ma bite pour remplir la bouche d’ Albert qui avale ma semence avec gourmandise, aspire ma bite au plus profond pour en sortir le suc.
Mais ce n’ est pas fini car lorsqu’ il a fini de me boire, la bouche d’ Albert revient se coller à mon trou de cul comme une ventouse.
Il suce un peu puis se redresse en tenant mes cuisses pour les garder en l’ air et me demande de pousser à fond, ce que je fais, sentant mes chairs intimes sortir de l’ anneau béant, former un chou dont les boursouflures sont hypersensibles.
Il caresse délicatement cette fleur brûlante du bout des doigts puis, me regardant droit dans les yeux, il me dit qu’ il va manger ma fraise, dévorer mon fruit juteux.
Son visage retourne à mon trou de cul et je sens qu’ il prend toute la grosse boule rouge qui sort de mon orifice entre ses lèvres, l’ aspire et se met à la manger.
C’ est divin, dingue, follement bon et je hurle de plaisir en sentant l’ irritation douloureusement jouissive que ses dents provoquent sur mes chairs les plus tendres, les plus intimes.
Il me bouffe goulûment, en faisant des bruits gloutons.
Je crie, je ne sais plus qui je suis, je pisse sans pouvoir me retenir et je sens que les autres se lâchent aussi.
Un jet puissant arrose la bouche d’ Albert toujours collée à mon trou de cul et les autres douchent mes lèvres et mes tétons.
Quand c’ est fini, encore ivre de plaisir, je me sèche un peu avec les serviettes mais ne vais pas prendre de douche.
Mon corps est plein de parfums délicieux qui me feront encore bander plus tard ou le lendemain et je veux les garder.
Je ne traîne pas pour partir.
Albert vient me raccompagner à la porte et me dit qu’ il a adoré bouffer mon cul et espère avoir l’ occasion de recommencer quand il sera sale … il ajoute qu' il a compris ce que j' aime et qu' il me fera tout, absolument tout ce que je voudrai ...
Je suis allé chez lui hier soir ...
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