Je vous livre ici un récit totalement véridique, écrit a la première personne.
Je raconte une soirée parmis d'autres, ou etant seul, je m'adonne a mes petits jeux cochons, en toute décontraction, et ou je me dévoile a un autre homme via internet.
Contient des passages sont scato mais "light" (caca couche entre autre)
Il s'agit donc d'un récit "solitaire", mais que je considère tout a fait en phase avec l'esprit vassilia.
Cependant, si la modération considère que ce recit n'a rien a faire la, je comprendrai tout a fait.
Donc voila :
Jeune assistant commercial de 24ans, je viens de rentrer du boulot, encore une longue journée grise a souhait, avec en prime (sans ironie^^) une énorme envie de faire pipi dans une couche, les 30 minutes de bus ont eu raison de ma vessie...
Ouf ! Je pose mes affaires, mets le chauffage à fond, me déshabille et enfile de suite une couche pas trop épaisse, du genre les culottes de tena. L'envie est très forte, mais encore surmontable. Ceci dit, je trépigne d'impatience ! Mais que c'est bon d'attendre ! Ca n'en sera que meilleur !
J'enfile au dessus de la couche un uniforme d'étudiante japonaise, acheté sur internet, avec une jupe plissée bleue, et des chaussettes blanches montantes, un bustier blanc et bleu. Un vrai fétichisme pour moi, ces uniformes. Je l'utilise souvent et le lave peu, il est donc déjà un peu jaunâtre, et des traces blanches témoignent de mes précédentes utilisations, et sens bon le pipi. Ca m'excite déjà beaucoup de m'habiller ainsi, et j'ai une forte érection malgré mon envie de pipi.
À ce moment là, au milieu de mon salon, je lâche mon premier jet de la soirée. La couche s'alourdit et se réchauffe... Je sais qu'après trois ou quatre pipis, elle va déborder, et j'adore ça !
Je vais rester une ou deux heures comme ça, à boire du thé et du cidre doux et à grignoter des bretzels, en lisant et en écoutant de la musique. Et surtout en me soulageant sans retenue dans ma couche, allongé sur le ventre sur mon matelas "spécial", avec une housse imperméable sous le drap housse.
C'est bon, c'est même plus que bon, une sorte de plénitude, je me frotte la couche sur le sexe ; ça y est, elle déborde un peu. Je trempe ma jupe plissée et mes chaussettes... Je me sens particulièrement féminine, comme ça, et ça a le don de me rendre fou (ou plutôt folle, durant ces moments).
Mais ce n'est que le début, je m'enhardi et enlève ma couche pesante et odorante, la frottant sur mon chemisier et mon visage, m'imprégnant d'urine encore chaude. Puis sans aucune gène, m'auto-arrose généreusement d'une sublime douche dorée toute habillé, me couvrant ainsi de pipi chaud de la tête au pieds.
Ma miction forme une mare dans laquelle je suis allongé sur le dos, j'adore cette sensation de baigner dans mon pipi. Je continue à me faire plaisir ainsi une bonne partie de la soirée, surfant sur internet, lisant des magazines, trop heureux de vivre mes fantasmes librement et en toute impunité. J'urine encore une fois ou deux, allant jusqu'à boire mon délicieux jus à la source, sans oublier d'arroser mon visage.
Je me masturbe et jouis une fois, très abondamment, étalant mon sperme sur mon visage, comme une crème de beauté et allant me regarder ainsi dans le miroir... et je m'admire, petite effrontée couverte d'urine et le visage maculé de foutre.
Je savoure chaque instant, baignant dans ma flaque de pipi. Le chauffage est à fond, je n'ai pas froid, même trempé, et la chaleur fait ressortir l'odeur de pipi que j'aime tant.
En plus des envies de pipi qui arrivent régulièrement, rien de mieux que le cidre. Une envie de faire caca pointe son nez, mon excitation monte brutalement d'un cran, ca sera le paroxysme de ma folle soirée. Je le sens, je le sens bien... il est compact et gros, presque dur... cette délicate sensation de savoir que je vais faire ca dans mon lit, j'adore. Je file enfiler une culotte de fille blanche toute simple, en coton, et retourne m'assoir sur mon matelas-bain de pipi...
J'ai envie qu'on me regarde faire caca. J'ai envie qu'un homme bande en me voyant faire sur moi... je saisit mon PC portable, et me mets en quête d'un homme intéressé à regarder, je passe par divers forum et site (dont vassilia).
Le temps presse, l'envie de vient pressante, insistante, c'est quasi orgasmique... heureusement, ca n'es pas si difficile à trouver du tout, et le monsieur d'une cinquantaine d'années qui apparait sur l'écran de la webcam a l'air très heureux de ma proposition.
Mon petit show commence, l'exhibition virtuelle met mes sens en mode plein éveil. Je me mets donc assis en tailleur, pour m'arroser encore une fois le visage de pipi, m'en badigeonne les cheveux, mon bustier n'est qu'une serpillère jaunie et ma jupe pas beaucoup mieux. Enfin, je me mets à quatre pattes, en face de l'écran, relève ma jupe, cambre mon dos de manière obscène et pousse lentement. C'est gros, bien gros... et ça remplit tout la culotte qui se déforme. Délicieuse masse chaude qui tente d'écarter les élastiques de ma culotte, sensations d'un autre monde... Je plaque une main sur mes fesses, fixe ma webcam du regard et m'assoit pour écraser le fruit de mes cochonneries dans la culotte.
Une décharge parcourt mon corps, c'est indescriptible, je suis incontrôlable.
Je frotte frénétiquement mes fesses salies sur le matelas, m'allonge, fait des vas et viens sur le dos et le ventre une main plaquée sur mon caca, en poussant des gémissements de plaisir non simulés... l'homme est ravi et jouit devant son écran dans la minute, merci mais tout le plaisir sera pour moi car je n'en ai pas encore terminé. Il me remercie en se déconnecte.
Je suis trop bien ainsi, ma culotte déborde de manière évidente, et un peu de matière brune compact est venue se mêler a la mare de pipi sur mon lit. Je frotte ma jupe sur ma culotte sale, achevant ainsi de salir mon costume de dévergondée, étalant un tout petit peu de matière sur mon chemisier. Je n'en puis plus et en me touchant à peine, explose d'une force... hummm... inégalable !
Étourdi par tant d'émotions, j'étale mon sperme à nouveau sur mon menton et le pourtour de mes lèvres et je ne tarde pas à m'endormir paisiblement, souillée, soulagée, et sans bouger de ma flaque de pipi tiédi.
Dormant du sommeil des justes, et me sachant vendredi soir, avec la pensée heureuse de savoir que je peux continuer cette douce folie demain... Si une envie quelle qu'elle soit vient pointer son nez cette nuit, elle sera assouvie dans ma culotte déjà pleine, ou dans la couche et le survêtement que j'enfilerai le lendemain au dessus de mes frusques pour aller me balader au parc, si la météo est avec moi !
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