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Merci de l'intérêt que vous portez à mon histoire .
Je me ferai un plaisir de vous donner par le futur plus de détails sur mon parcours. J'ai un texte que j'ai écrit il y a environ 3 ans mais il est sous
"word" et je ne sais si je peux ,et si oui, comment, le publier dans le forum.
Pour répondre à vos demandes, il s'agit bien d'un Art de vivre, au quotidien qui, il est vrai n'est pas sans rappeler la "Chevalerie" et l'Amour Courtois...
A vrai dire, après le "Nirvana sentimental et sexuel" des débuts de notre vie de couple j'ai rêvé de soumission à une Femme dominante sexuellement, c'est à dire qui, grâce à moi devenant à la fois son objet et son esclave, pourrait totalement s'épanouir sexuellement, mais je me suis vite aperçu que ceci n'était guère réalisable, pour notre couple tout au moins.
J'étais vaguement conscient que le potentiel de plaisir de la Femme était beaucoup plus grand et totalement différent de celui de l'homme, mais je ne savais comment permettre à mon épouse de vivre pleinement et sereinement sa vie de femme.
Ce que je cherchais en fait c'était de pouvoir, grâce à mon épouse, mettre la Femme sur le piédestal dont elle n'aurait jamais dû descendre!
Dans ce contexte, Je ne devais pas avoir un rôle passif en lui demandant de me prouver sa supériorité, mais au contraire lui prouver activement la vénération qu' elle m inspirait!...Faire de ma vie une Ode à la Suprématie de la Féminité et du plaisir féminin!
Après beaucoup de tâtonnements et de temps, j'ai fini par réaliser que cette félicité, je l'avais déjà connue.....beaucoup d'entre nous l'ont connue...c'était la période des premières rencontres...la période des "fiançailles" pour ceux qui ont connu l'époque où elles existaient...L'époque où l'homme ne sait que faire pour plaire à sa bien-aimée, où il est prêt à tous les sacrifices pour un sourire...un baiser...une caresse....la période où il était attentif à ce qu'Elle disait...Il aurait attrapé la lune ou tué des dragons pour Elle. La période où l'homme vit dans le désir, perpétuel et contrôlé par sa Belle
L'une des clés était là: Un homme qui vit dans le désir est un homme attentif et la femme qui contrôle son désir est une femme puissante!
L'autre clé était d' arriver à ce que ma femme soit totalement épanouie ? parallèlement se posait à moi la découverte des diverses formes du plaisir féminin!
Vaste et ambitieux programme que de tenter de percer les mystères du monde de la Féminité et de ses plaisirs!
C'est un voyage que j'ai donc entrepris avec plaisir, qui m'occupe beaucoup, qui, je pense, ne s’achèvera jamais...et c'est tant mieux!
Pour faire court, j'ai donc commencé à apprendre que les sources du plaisir féminin sont multiples, ne se limitent nullement aux ébats sexuels, et, quant à ces derniers, qu' il est difficile à un homme de combler totalement une femme...je veux dire qu'elle soit réellement rassasiée de plaisir et de jouissances.
Nombreux sont les hommes qui pensent qu'il suffit qu'ils pénètrent leur partenaire et qu'ils aient un orgasme après quelques "va-et-vient" pour que celle-ci soit comblée...d'où le fameux..."Alors...heureuse !" Nombreux sont les hommes qui ignorent non seulement le clitoris , mais aussi que le corps entier de la femme peut être réceptif au plaisir, et plus triste encore...nombreuses sont les femmes qui ne savent pas ce qu'est un orgasme...Nombreuses sont les femmes pour qui faire l'amour est réellement accomplir le devoir conjugal, pas un plaisir!!
Ma démarche a donc était la suivante:
Si je voulais que mon épouse soit plus disponible je n'avais qu'à faire en sorte qu'elle le soit, aussi bien physiquement que mentalement, en commençant par prendre en charge une partie au moins des tâches ménagères. A ma grande surprise, le fait de la sentir plus reposée, plus en forme et plus épanouie stimula mon désir transforma ces corvées en plaisir pour moi et m'incita à la pousser à s'adonner à ses loisirs préférés tandis que je vaquais aux "plaisirs ménagers". J'ai aussi compris pourquoi les femmes sont fatiguées après une journée de travail à l'extérieur à laquelle s'ajoute l'intendance de la maison..!
Plus je la voyais heureuse de vivre et plus j'avais envie de redoubler d'attentions et je la traitais comme une Souveraine, sans demander rien d'autre en retour que son bonheur!
Pour la partie plus intime de notre relation, je cessais de lui demander de me prendre comme esclave, mais je lui fit don de mon corps, de ma virilité, de ma sexualité, tout en insistant sur le fait qu'elle ne devait se sentir redevable de rien à mon endroit. Je lui précisais ainsi qu'à partir de ce moment elle était seule à décider où quand et comment nous aurions des relations intimes et que, bien que ce ne soit pas dans sa nature, je lui demandais d'être un peu égoïste et de penser avant tout à son plaisir personnel
Je lui fis part aussi du fait que si mes propres orgasmes me procuraient une jouissance aussi intense qu'éphémère, ils me laissaient dans un état de grande apathie et sans aucun désir, m'empêchant de continuer tout rapport, ce qui ne me convenait plus. C'est pourquoi je souhaitais vivre dans l'abstinence d'orgasme afin de privilégier le désir et son propre plaisir. Il fut convenu que je n'aurais d'orgasme que sur sa demande pendant les rapports et qu'en dehors je m'engageais à éviter au maximum toute masturbation.
Avec son accord et dans l'intimité du couple, c'est à dire lorsque nous sommes seuls à la maison, je ne suis souvent vêtu que d'un court pagne d'esclave, sous lequel je porte en permanence un lourd cockring que nous appelons "anneau d'esclave", ou, et aussi souvent que possible une cage de chasteté.
Je vis dans le désir permanent....Désir de lui plaire, de la satisfaire, de l'aimer...c'est un bonheur de tous les instants.
Chaque matin je me lève de bonne humeur en me demandant ce que je vais bien pouvoir faire aujourd'hui pour lui être agréable..la surprendre...
Je ne lui demande pas de me dominer, mais seulement d'être elle-même , de me permettre de découvrir le monde de sa Féminité et de m'y accepter comme serviteur
Humblement vôtre
chris33
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La Femme est faite pour le plaisir, l'homme pour le désir
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ce mode de vie dans la servitude volontaire n'a rien me semble-t-il de ce que nous honnissons sur Vassilia, à savoir la contrainte hors du jeu. C'est d'une certaine manière ressusciter l'amour courtois du Chevalier dévoué en tout à sa Dame.
même si je suis quand même réticent à admettre une supériorité sans partage des femmes. 