J'ouvre un post sur une pratique sexuelle qui n'est pas encore evoquée ici: "l'Axilisme.
Voici une description:
Citation :
C’est une activité sexuelle non pénétrative, sexualité extérieure ou outercourse selon le terme américain. Une sexualité sans pénétration vaginale ou orale.
Les synonymes utilisés sont : axilisme, ou coitus-in-axilla. Un terme anglais amusant décrit cette pratique de « sexe en cornemuse » Le terme français est baiser ou foutre en aisselle.
L’homme insère son pénis en érection dans le creux axillaire de sa partenaire, réalise des mouvements de va et viens puis éjacule ou pas dans le creux axillaire de la femme. Cette activité peu répandue, peut être considérée comme masturbation mutuelle ( si l’homme éjacule) ou de frottage, d’autres préfèrent considérant cette pratique comme un jeu de préliminaire si le jeu s’arrête avant l’éjaculation.
Le femme peut serre ou relâcher son avant bras offrent au pénis un creux axillaire large ou plus étroit. Cette pratique est possible en cas de nudité des seins ou sans nudité. L’homme peut insérer son pénis en face quand la femme est allongée sur le dos, par dernière si la femme est allongée sur le ventre.
Les motivations de cette pratique
Les adeptes de cette pratique décrivent plusieurs sortes de motivations :
L’aisselle est considérée par certains hommes et certaines femmes comme une zone érogène, certains hommes trouvent dans le creux axillaire les odeurs « naturels » du corps féminin.
L’aisselle peut représenter une demi cavité, permettant aux hommes d’avoir de sensations nouvelles pendant la masturbation mutuelle avec leur partenaire
La proximité des seins féminins séduit certains hommes d’appliquer ce genre de masturbation.
C’est une masturbation sans risque sanitaire, aucun contact entre les fluides corporels de l’homme et de la femme
Pratique permettant d’éviter la défloration et de préserver la virginité hyménale.
Certains optent pour cette pratique comme un moyen naturelle de contraception.
Cette pratique bien que rare existe aussi dans les pratiques homosexuelles gays.
C’est un jugement abusif de classer cette activité dans les pratiques fétichistes, si les pratiquants ont une préférence, ou une inclination pour le creux axillaire. Selon les témoignages des femmes, cette pratique ne semble pas capable de stimuler le plaisir féminin.
Le sexe axillaire dans l’histoire
C’est une pratique de sexualité extérieure non pénétrative ancienne, pratiquée dans de nombreuses cultures. En Occident, cette pratique est mentionnée dans de nombreux ouvrage. Voici comment le décrivait le marquis de Sade par exemple :
"Peu après, continua Duclos, nous vîmes arriver au sérail une fille d'environ trente ans, assez jolie (…) L'homme à qui l'on destinait cette nouvelle héroïne arriva bientôt (…). la fille se mit toute nue et nous montra un corps fort blanc et très potelé. Elle s'approcha du libertin, leva un bras et lui fit sentir son aisselle dont la sueur dégouttait de tous les poils (…), il revenait toujours aux aisselles, soit que cette partie le flattât davantage, soit qu'il y trouvât plus de fumet; c'était toujours là que sa bouche et son nez se reportaient avec le plus d'empressement. Enfin un vit assez long (…) La fille se place, le financier vient par-derrière lui nicher son anchois sous l'aisselle, elle serre le bras, forme, à ce qu'il me paraît, un endroit très rétréci de ce local. Pendant ce temps-là, par l'attitude, il jouissait de la vue et de l'odeur de l'autre aisselle; il s'en empare, y fourre son groin tout entier et décharge en léchant, dévorant cette partie qui lui donne autant de plaisir."
Je n'ai jamais penser à faire l'amour sous les aisselles de mes partenaires, par contre, il y a longtemps que j'avais envie de ressentir la sensation d'une langue à cet endroit. J'avais raison de vouloir cela car, si j'ai mis beaucoup de temps avant de demander cela à ma femme, depuis c'est un réel plaisir à chaque fois. C'est, chez moi, une vraie zone erogène.