vassilia.net

Je vous propose de venir ici raconter le dernier coups d'oeil coquin que vous avez porté.

Je commence. Pas plus tard que tout à l'heure, à la caisse du supermarché, une femme arrive derrière moi. La quarantaine, brune, cheveux longs lissés, blouson de cuir rouge assez, chemisier "satin" noir, jean bien coupé noir aussi et chaussures à talons ouvertes sur les orteils et le coups du pied. Assez bien de sa personne.
Seul bémol dans sa tenue, les collants dans ce genre de chaussures.

Le tapis s'avance au fur et à mesures que les courses, de la cliente nous précédent, défilent devant le bip de la caissière. Et la, quel petit plaisir pour moi, que de voir ma "suivante" se pencher pour attraper ses courses, laissant apparaitre le haut de son collant, mes surtout le haut de son string noir. Celui-ci avait l'air de monter assez haut. Son triangle était décoré de dentelle, avec une partie plus petite qui devait être lacé; mais le nœud était défait, les bouts retombant.

Voila ce qui m'a permis de patienter avec le sourire, alors que le caddie qui me précédait était ras la gueule.

Mesdemoiselles et Mesdames, surtout continuer à nous montrer, volontairement ou involontairement, ces petits détails qui nous intéressent, nous les hommes un tout petit peu voyeur.

Au plaisir de lire vos expériences.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Ca me fait penser aux nouveaux voisins qui ont emménagé dans l'immeuble en face du mien!
Un jeune couple dans la trentaine où madame aime se promener nue dans son appartement!
:clin:
Moi qui ne suis pas très voyeur, je dois dire qu'en ce moment, je passe pas mal de temps à ma fenêtre!

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Chose paradoxale: c'est avec les gens intelligents qu'on déconne le mieux. [Fréderic Dard]

Tu m'invites?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Sympa comme sujet Sergio !!

Bin,NOS grands esprits doivent se rencontrer ,car pas plus tard qu'hier en revenant de Papeete,j'étais sur le bateau en terrasse,et un couple 45 ans environ ,touristes Français,s'est mis debout à côté de moi à la rembarde afin de profiter du paysage qui défilait...
Seulement,dès la passe passée,le vent s'est fait sentir et sa jolie robe mousseline voltigeait gaiement au gré du vent...
Tellemeent gaiement que sa robe est remontée au moins une vingtaine de fois à hauteur de ses hanches ,laissant voir facilement son string bleu dentelle.
Mais des fesses ,des fesses ....à croquer !!!!!!

Moi,je portais des lunettes de soleil ,alors autant dire que je tenais la tête droite ,mais mon regard était rivé à gauche.
J'étais assis . (précision)

Pas souvent ,il est vrai que ce genre de splendeur arrive (en tous cas quand je suis là ! ),mais cette femme ne s'est absolument pas rendu compte que sa robe rmontait haut et vraiment pas la tête de l'exhibitionniste !!!
Ils étaient amoureux à s'embrasser souvent en voyant l'océan et les îles de chaque côté ...
Moment très sympa ,je l'avoue

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C'est parce que la vitesse de la lumière est plus rapide que celle du son,que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air cons dans leurs propos...

Merci Crip.

Le temps ensoleillé de ces derniers jours devrait apporté son lot de coups d'œil. Les femmes raccourcissent et/ou allègent leurs vêtements portés.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

C est bien vrai Ca ...!!! Moi j ai resortie ma petite robe d' été ... Celle que je peux porter entièrement nu desssous!!!!

Il ne manque plus que les endroits ou tu te promènes

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Il faut goûter à tout !

coquinette aprés cette lecture il y a enorméments d'images dans ma tete

Bonjour, moi, c'était hier, "j'auditait" une collègue responsable d'un service de 120 salariés: tout cela pour dire que c'est une femme qui est respectée et tout et tout...elle est belle, sexy sapée sympa (genre petit top bien décolleté, jean moulant ou jupette ...) Nous étions dans son bureau à éplucher des dossiers et, à plusieurs reprises, elle s'est penchée pour chercher des documents dans un tiroir de son bureau...et à chaque fois ça a été un enchantement...elle ne portait pas de sous tif et j'ai pu apercevoir ses petits seins bien fermes... Je me demande même si elle n'en a pas rajouté car la dernière fois, elle est restée penchée plus longtemps et ses tétons étaient bien bandés!

Mais, relation professionnelle oblige, je suis resté "de marbre" et n'ai bien entendu ni fait état de quoi que ce soit, ni fait paraître que je me régalais... Je doit y retourner fin juin, j’espère qu'elle continuera son petit manège!

En tant que femme, si on n'est pas bi, on a beaucoup moins de chance...
A part une chemise trop ouverte (et encore des fois, vaudrait mieux qu'elle reste fermée...), sur un mec, je vois pas trop

Tu as raison dudule, on trouve rarement des occasions agréables de jeter un coup d'oeil sur les hommes (soit il n'y a rien à voir, soit on aimerait mieux ne pas voir...).

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Toujours toute nue ou presque, même dehors ou au bureau.

Viens de me faire bannir d'un site de rencontres. Tas de jaloux !!!

Ben, c’est sûr que la mode vestimentaire masculine n’est guère propitiatoire à l’exhibition « à l’insu de son plein gré »

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« La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent. »
George Bernard Shaw
« des hommes » au sens « êtres humains », hein (sacrée langue française ) !

il reste les coucougnettes qui dépassent du short sur la plage

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Ce temps est fini, mais il y a encore vingt ans, aller pisser dans les toilettes publiques des hommes était (pourvu qu'on soit un tantinet bitophile) assez croquignolesque. Des mecs se masturbaient dans leur urinoir en faisant exprès de se mettre un petit peu en retrait afin qu'on les voit. Ça allait quelque fois plus loin (masturbation mutuelles) et encore plus loin (fellation).
Ça se fait peut-être encore mais les lieux en question ont soit disparu (vespasiennes) soit ont été transformés (toilettes de la Gare du Nord, de Havre-Caumartin)

Côté femme, la semaine dernière, un truc tout simple, une jeune touriste debout dans le bus, en débardeur. Un moment, elle ne sait pas ou s'accrocher et suspens sa main à un machin (comment ça s'appelle ?) genre crochet en plastique qui sert justement à se tenir. Elle était à côté de moi, elle n'avait pas de soutien gorge ! Quelle vision de rêve, j'en étais tout émoustillée et ça m'a éclairé ma journée.

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Ce samedi, je me suis encore amusé à observer les pieds des femmes croisées parmie les étals.
Quelques merveilles me sont apparues en toute innocence, ignorant avec quelles concupiscence je les lorgnais.
En particulier les ravissants petons dans les sandales d'une Britannique aux ongles peints en orange.