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J'ai toujours aimé les hommes mûrs et ventripotents, très autoritaires, qui savent donner de bonne corrections, gifles ou fessées.
Tu te souviens de ce copain de l'un de tes amants qui te demandait de commenter en direct tout ce qu'il te faisait?
Je n'ai pas ce souvenir-là, mais j'ai loué un appartement lorsque j'étais étudiant, dans une villa aménagée, avec un appartement à l'étage et l'appartement du rez-de-chaussé, occupé par le propriétaire. J'aurais dû me méfier du prix extrêmement modique, car il était truffé de caméras et mon propriétaire pouvait voir en direct tout ce que je faisais! Je l'ai découvert par hasard en faisant le ménage à fond dans la salle de bains. En plus, le type était un flic à la retraite!
Une personne normale aurait été choquée, aurait appelé les flics et porté plainte, mais moi, en découvrant cela, j'ai juste eu une formidable érection! Dès ce moment-là, j'ai commencé à me balader à poil dans l'appartement, dès que je rentrais de l'université.
Il y avait juste une chose qui me turlupinait, c'est de savoir ce qu'il faisait des images. Est-ce qu'il les publiait? Est-ce que j'allais être reconnu par quelqu'un? J'ai donc trouvé un plan. Un jour, alors qu'il était à la maison, je suis allé sonné chez lui, sous le prétexte de lui demander du sel. J'étais juste vêtu d'un short de sport très court et d'un débardeur, pieds nus, sans slip.
Je lui ai tendu ma salière pour qu'il la remplisse. Il m'a fait entrer chez lui, dans sa cuisine. Il a sorti le sel et un entonnoir et nous nous sommes mis à remplir la salière. La cuisine était petite et cette proximité était troublante et excitante.
Il m'a rendu ma salière et m'a proposé de boire une bière sur la terrasse. J'ai accepté. On a bu notre bière et lorsque nous avons entamé la deuxième, j'avais assez de courage pour lui dire les paroles que j'avais préparé auparavant.
- Je ne vous ai pas remercié pour les caméras, je crois. Ais-je commencé.
- Les caméras? De quoi parle-tu?
- Celles qui sont dans tout mon appartement, il y en a au moins cinq.
- Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles! Tu divagues mon garçon!
- Ah! Ce n'est pas vous? Quel dommage, je voudrais remercier cette personne, car je me sens vraiment plus en sécurité, sachant que je suis observé en permanence, j'apprécie énormément cette attention.
- Ah bon? Vraiment? Je ne vois toujours pas de quoi tu parles.
- C'est vraiment dommage! Comme je l'ai dit, cela ne me gêne pas du tout, bien au contraire, je voudrais juste être sûr que ces images ne seront pas divulguées, c'est tout.
- Bien au contraire?
- Oui, bien au contraire...
- Et qu'est-ce que tu ne voudrais pas voir divulguer?
J'ai pris une grande inspiration, puis j'ai fini ma bière d'un seul trait et je me suis levé. Face à lui, j'ai commencé une dance érotique, ôté mon t-shirt, puis mon short. J'arborais une belle érection, toute dure! Tout en dansant, j'ai recommencé à parler.
- Vous voyez, si l'on me voyait en train de faire ça et que l'on décidait d'envoyer les images à ma famille, mes amis, mes profs, ma vie serait détruite, sans doute. Je serais publiquement humilié, ça serait terrible.
- Oui, terrible, en effet.
Mon propriétaire avait sorti sa queue de son pantalon et se branlait. Mon Dieu la taille de son braquemart!
- La personne qui possède les images pourrait me faire chanter et obtenir tout ce qu'elle veut de moi.
- Ouiiii, absolument tout ce qu'elle veut. Elle pourrait te dire "Viens me sucer salope"
- Oui, par exemple et je serais obligé de lui obéir.
- Viens me sucer, petite pute!
- Oui Monsieur!
Je me suis jetée sur sa queue et l'ai engloutie jusqu'aux amygdales, puis l'ai sucé vigoureusement jusqu'à ce qu'il se déverse dans ma bouche.
- Tu m'appelleras Daddy, désormais et tu feras tout ce que je te dirai. C'est compris?
- Oui, Daddy.
C'est ainsi que durant toutes mes études, j'ai été la petite salope de daddy. nous avons installé d'autres caméras, pour qu'il puisse voir lorsque je recevais des hommes chez moi.