vassilia.net

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Oui, c'est exactement cela, on ne sait pas vraiment qui on est ni ce qu'on veut, ou on n'ose pas encore se l'avouer et un jour un homme nous remarque et nous traite comme une fille. La première fois que cela m'est arrivé, j'étais pourtant habillé en garçon, mais cet homme m'a dit que j'étais une jolie demoiselle et m'a traitée avec galanterie, des égards auxquels je n'étais pas habituée. Il m'a fait me sentir très femme.

La prostitution a toujours été une évidence pour moi. J'ai commencé à sucer des garçons de plus ou moins mon âge et un jour je suis allée dans des toilettes publiques, j'ai sucé un mec qui m'a donné un billet, pour que je reste discrète. j'y suis retournée et cette fois, j'ai demandé de l'argent, en augmentant progressivement mes prix. Après mon bac, j'ai pris un petit appartement et je me suis fixé comme objectif de financer mes études en partie par la prostitution.
c'était très excitant de me dire : voilà, ce mois-ci, j'ai payé mon loyer et ma nourriture avec mon cul.

Oui, j'ai été surpris au début de voir que je n'étais pas seule à ressentir ces fantasmes, que ce n'était pas si original que cela. Sans doute que ce qui rassemble les sissies, c'est d'avoir eu une mère ou une figure maternelle très autoritaire et dominante, d'une absence de père ou de figures masculines faibles, rendant la masculinité peu désirable, au contraire de la féminité.

Est-ce que c'est de la psychologie à 2 balles ou la vérité? Je serais curieuse de connaître vos avis.

Une mère et une petite amie complice, une soeur, etc...

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Souvent cela se passe de manière très insidieuse, sur des années où le garçon ne se rend pas compte qu'on le féminise. Plusieurs femmes (la mère en premier lieu, mais souvent aidée d'une soeur, d'une tante ou de sa meilleure amie), découragent le garçon de s'affirmer virilement, le punissent pour ses comportements de garçon et valorisent au contraire tous les comportements d'obéissance, de douceur, de calme, de délicatesse. "non, le foot n'est pas pour toi, je pense que la danse et le piano seraient plus appropriés pour toi" sont des exemples.
Rapidement, le garçon est perçu comme efféminé par ses camarades et exclu de leurs jeux, il n'a que des filles pour amies, ou bien il reste solitaire.
La féminisation continue, avec des tenues que sa mère déclare "unisexe", mais qui recyclent les vêtements de ses soeurs ou de ses cousines. s'il se plaint, on lui dit qu'on ne va quand même pas dépenser de l'argent inutilement!

Petit à petit, le garçon est guidé sur la voie de la sissytude...

Bien sûr, le fils commence à recevoir des avances d'hommes, séduits par sa féminité. A ce moment-là, sa mère peut l'éduquer sexuellement à recevoir des bites dans ses orifices, afin que les premiers rapports sexuels avec les hommes se passent bien.

L'état de sissy est alors définitif.

Docile et obéissante à celui qui l'a prise sous son aile.
Ne pouvant rien lui refuser, peu importe le lieu.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, l'état de Sissy implique une grande vulnérabilité, il est donc nécessaire d'être protégée par un maître autoritaire et bienveillant.
Il serait intéressant de se demander s'il s'agit d'une exigence du Maître ou bien si les sissy sont naturellement tout le temps en chaleur et ont besoin d'être saillies régulièrement...

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Traduction approximative
Le black : Tu aimes être ma chatte de poule mouillée maintenant, n'est-ce pas pédé ?
La sissy ; Ooh, Maître, s'il vous plaît, remplissez-moi de votre belle grosse bite. J'adore votre bite. Enfermez mon petit clito dans la chasteté et gardez-moi excité pour votre bite tout le temps. Êtes-vous prêt à me remplir de sperme ou aimeriez-vous me pilonner encore un peu, Maître ?

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Houlà il fait beaucoup trop chaud par ici, ne m'en tenez pas rigueur si je dois retirer quelques vêtements