vassilia.net

Je vous propose de raconter vos experiences décevantes, car cela arrive parfois...
Je vous en raconterai une quand j aurai rêcupére un vrai clavier.
Bsous

Modération - Omphale Déplacé depuis le Forum dans tous ses états

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La richesse de la rose, c'est sa fragilité

Une experience avec mon ex.
Son mari était parti en vacances dans sa famille avec les enfants. Elle lui avait annoncé au dernier moment qu'il lui était impossible de partir avec eux, suite à l'absence d'une collègue et le travail a effectué dans un délai imparti. C'était pour que nous passions nos premières nuits ensembles. Une semaine à s'endormir dans les bras l'un de l'autre et à se découvrir au réveil. Nous nous quittions pour vaquer à nos boulots respectifs et nous nous retrouvions chez elle le soir. Une belle semaine s'annonçait.
Hélas, lors de la première nuit, alors que nous avions toujours fait l'amour avec de très bons résultats depuis que nous nous connaissions, la panne m'est tombée dessus.
Pourquoi? Impossible de bander correctement. Impossible, malgré ses talents buccaux, manuels. Nous avons essayé pas mal de chose, mais rien. Et plus, elle s'activait et plus je me refermais sur mon "impuissance" du moment.
Comme beaucoup d'hommes, je n'ai pas bien pris mon problème. Et au lieu de m'occuper autrement de ma maîtresse, nous avons fini par nous engueuler. Elle essayant de dramatiser la chose avec humour et moi, faisant preuve de susceptibilité mal placé.
Bref, nous nous sommes endormis fâchés en nous tournant le dos. Elle me prévenant que puisqu'il en était ainsi, autant qu'elle parte rejoindre ses enfants en province dés le lendemain.

Heureusement, dans la nuit, nous nous sommes rapprochés pendant notre sommeil et nous nous sommes réveillés en train de nous caresser. La cause de ma mauvaise humeur avait disparu. Mon sexe avait retrouvé toute sa vigueur et nous avons pu faire l'amour pour notre première nuit ensemble.
Le lendemain soir, je retrouvais à table, une carte humoristique avec une phrase à plusieurs réponses sur les performances sexuelles du lapin. Bien sur, elle avait coché la réponse la pire.
Découvrant cette carte, je faisais semblant de le reprendre mal (mais au dos, elle me disait qu'elle m'aimait). Et quand elle s'est approché de moi pour m'embrasser et s'excuser, je l'ai pousser sur le canapé pour lui faire l'amour.
On avait du préparer un repas froid car nous avons manger assez tard.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Les expériences ratées de type trio, uro, bitophilie, etc ... ont droit de cité dans les différentes rubriques du forum au même titre que des expériences réussies

Il n'y aurait donc dans ce fil que des expériences non vassiliennes ?

Je peux en raconter une de ces expériences, j'avais une vingtaine d'années, et je passais mes vacances à Antibes dans un machin genre un peu auberge de jeunesse autogéré suite à 68 sans aucune intimité, bref j'avais une vieille DS à l'époque, et ça aidait pas mal. Je m'étais dégoté une Allemande, pas canon canon, mais qui manifestait pour le sexe un intérêt de bon aloi. Nous étions allé danser à Juan et pendant toute la soirée elle s'est frottée contre moi dans des slow torrides, je ne vous raconte pas dans quel état j'étais, le loup de Tex Avery avec les yeux qui sortent de la tête et la langue qui pend donc plusieurs heures pendant lesquelles je n'ai pas arrêté de bander. De retour à notre lieu de villégiature, hop les sièges en couchette et j'entreprends un cuni que la demoiselle semblait apprécier, mais ce qu'elle voulait c'était une bonne pénétration. J'étais si excité qu'en me redressant j'ai tout lâché dans le pantalon La demoiselle m'a planté là et est rentré dans le dortoir des filles, où je suppose elle s'est finie à la main. Le lendemain j'ai essayé de raccrocher les wagons, mais une paire d'Italiens avaient pris la relève et son regard m'a fait comprendre qu'il valait mieux que j'aille jouer ailleurs

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Il y a quelques mois, j'avais rencontré sur le net un homme de mon âge très porté sur le sexe, qui m'assurait qu'on allait s'envoyer en l'air toute l'après-midi et faire plein de coquineries. Au bout de quelques jours de discussions très chaudes je lui donne mon adresse.
Dès son arrivée je le colle au mur et l'embrasse avant de l'emmener directement dans la chambre. On s'embrasse, lui se déshabille totalement et moi je reste en sous vêtements. Je l'allonge, passe ma langue sur ses couilles avant de la remonter sur son sexe. Je n'avais pas atteint le gland qu'il avait joui. Il s'est rhabillé 5 min après en s'excusant et ne prétextant que ça devait être la fatigue et il est parti en disant qu'il repasserait en début de soirée. Il n'est jamais revenu et vu son attitude ce n'est pas plus mal

Trois témoignages, trois pannes ou "ratés" de ces messieurs

Je continue dans la lancée des messieurs, mais pas pour la même raison. J'ai reçu un jour un homme, que dis-je, un singe!!
D'où mon aversion depuis des "trop" poilus...
A l'époque, ça ne me dérangeait pas outre-mesure et je me lance dans l'aventure avec mon entrain habituel. Mais au bout de quelques minutes, il m'est arrivé dans le nez une odeur de sueur insupportable. Il sentait de partout, même sur le sexe!!! On venait pourtant de prendre la douche!!

Ne pouvant me résoudre à lui balancer : tu pues! j'ai inventé une crampe inédite d'un organe inconnu, en disant que je ne pouvais plus bouger! Au bout d'un quart d'heure, ma crampe virtuelle n'étant toujours pas passée, je lui propose de remettre ça à une autre fois. Je crois qu'il attend toujours...

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"Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants" Antoine de Saint-Exupéry

C'est pas beau de se moquer.
Vous ne savez ce que c'est, vous. Imaginez que pendant un moment vous soyez privées de la fonction la plus importante chez la femme: la parole. Comment croyez-vous que vous allez réagir si vous ne pouvez pas vous laissez aller à causer?

Non, Dudule. Pas les orties.

Il m'est arrivé une seconde "panne", mais avec ma femme cette fois, et nous etions ensemble depuis pas mal d'années déjà. La première m'a bien servi de leçon car c'est moi qui en ai plaisanté et je me suis occupé d'elle autrement.
Il ne faut surtout pas focaliser la-dessus car je crois que plus on n'y pense, moins on risque de s'en sortir.
Je parle bien d'une "panne", pas de problèmes récurrents qui méritent une consultation.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Pour avoir eut une autre expérience de la panne je peux te dire que ça a été un très beau moment. Pourquoi? Parce que plutôt que de prendre la fuite il s'est occupé de moi avec ses doigts et sa bouche. Il a réussit à me faire jouir plusieurs fois sans problème. C'est l’attitude de l'homme plus que son problème qui pour moi relève de l'échec.

Oui. Tu as raison. Mais ce n'est pas facile pour un homme de s'apercevoir qu'il ne peut pas bander. Tout du moins la première fois.
Quand l'affaire se reproduit, il faut savoir en sortir autrement que de rester sur l'echec. Nous n'avons pas qu'une queue et il faut y penser.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Etant donné que j'ai rencontré beaucoup de jeunes hommes, il m'est arrivé pas mal de fois d'être confrontée à leur "panne". Je mets entre guillemets car c'est un terme un tantinet péjoratif à mon goût. Je crois que j'ai su leur parler et à chaque fois ils comprenaient à quel point ce n'était pas grave... C'est pourquoi je n'ai pas raconté ces expériences dans cette rubrique, car pour moi, ce n'étaient pas des "ratés" ou des "déceptions".

Par contre, j'ai bien compris que le problème n'est pas tant la panne que ce qu'ils imaginent : de ce que la fille pense, de ce qu'elle va dire etc... Ils sont vexés d'avance et parfois, les mots rassurants qu'on peut leur dire ne suffisent pas ...

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"Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants" Antoine de Saint-Exupéry

l'inquiétude c'est quand on s'aperçoit pour la première fois qu'on ne peut pas le faire une deuxième fois
l'angoisse, c'est quand on s'aperçoit pour la deuxième fois qu'on ne peut pas le faire une première fois

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

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"Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants" Antoine de Saint-Exupéry

Et pourtant ce n'est pas faute d'essayer de parler ou de rassurer. Mais bon ça arrive et pour moi ce n'est pas du tout dramatique mais un raté.

Il y a quelques mois j'aurais put raconter comme raté la fois où j'ai trempé le lit de mon meilleur amant parce que le sexe était trop bon. Ben oui je ne savais pas que l'on pouvait nous aussi éjaculer

On en revient encore une fois au problème de l’éducation… Si on apprenait aux jeunes que le pénis n’est pas la seule partie du corps masculin à pouvoir servir dans les jeux sexuels, les garçons ne feraient pas une telle fixette dessus. Mais pour beaucoup, c’est toujours le truc qui caractérise, qui définit un homme (et donc, la fameuse « panne » remet en cause leur identité même)… Affligeant !

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« La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent. »
George Bernard Shaw
« des hommes » au sens « êtres humains », hein (sacrée langue française ) !

Merci Omphale d'avoir mis le sujet au bon endroit...
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Une expérience assez récente vécue à l'Hyppocampe.

Nous étions installés ma moitié libertine et moi-même dans une des alcôves qui nous permet de nous câliner tout en regardant ce qui se passe autour (j'aime bien ça... :clin: ).

Des couples passent devant notre îlot de bonheur et une femme, accompagnée d'un homme charmant au premier abord, nous demande si nous sommes d'accord pour qu'ils nous rejoignent.

Là, blocage (ça m'arrive parfois). Je ne sais que répondre ! Merde alors, je déteste quand je me retrouve dans ce genre de situation. Ma moitié m'interroge du regard. Je sais que si je dis non, il leur demandera de passer leur chemin. J'ai envie de lui faire plaisir. Alors j'esquisse un petit oui.

La dame nous présente alors un large sourire et "plaisante" avec son ami en lui disant "oh elle a dit oui"... (J'ai su plus tard qu'elle se foutait littéralement de moi en fait).
Elle s'avance et grimpe sur mon compagnon (on peut le dire comme ça).
Aucun regard pour moi, je n'existais plus ! Et je n'ai plus existé jusqu'à la fin de l'intermède.
A peine ma moitié la touchait-elle qu'elle nous chantait la castafiore !!! Et pourtant, il ne la touchait qu'avec les doigts... heureusement que ce n'était pas avec sa bite !

Je me suis dit : bon, pour lui faire plaisir (à ma moitié), laissons faire, ça va durer quelques minutes et c'est bon. Que neni, ça a duré plus d'un quart d'heure cette histoire. On se serait crus à l'opéra !
Pendant ce temps, un ou deux regards échangés avec ma moitié et j'ai su qu'il était intérieurement plié en deux de rire, mais la longueur de l'intermède commençait à me mettre mal à l'aise...

Son ami essayait bien de s'occuper de moi, mais trop de mal à me concentrer avec ce cinoche à côté de moi... je me suis masturbée un peu et pof, emballé c'est pesé, on n'en parle plus.

J'attendais que ce soit fini à côté. Comme ça commençait à traîner en longueur, je me suis détournée. A l'hôtel du cul tourné !!!

La dame s'est remise de ses émotions et a glissé quelques paroles gentilles à ma moitié... (rien pour moi, même pas par politesse). Et ils sont partis tous les deux... pour aller en face faire la même chose !!!

Plus tard dans l'après-midi, nous avons croisé cette personne à nouveau ; elle était accompagnée d'un monsieur différent. Je n'ai absolument rien compris au film.

En tous cas, cette expérience de libertinage m'a laissé un goût amer. Je n'ai nullement envie de recommencer ce genre de sketch.

Heureusement, nous nous sommes retrouvés tous les deux dans un jacuzzi tout chaud et sommes repartis nous câliner ensuite, seuls cette fois. Parce que faut pas déconner quand même. Une seule mauvaise expérience par jour, par plus ! :clin:

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La richesse de la rose, c'est sa fragilité