vassilia.net

@françoislave: comme tu l'écris, le principal est d'avoir trouvé ce que tu avais été cherché. Du hard et de la virilité, voir plus.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Hier soir ?
Moi en train de m'astiquer la prostate avec mon jouet pendant que ma copine me caresse le sexe et le corps, étalant le sperme qui coule sur mon ventre, me faisant lécher ses doigts... et surtout en étalant sur tout mon visage...
Avant que l'on s'endorme, moi maculer, et très heureux !
Même si la nuit fut courte tellement les idées coquines et envies m'ont perturbée ;-)

Bonjour,

Visite à mon garagiste samedi matin. Je lui ai expliqué qu'avaler son urine n'était pas vraiment fun, donc il m'a promis de ne plus le faire.

Arrivé au garage, il est seul comme tous les samedi. Il me fait mettre nu dans sa petite pièce et comme la fois dernière, il m'administre une bonne fessée, moi à quatre pattes sur le lit. Comme nous sommes seuls, je peux crier tout à loisirs et vu les claques qu'il m'administre, je crie bien fort.

Ensuite il m'emmène dans l'atelier, au lavage. Bien qu'il fasse froid dehors, la température est à peu près supportable dans le bâtiment. Il me fait mettre à genoux devant lui et se met à me pisser dessus. Visiblement il s'était retenu depuis un moment car il pisse, pisse, j'en ai partout, sur la figure, sur le corps, je suis trempé de sa pisse bien chaude. C'est la première fois qu'on me pisse dessus ainsi et j'apprécie. Tout en m'arrosant, il me traite de tous les noms, "salope, chienne", et j'en passe.

Une fois sa vessie bien vidée et sans que j'ai le temps de réagir, il se saisit d'un tuyau et me douche "pour me nettoyer". Inutile de dire que l'eau froide est loin d'être agréable mais il s'en fiche. Une fois bien rincé, il me tend une serviette ou plutôt un chiffon pour que je me sèche puis nous retournons dans la pièce.

Il se déshabille, se penche en avant et me présente son trou du cul. Je le lèche avec amour, autour, dessus, dedans, il ronronne et moi je suis aux anges. Il est propre, j'adore donner et recevoir cette caresse, tout est pour le mieux.

Ensuite il se redresse et me colle sa bite devant ma bouche. Je m'exécute et je le suce, je mange littéralement sa queue, je lèche ses couilles, insistant bien entre elles et son petit trou. Il bande dur, j'ai oeur qu'il se lâche dans ma bouche et je lui demande de faire attention. Il me rassure et je reprends ma pipe.

Quand il est prêt, prêt, prêt et plus que prêt, je me retourne et m'agenouille sur le lit, en bonne chienne. Il enfile une capote et m'embroche d'une poussée. Je crie (quel bonheur de ne pas avoir à retenir mes cris comme quand il y a du monde dans la pièce à côté !) autant de douleur que de plaisir mais il continue à me limer tout en me claquant les fesses de temps en temps.

Je l'encourage, je crie en mesure avec ses mouvements et quand je sens qu'il va jouir, je m'affale sur le lit et il se finit couché sur mon dos. Une fois qu'il a joui, il reste quelques minutes en moi puis il se retire et me présente sa queue capotée à nettoyer, ce que je fait malgré les traces qui la recouvrent.

Il retire la capote, me donne un rouleau de sopalin pour que je me nettoie les fesses et retourne dans l'atelier. Une fois seul, je m'amuse un peu avec mon gode, mais je n'arrive pas à jouir en m'empalant dessus.

Il revient un bon quart d'heure plus tard, la queue bien dressée, réenfile une capote et me sodomise à nouveau. Cette fois il vient plus vite.

Après s'être retiré, nouveau sopalin, je me rhabille et je le quitte le trou du cul bien ouvert mais le sourire aux lèvres.

je reve d'avoir un garagiste comme le tien, j'espere que tu auras encore de nombreuses pannes pour aller le voir bises

Ma voiture a de plus en plus besoin de révisions et j'ai des pannes très fréquentes.....

Excellent !!

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Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq. C'était le jour du changement d'heure.

Citations de Garry Shandling

Ton garagiste semble connaitre de mieux en mieux ta mécanique.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Il y a peu de temps, ma chère femme a émis le souhait d'être sodomisée en levrette.
Comme je suis un mari compréhensif, je lui ai donnée satisfaction.
Afin de varier les plaisirs et les introductions, j'ai eu le plaisir de constater que mon lit à baldaquin (confectionné selon mon plan) est très résistant, et qu'il me reste encore bcp de forces dans les bras

Je vous laisse imaginer...

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Maître à mes heures

Oh oui , j'imagine très bien ....

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Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq. C'était le jour du changement d'heure.

Citations de Garry Shandling

Ben non. Je suis pas trés doué pour cela.

Je préfère qu'on me raconte.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Arrivée au bois je fait sauter ma petite mini-robe pour me retrouver entièrement nue!! je me dirige ainsi vers un endroit chaud sans aucun vêtement, naked!!!
Tenue de combat, entièrement nue je suis prête pour me faire baiser et enculer!!
je commence à sucer des bites!!


avec décharge en pleine gueule, dans la bouche et j'avale tout!!

l fesses nues à même le sol, pleines de sperme!!

( A suivre)

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toujours très courte sans aucun sous-vêtement!! ne vas pas aux WC, mais aime servir de WC complet!!!

Cet après-midi, visite chez mon garagiste favori. J'étais en manque, le godage quasi journalier ne pouvant remplacer une bonne queue. En vérité, si je m'étais écouté, je me serais mis à poil dès mon arrivée dans le hall d'accueil et j'aurais foncé sur sa queue....

Donc nous rentrons dans la petite pièce qui lui sert de baisodrome, je me mets instantanément à poil tandis que lui se contente de baisser slip et pantalon.

Je me jette sur sa queue, elle sent fort la pisse, j'adore, elle est molle et je commence à la lécher avec gourmandise tout en serrant sa base avec la main. Je le suce, variant la vitesse, je la gobe à fond, je lui titille le gland, je lui lèche les couilles mis l'essentiel de mes efforts est pour son membre qui est vite devenu bien dur.

Cette odeur de pisse m'enivre, il est propre mais sa queue sent fort et ça m'excite. Je le pompe de plus en plus vite et au bout d'un moment, il me repousse, retire pa&ntalon et slip et s'agenouille sur le lit en me tournant le dos, et il me préente ses fesses.

Je comprends le message et je commence à lui lécher le trou du cul. D'abord lentement, sur le pourtour, puis j'essaye de rentrer ma langue, de donne des coups de langue sur sa rondelle comme le ferait une queue. Il apprécie car je le sens s'ouvrir et ma langue rentre plus loin. Adorant cette caresse sur moi, je comprends qu'il l'apprécie aussi et je lui fais ce que j'aime qu'on me fasse, léchage autour, petits coups de langue sur les lèvres se son anus, pénétration par petits coups, il gémit de plaisir mais aussi, je grogne de satisfaction, je pense que jamais je n'ai autant apprécié de bouffer le cul d'un mec.

Ca dure plusieurs minutes et puis il se relève, je le reprends en bouche, il bande bien, puis il m fais signe d'arrêter de le sucer. Je m'agenouille sur le lit, les fesses bien saillantes, le visage posé sur le drap. J'attends son assaut.

Il enfile une capote, me barbouille le cul de lubrifiant, insistant bien avec un doigt, il le rentre d'ailleurs en moi. Puis il s'enfonce en moi d'une poussée, sans brutalité mais jusqu'à ce que son ventre tape mes fesses.

Il me sodomise longuement, je gémis en rythme mais il me fais comprendre qu'on risque de m'entendre, donc je mets ma main droite sur mes lèvres et c'est à présent ma respiration qui rythme sa chevauchée.

Il vient assez rapidement, je "sens" sa jouissance car d'un coup il reste enfoncé à fond en moi. Puis il se retire doucement, je suis aux anges, je le remercie, il se nettoie la queue, moi les fesses, nous nous rhabilllons, sortons de la pièce et après une poignée de main, je rentre chez moi, ravi, satisfait, avec une envie folle de crier à chaque personne que je croise que je viens de me faire enculer, comme la bonne lope que je suis devenu.

Il est rare d'aller chez un garagiste pour lui faire sa vidange. Vous semblez beaucoup
apprécier vos rencontres.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

@Sergio : Oh que oui !!!!! Je lui fait la vidange, je nettoie la jauge et je m'occupe aussi de l'échappement, très important.

Bonjour,

Cet après-midi, visite à mon garagiste préféré. Je me mets à poil dans sa petite pièce garnie d'un lit tandis que lui se contente de baisser pantalon et slip. Cette fois-ci, sa queue ne sent rien, je le regrette presque, son odeur de pisse habituelle me plaisait beaucoup.

Je prends sa queue en bouche, elle est longue mais molle, et je tiens la base avec une main. Je le suce doucement, insistant bien sur le gland, l'effet est quasi immédiat car elle devient bien dure assez rapidement. Je le pompe en variant les mouvements, tantôt je l'engloutis d'un mouvement brusque, tantôt je la prends doucement. Je m'applique à la frotter contre l'intérieur de mes joues. Je vois qu'il aime par la dureté de son membre.

Mais très vite il se met à quatre pattes sur le lit et me présent sa raie. Je comprends le message et je me jette sur sa rondelle, langue en avant, en lui écartant bien les fesses. Je léche autour de son trou, je léche au centre, je darde ma langue et la rentre comme un sexe rentrerait dans un cul. Il aime car chaque fois que je retire m langue, son bassin accompagne en arrière. Cette fois-ci la feuille de rose dure un maximum de temps, je suis excité comme une puce, j'adore lui lécher le cul. A présent son anus est trempé de salive, ma salive, et je le lèche de plus en plus fort.

D'un coup il se redresse et me présente à nouveau sa queue que je prends en bouche. Je le pompe de plus en plus vite, sa queue me fascine par sa longueur et sa dureté.

Quand il juge qu'il est prêt prêt prêt, il me fais signe de passer à mon tour sur le lit. Je me mets en levrette et l'encourage à m'enculer. Il enfile une capote et me tartine bien la rondelle de lubrifiant, y introduisant même un doigt pour parfaire le travail. J'en gémis de bonheur. Puis il se place derrière moi, sa queue à l'entrée de mon cul, et il me pénètre lentement mais bien à fond.

Et la cavalcade commence. Cette fois-ci, contrairement à son habitude, il me pilonne doucement, je diris même amoureusement. Je suis aux anges, je gémis puis, comme il y a du monde dans l'atelier attenant, je mets une main devant ma bouche et j'halète en mesure avec le rythme de sa pénétration. Ca dure un bon bout de temps, visiblement il n'est pas pressé, puis il commence à me pilonner plus brutalement, je sens qu'il est presque arrivé au bout. D'un coup je sens une odeur de merde, pourtant je me suis bien nettoyé, lui de son côté ne dit rien et continue à me sodomiser de plus en plus fort.

D'un coup, il fait claquer son ventre très fort contre mes fesses et je le sens jouir en moi. Puis il se retire doucement, enlève la capote et se rhabille. Je me redresse lentement, je prends du papier et me frotte le cul, gêné, mais je constate avec soulagement que je ne suis pas sale. Ouf, c'était un gaz odorant.

Je me rhabille après l'avoir remercié plusieurs fois du plaisir qu'il m'a donné, nous sortons de la pièce, nous nous disons au revoir et à la prochaine et je rentre chez moi, heureux et rassasié.