Cet après-midi, visite chez mon garagiste favori. J'étais en manque, le godage quasi journalier ne pouvant remplacer une bonne queue. En vérité, si je m'étais écouté, je me serais mis à poil dès mon arrivée dans le hall d'accueil et j'aurais foncé sur sa queue....
Donc nous rentrons dans la petite pièce qui lui sert de baisodrome, je me mets instantanément à poil tandis que lui se contente de baisser slip et pantalon.
Je me jette sur sa queue, elle sent fort la pisse, j'adore, elle est molle et je commence à la lécher avec gourmandise tout en serrant sa base avec la main. Je le suce, variant la vitesse, je la gobe à fond, je lui titille le gland, je lui lèche les couilles mis l'essentiel de mes efforts est pour son membre qui est vite devenu bien dur.
Cette odeur de pisse m'enivre, il est propre mais sa queue sent fort et ça m'excite. Je le pompe de plus en plus vite et au bout d'un moment, il me repousse, retire pa&ntalon et slip et s'agenouille sur le lit en me tournant le dos, et il me préente ses fesses.
Je comprends le message et je commence à lui lécher le trou du cul. D'abord lentement, sur le pourtour, puis j'essaye de rentrer ma langue, de donne des coups de langue sur sa rondelle comme le ferait une queue. Il apprécie car je le sens s'ouvrir et ma langue rentre plus loin. Adorant cette caresse sur moi, je comprends qu'il l'apprécie aussi et je lui fais ce que j'aime qu'on me fasse, léchage autour, petits coups de langue sur les lèvres se son anus, pénétration par petits coups, il gémit de plaisir mais aussi, je grogne de satisfaction, je pense que jamais je n'ai autant apprécié de bouffer le cul d'un mec.
Ca dure plusieurs minutes et puis il se relève, je le reprends en bouche, il bande bien, puis il m fais signe d'arrêter de le sucer. Je m'agenouille sur le lit, les fesses bien saillantes, le visage posé sur le drap. J'attends son assaut.
Il enfile une capote, me barbouille le cul de lubrifiant, insistant bien avec un doigt, il le rentre d'ailleurs en moi. Puis il s'enfonce en moi d'une poussée, sans brutalité mais jusqu'à ce que son ventre tape mes fesses.
Il me sodomise longuement, je gémis en rythme mais il me fais comprendre qu'on risque de m'entendre, donc je mets ma main droite sur mes lèvres et c'est à présent ma respiration qui rythme sa chevauchée.
Il vient assez rapidement, je "sens" sa jouissance car d'un coup il reste enfoncé à fond en moi. Puis il se retire doucement, je suis aux anges, je le remercie, il se nettoie la queue, moi les fesses, nous nous rhabilllons, sortons de la pièce et après une poignée de main, je rentre chez moi, ravi, satisfait, avec une envie folle de crier à chaque personne que je croise que je viens de me faire enculer, comme la bonne lope que je suis devenu.
|