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Dominique Alderweireld, alias "Dodo la Saumure", mis en examen dans l'affaire de prostitution dite du Carlton de Lille, a annoncé jeudi l'ouverture d'une nouvelle "maison de plaisir" en Belgique, baptisée le "DSK".

L'ouverture du DSK, "Dodo Sex Klub, en flamand", aura lieu mercredi soir à Blaton, près de la frontière française, "pas loin de Valenciennes et de la sortie d'autoroute", a-t-il déclaré à l'AFP.

"C'est un clin d'oeil et ça m'apporte de la publicité. Commercialement, c'est excellent, c'est fabuleux parce que tout le monde en parle, de DSK [Dominique Strauss-Kahn, NDLR]", a souligné sur le ton de la plaisanterie Dominique Alderweireld, qui compte ouvrir prochainement un sixième établissement en Belgique, le "Carlton Club".

Le "DSK", qui emploiera "sept filles dont un transsexuel", est "une maison de plaisir qui comptera une 'table dance' et des chambres", a-t-il ajouté.

Renvoyé en correctionnelle aux côtés de 13 autres prévenus dans le dossier du Carlton, "Dodo la Saumure", Français de 64 ans, a toujours nié avoir fourni des prostituées à l'ancien patron du FMI Dominique Strauss-Kahn.

Elle cachait un revolver chargé dans son vagin

C'est "un objet inconnu" qui a donné l'alerte. Alors qu'ils fouillaient une jeune femme à son entrée en prison, lundi 21 avril, les surveillants pénitentiaires de Kingsport (Tennessee) font une curieuse découverte dans son entrejambe, raconte The Smoking Gun (en anglais).

Une fouille plus poussée leur permet de "récupérer un North American Arms 22 LR revolver (chargé) qu'elle avait dissimulé dans son vagin", explique le rapport des autorités. A l'origine, la jeune femme de 19 ans était seulement emprisonnée pour avoir conduit malgré la suspension de son permis. Elle est aujourd'hui inculpée pour port d'armes et introduction de matériel interdit dans une prison.

Pour ne rien arranger, la police s'est aperçue que le revolver avait été volé l'année précédente dans une voiture. Son propriétaire, interrogé par The Smoking Gun, aimerait bien récupérer "le petit gars". Mais pas avant "un bain d'eau de javel".

Savoir embrasser fait partie des premières qualités recherchées chez un partenaire.

Réussir ou rater son baiser n'est pas anodin. Certaines personnes savent comment doser leur effet, stimuler la sensualité sans basculer dans la vulgarité, et ces personnes auraient plus de chances de convaincre leur vis-à-vis d’aller plus avant vers une relation sexuelle voire une relation suivie.

L’impact d’un baiser réussi a été testé par des chercheurs américains de l’Université d'Oxford. Pour cela, ils ont rassemblé des participants, hommes et femmes, pour une expérience, et leur ont fait circuler des petits descriptifs de personnes du sexe opposé qu’ils pourraient éventuellement rencontrer. Dans certains cas, le descriptif mentionnait, parmi d’autres qualités, que la personne savait bien embrasser. Ensuite, les scientifiques demandaient aux participants de noter sur une échelle graduée leur souhait de 1) rencontrer cette personne, 2) avoir une relation sexuelle d’un soir avec elle, ou 3) entamer une relation à plus long terme.

Quand le baiser invite aux caresses

Les chercheurs ont constaté que la simple mention « sait bien embrasser » chez un homme augmentait de 25 pour cent le désir d’une femme de faire l’amour avec lui, et de 15 pour cent son souhait d’entamer une relation plus durable. Chez les hommes, une femme sachant bien embrasser a également plus d’attrait, mais l’effet semble moins prononcé.
Les scientifiques interprètent ces observations en disant que le baiser est un moyen d’évaluer la capacité sexuelle et de reproduction d’un éventuel partenaire. Des études précédentes avaient montré que s’embrasser sur la bouche remplit une fonction analogue à celle de goûter un plat avant de savoir si on souhaite le commander. Cette approche « test » serait plus importante pour les femmes, qui ciblent généralement davantage leurs partenaires et se lancent un peu moins à l’aveuglette.

La pression est donc sur les hommes, qui doivent faire leurs preuves lors de cette phase préliminaire. Cela peut toutefois leur offrir un avantage : comme dans une offre commerciale, ils peuvent proposer à leur vis-à-vis de tester le produit - sans promesse d’achat.

Interpol a annoncé ce vendredi 2 mai l'arrestation aux Philippines de 58 personnes dans le cadre d'une enquête sur un réseau mondial de « sextorsion ». Une pratique qui consiste à faire chanter des internautes adeptes du cybersexe. Les suspects sont poursuivis pour pédopornographie et chantage.

Le modus operandi des maîtres-chanteurs est toujours le même. Ils prennent de fausses identités, celles de jeunes femmes attirantes qui se livrent à du cybersexe sur les réseaux sociaux. Ils enregistrent à l'insu des victimes des photos ou des vidéos très explicites, puis les menacent de les transmettre à leurs proches. Ils font ensuite payer leur silence plusieurs milliers d'euros. À Hong Kong un homme a même versé plus de 10 000 euros avant de prévenir la police. Les victimes sont souvent des hommes d'âge mûr ou des mineurs.

Le directeur de la lutte contre la cybercriminalité d'Interpol parle d'un immense réseau qui sévit sur trois continents. La « sextorsion » est en fait une nouvelle forme de criminalité qui a émergé ces dernières années profitant du nombre croissant d'utilisateurs de réseaux sociaux via les smartphones. Mais au-delà de l'extorsion d'argent, le phénomène inquiète les autorités, car il implique d'énormes souffrances émotionnelles pour les victimes. Il y a moins d'un an, un jeune écossais de 17 ans s'est suicidé au domicile familial après avoir été victime de ce type de chantage.

Préservatifs troués: La publicité Desigual qui choque l'Espagne

POLEMIQUE - A l'occasion de la fête des mères, la marque de prêt-à-porter dévoile une campagne indigne selon plusieurs associations...

Connue pour ses vêtements aux couleurs vives et motifs improbables, la marque Desigual choque désormais sur le terrain publicitaire. En Espagne, un clip promotionnel pour la fête des mères fait scandale puisqu'on y voit un mannequin percer des préservatifs avec une aiguille. La jeune femme, qui a visiblement des envies de grossesse, danse langoureusement devant son miroir, glisse un coussin sous sa robe pour arrondir son ventre, puis perfore les préservatifs qu'elle a dans son sac. La scène se termine par le message «Bonne fête des mères», après un «C'est toi qui décides» en ouverture.

Alors que le débat sur la loi anti-avortement agite le pays depuis plusieurs mois, cette pub a d'abord suscité des réactions indignées sur Twitter, sous le hashtag «#tudecides». La loi pourrait prochainement faire de l'IVG un délit en Espagne.

C'est aussi le message irresponsable vis-à-vis des maladies sexuellement transmissibles qui est dénoncé, tout comme l'image d'une femme toute-puissante qui se jouerait des hommes en leur cachant une éventuelle paternité. Pour se défendre, la marque a insisté dans un communiqué sur la présence de la mention «fiction publicitaire» dans le clip, insistant sur le concept de «libération personnelle». «Percer un préservatif est un acte qui permet d'attirer l'attention, comme on allume une allumette dans le noir», indique Desigual, définitivement adepte du mauvais goût.

Peine de mort pour les enfants et bronzage occidental: les Maldives

Sous le Paradis, l'enfer
Il s'agit d'un extrait d'article d'Agoravox

Depuis 2012, le régime s’est re-islamisé malgré les progrès démocratiques (certains peuvent même dire grâce aux progrès démocratiques, en jugeant que l’appel à un jihad violent est un droit démocratique !). Ces deux dernières années, des jeunes filles sont sévèrement condamnées (coups de fouet) pour des relations sexuelles hors mariage, même en cas de viol ! Une pétition (qui a rassemblé plus de deux millions de signataires) a cependant réussi à sauver l’une d’entre elles............................................

Un bikini apparence "seins nus" lancé le 26 mai aux États-Unis suscite le buzz aux quatre coins de la planète. Pied de nez à la censure d'Instagram et Facebook, il interroge l'acceptation sociale de la nudité.

Est-il choquant de se balader torse nu en pleine rue ? Pour une femme oui, pour un homme, non. C'est cette différence d'acceptation sociale de la nudité de la poitrine qu'ont voulu questionner Robyn Graves et Michelle Lytle, deux entrepreneuses américaines. Elles viennent de lancer le TaTa Top, un haut de maillot trompe-l’œil couleur chair orné de faux tétons. Disponible pour 28 dollars (soit un peu plus de 20 euros) en trois tonalités de couleur : original, medium ou foncé. Il donne l'illusion d'être topless.

Ouvertement subversif, le TaTa Top questionne et contourne la loi dans un pays où certains États interdisent de bronzer seins nus sur la plage. Il est de surcroît un véritable pied de nez lancé à la censure de Facebook, et d'Instagram, deux réseaux sociaux qui prohibent la vue de seins nus, et suppriment sans ménagement les clichés jugés indécents, à part en cas d'allaitement suite à une décision récente. Sur leur site, Robyn Graves et Michelle Lytle s'adressent directement au grand méchant Instagram : "Ce sont de faux seins. Êtes-vous allergique à l'humour ?".

Leur but ? Inviter les femmes à "se faire remarquer" et à "déclencher le rire". "Ce sont juste des seins", clament-elles, entérinant le mouvement protestataire sur la toile #FreeTheNipple (littéralement : "libérez les tétons"). Une démarche apparemment pas du goût d'Instagram qui s'est empressé de supprimer à plusieurs reprises un cliché de la fondatrice exhibant ses "faux seins" en pleine rue.

Cela n'empêche pas les commandes de pleuvoir. Certaines tailles du TaTa Top sont en rupture de stock sur le site marchand. Les créatrices ont même décidé de reverser 5 dollars par commande à The Lynn Sage Cancer Research Foundation (LSCRF), une fondation de recherche contre le cancer du sein installée à Chicago. Bref, les deux font la paire.

La Coupe du monde, c'est du sport mais aussi beaucoup de marketing. L'édition 2014, qui se déroule jusqu'au 13 juillet au Brésil, n'échappe pas à la règle. Les marques du monde entier tentent de surfer sur la vague football, y compris les fabricants de sextoys et de préservatifs. Tour d'horizon des gadgets les plus fous avec notre chroniqueur David Courbet.

Si le football n’était qu’un événement sportif, ça se saurait. En plus de la FIFA, qui brasse des milliards sur le dos des Brésiliens, toute occasion est bonne pour profiter de ce mois d’effervescence pour refourguer ses produits dérivés. Et à ce petit jeu, le marketing du sexe se foot pas mal de notre gueule. Petit florilège.

La (face)palme de la communication opportuniste revient sans aucun doute à cette boutique de sex-toys suédoise qui vient de lancer sa "pince Suarez", du nom du cannibale uruguayen qui a mordu son adversaire italien lors du Mondial. Vous permettrez ainsi à votre partenaire de se faire mordiller le téton.
"Peut-être [Suarez] sera-t-il fier de répandre un peu de plaisir et d'amour, malgré son erreur sur le terrain", a affirmé sans vouloir donner l’impression de nous prendre pour des cons le directeur général de la boutique, Tobias Lundqvist.
En gros, pour 33 euros, vous aurez la chance d’être en possession d’une simple pince que l’on trouve dans le rayon "cuisine" de Ikea pour quelques centimes avec collé dessus un bout de carton avec la tête du Hannibal des terrains. La chance !

"63% des Françaises avouent à SexyAvenue miser sur leur sextoy comme principal attaquant pour marquer à tous les coups", commence le communiqué de la société du même nom vendant toutes sortes de cochonneries sur le net.
Déjà, on soulignera l’effort du jeu de mot en intro avant d’applaudir des deux mains face au banal, rempli de clichés et sexistes : "Alors que les hommes sont occupés à supporter leur équipe…", et bien on a découvert que les meufs ne cherchaient qu’à s’envoyer en l’air avec leur sextoy, bla-bla-bla.

C’est bien connu, les mecs sont tous fada de foot, se remplissent le bide d’hectolitres de bière en éructant comme des demeurés pendant que Monique, leur femme au foyer haïssant ce sport, s’emmerde et ne sait plus quoi faire après avoir terminé le triptyque ménage-bouffe-vaisselle. Du coup, Monique veut se jeter sur Jack the Rabbit (à 39,95 euros précise le communiqué) ou "marquer un but" avec le vibromasseur Point G (à ne pas confondre avec Point P qui vous fera un autre type de révision…).

Parce que vous croyez vraiment que, en 2014, cette image genrée du supporteur de foot tient encore la route ? Et même si c’était le cas, devant les beuglements de son mari et les commentaires atroces de Christian Jeanpierre, vous pensez vraiment que Monique va réussir à s’exciter seule dans sa chambre ? Plus c’est gros, plus ça passe, et je ne parle pas du Rabbit…

"Une Française sur deux, interrogée par Entre-Infidèles, a l’intention de participer à de toutes autres parties plus coquines… À votre avis, qui va marquer le plus de but ?"
Devant cette question existentielle, on ne peut rester que bouche bée. Le site de rencontre en ligne veut ainsi nous faire croire que "les matchs représentent une excuse idéale pour se faufiler en douce hors de la maison" pour aller jouer "en dehors de son "équipe habituelle" pour 90 minutes coquines, avec peut-être quelques prolongations". Cool, mais on n'avait pas besoin d'eux pour savoir que le crack-crack avant un match, peu importe lequel, était bénéfique.

Là ça me fait de la peine. Vraiment. Comme une impression d’être pris non seulement pour le dindon mais aussi pour la farce. À croire que tout le monde attendrait le coup d’envoi pour aller s’… (trop facile) rendre visite à son amant/maîtresse. Mais si on suit la logique du sondage précédent, il faut déjà savoir que le gros beauf de mec est déjà dans son canapé et regarde le match pour de vrai. Donc il ne reste que Monique. Mais celle-ci a déjà fort à faire avec ses sextoys en essayant de se concentrer et faire abstraction de l’ambiance. A moins que l’un des deux sondages soit faux ?

En fait les deux ! Car un autre sondage mené par l’Ifop, plus sérieux celui-là, affirme que… le Mondial ne changera pas le quotidien de 73% des Français en couple et ce sont en fait majoritairement les célibataires (à 25%), un comble, qui pensent que l’événement peut être une source de conflit au sein du couple. Bref, enfumage quand tu nous tiens.

Quitte à avoir l’air d’un con, au moins y aller à fond. Ce n’est pas la devise de Jean-Claude Dusse, mais ce pourrait être celle du magasin pour sous-vêtements Solendro.
Ses caleçons aux couleurs des équipes de la Coupe du monde pourront ainsi "vous offrir un look à la fois sportif et un style indéniable". Et un peu tue-l’amour surtout. Car n’oubliez pas que "ce style conviendra parfaitement aux sportifs comme aux plus fervents supporters", ce qui est parfois totalement incompatible…

Je ne sais pas à quelle occasion vous allez pouvoir exhiber cette belle trouvaille, mais pas sûr que ça aide franchement votre équipe préférée. Ni votre réputation. On va passer sur l’odeur (car oui, un vrai supporteur ne change pas son calbut’ tant que son équipe est encore en lice) et plutôt voir l’impact sur votre entourage. Pour ne pas passer pour un gros looser, mieux valait bien choisir son équipe : qui a acheté un slibard aux couleurs de l’Espagne, de l’Italie ou du Portugal peut direct s’en servir comme mouchoir.

Et quand allez-vous l’exhiber fièrement ? Si c’est après un match bien arrosé, entouré de vos potes et vous vous mettez, chancelant, à grimper sur la table du bar pour entamer un striptease avant que vous ne vous fracassiez la tête sur le comptoir, pas sûr que ce soit réellement à votre avantage…

Finissons en beauté avec… le préservatif "équipe de France". Cherchant un coup marketing, la marque Condhom n’a pas eu peur de sortir des capotes à l’effigie des cadors français, avec comme slogan "Pour l’amour des Bleus".
Si le Sida tue toujours, ce n’est pas le cas du ridicule. La première chose à laquelle j’ai pensé, c’est à l’affaire Zahia. Qui ne mettra pas à son avantage, malgré sa relaxe, notre attaquant fétiche Benzema. Ni celui qui portera le bout de latex avec sa tête…

Et puis quand on voit ces têtes dessinés, désolé, mais là c’est direct le coup de la panne ! J’aime bien Deschamps, mais le simple fait de l’imaginer deux secondes en train de parler tequeniqueuuu et taqueeuuutiqueuuuu, impossible de lever quoi que ce soit.




Alors même si l’équipe a semblé au Mondial plus robuste avec une défense plus imperméable qu’auparavant, ce n’est quand même pas une excuse pour passer la troisième mi-temps en sa compagnie. Par contre, avec le bourreau des Bleus en quart, pourquoi pas !

INSOLITE – Chanteur, guitariste, compositeur... et menuisier. Brent Hinds, membre éminent du groupe américain Mastodon, a sculpté un pénis géant en bois, et partagé fièrement les photos sur son compte Instagram. Pour en faire quoi ? Mystère...

Ca n'a rien à voir avec l'art brut. Mais ça pourrait bientôt trouver sa place dans un musée. Le musicien américain Brent Hinds, chanteur et guitariste du groupe Mastodon, vient de signaler à ses fans en postant sur Instagram une série de photos, et même une vidéo, dans laquelle il dévoile sa dernière création : un pénis géant en bois. "C'est ma première sculpture depuis un an", précise l'intéressé qui avant d'officier à temps plein au sein de la formation originaire d'Atlanta, travaillait comme charpentier.

"Le plus dur, ce sont les bourses", explique-t-il dans la vidéo, où on le voit vernir son travail avec soin. Sur Instagram, les fans de Brent Hinds sont tantôt admiratifs, tantôt perplexes. L'intéressé ne précise pas ce qu'il compte en faire. Planter l'objet dans son jardin ? L'exposer dans la galerie du coin, à condition de trouver un lieu haut de plafond ?

Si vous n'êtes pas convaincus par ses talents du sculpteur, reste la musique, excellente. Paru en juin dernier, Once More 'Round the Sun, le sixième opus de Mastodon est l'un des meilleurs albums rock de l'année.

Un Britannique de 50 ans est mort après être resté cinq jours avec un vibromasseur coincé dans le rectum. Trop honteux pour consulter rapidement un médecin, il est mort après un mois de souffrance.

Un Britannique est mort après s'être coincé un vibromasseur dans le rectumpeur du ridicule l’a tué. Nigel Willis, un Britannique de 50 ans, est resté chez lui cinq jours couché avec un vibromasseur coincé dans le rectum relate le Daily Mail. Pour l’homme, hors de question de consulter un médecin dans cette position gênante. Sauf que son sentiment de honte lui a été fatal. Pendant ces cinq jours, il est devenu de plus en plus faible, jusqu’au point d’être incapable de bouger de son canapé. Il a finalement osé raconter son histoire à un ami, qui a appelé les secours.

L’homme diabétique et chômeur, qui vivait encore chez sa mère, a finalement été hospitalisé avec un choc septique, une insuffisance aiguë de la circulation sanguine. Après un mois de soin intensif, il est décédé. Son autopsie a révélé qu’il était mort d’une septicémie et d’une perforation de l’intestin. Cette triste histoire rappelle qu’il vaut mieux affronter la honte de sa vie plutôt que mettre sa santé en péril.

ROYAUME-UNI - Un dentiste pervers a secrètement filmé des femmes dans les toilettes de son cabinet grâce un iPhone dissimulé. Lors de son procès, la cour a cependant choisi de lui épargner la prison.
Leur intimité scrutée par un iPhone. Huit femmes ont été filmées secrètement lors de leur passage aux toilettes chez un dentiste de Newcastle (Angleterre), rapporte le Mirror, relayant une information de Chroniquelive. Le praticien, Daniel Stocks, 36 ans, est accusé d'y avoir enregistré leurs faits et gestes grâce à son smartphone dissimulé dans la pièce.

C'est en novembre dernier qu'une jeune femme découvre le pot aux roses. Alors qu'elle est dans les toilettes, elle remarque une lumière étrange en-dessous du lavabo. Elle s'approche et découvre la présence d'un téléphone portable, allumé et caché sous... un essuie-tout. Naïvement, elle décide de remettre l'appareil au dentiste, ne réalisant pas que c'est le sien.

Peut-être prise d'un doute, elle prévient la police, malgré les réticences de Stocks qui lui assure avoir supprimé les vidéos en question. Et c'est lors d'une perquisition organisée par la police dans la maison du dentiste que tout devient plus clair. Des disques durs remplis de clips vidéo de jeunes femmes utilisant les toilettes ont été retrouvés.

"Je suis horrifiée, outrée par ce qu'il a fait, c'est un vrai choc. C'est affreux, je me sens violée dans mon intimité", a témoigné une femme de 33 ans au tribunal. Une autre victime a expliqué que c'était "une violation totale de sa vie privée". Stocks qui n'a pas pu contester les preuves l'accusant d'avoir filmé quatre femmes dans son cabinet et quatre autres dans une autre propriété, a donc décidé de plaider coupable pour voyeurisme.

Et malgré des délits qui constituaient "un abus de confiance monstrueux", la cour a décidé de ne pas l'envoyer en prison. L'avocat de Stocks, Bill Davidson, a tenu à dire à la cour que son client pouvait désormais faire une croix sur sa carrière sans pour autant pouvoir expliquer les actions déplacées de Stocks. Seules des excuses ont été délivrées. Pas sûr que les victimes de ce piège soient totalement satisfaites...

Une actrice autrichienne de films pornographiques a été interpellée par la police après avoir tourné une vidéo dans une église. Un internaute attentif avait reconnu ses seins.
Une bourgade de Nord-Autriche, Hoersching, son église, et une jeune femme arrêtée pour s'être filmée dans des positions pas très catholiques... Ce sont les trois éléments d'une histoire qui a tenu en haleine l'Eglise catholique autrichienne cet été, rapporte The Austrian Times.

Tout part du sens de l'observation d'un paroissien qui, "surfant sur Internet", a été surpris de reconnaître l'intérieur de l'église de sa localité dans... un clip pornographique. Sur la vidéo, une femme déboutonne son haut, se caresse les seins, et tient dans ses mains une bible et un chapelet. Sitôt sa conviction établie, le fidèle s'en va prévenir le prêtre de la localité, qui décide de prévenir immédiatement la police. En effet, il n'avait délivré aucune autorisation pour procéder au moindre tournage dans son lieu de culte.

La vidéo ne dévoilant pas le visage de l'actrice, les forces de l'ordre font alors circuler un appel à témoin avec une capture d'écran du clip vidéo. C'est alors qu'un autre informateur, qui avait reconnu la poitrine de l'actrice X Babsi, s'est chargé de donner son identité aux policiers. D'après des sources proches de l'enquête, la jeune femme, originaire de la région, avait déjà réalisé des clips similaires, qu'elle avait diffusés sur Internet. La reconnaître était alors un jeu d'enfant et les policiers ont pu l'interpeller et obtenir d'elle "des aveux complets", a précisé le porte-parole de la police.

Si l'actrice risque 6 mois de prison et une lourde amende pour atteinte aux croyances religieuses et profanation d'une église, l'affaire ne s'est pas arrêtée là. En effet, un débat pour le moins houleux a animé le clergé autrichien après ces révélations. L'église de Hoersching était-elle souillée au point de devoir recevoir de nouveaux sacrements ? Finalement, cette option n'a pas été choisie, les autorités religieuses décrétant que les actions de cette femme n'avaient pas été assez blasphématoires pour chasser Dieu de l'église.

Dans le film Quand Harry rencontre Sally, de Rob Reiner, il y a LA scène du restaurant où, devant une salle médusée, Sally, incarnée par Meg Ryan, feint l'orgasme pour montrer à un Harry (Billy Cristal) un tantinet gêné que, oui, parfois, les femmes simulent de manière très réaliste – et très sonore aussi.
Autant une telle manifestation d'enthousiasme dans un lieu public peut passer quand il s'agit d'une blague comme dans cette comédie, autant elle peut s'avérer plus qu'embarrassante lorsque la montée au septième ciel est involontaire et intervient sans crier gare. C'est ce qui est arrivé à une Turque, dont le cas très particulier est décrit dans le numéro d'août de Parkinsonism & Related Disorders. Ainsi que le relatent les auteurs de l'article, neurologues à l'université Necmettin Erbakan de Konya (Turquie), cette femme de 42 ans est venue à l'hôpital en se plaignant... d'orgasmes spontanés de 5 à 20 secondes. Spontanés et répétés puisque la chose la prenait à l'improviste de trois à cinq fois par jour.