vassilia.net

Oui, mais...
Marc ne s'occupe que de sa femme, et de moi. Quant à moi, je n'ai pas vraiment d'auréole, et la fidélité n'est pas la plus grande de mes vertus ! Bien que je vieillisse.
Alors autant se remettre au plastique, et de temps en temps s'offrir un plaisir !

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Und lieben will ich ! Lieben, bis mir das Fleisch von der Seele fällt.
Konstantin Wecker (Lieber Gott)

Ce matin, j'avais rendez-vous au Montansier avec un mec rencontré sur internet. Au bout d'un quart d'heure, toujours personne, je décide de rentrer dans le sauna tout seul histoire de ne pas être venu pour rien.

Une fois déshabillé, serviette sur l'épaule et après avoir fait une petite provision de gel et de capotes, je fais un petit tour et je rentre dans une cabine. Je m'allonge sur le ventre, jambes bien écartées, et j'attends.

Au bout de quelques minutes, un type passe, jette un coup d'oeil dans la cabine puis s'en va. Quelques minutes de plus et un black, mince comme un fil mais avec un sexe à se pâmer rentre et commence à me caresser les fesses. Je grpogne de plaisir, il insiste, me rentre un doigt dans ma "chatte" et me complimente sur la douceur de ma peau...

Je lui demande s'il veut me prendre, il répond que oui. Il me présente sa queue et j'entreprends de la faire monter avec ma bouche. Elle est grosse et longue, j'en ai rarement vu de cette taille en réalité. Il bande peu à peu, enfile une capote, je me mets à quatre pattes sur le divan et il me pénétre d'un coup. C'est divin, sa queue est grosse mais d'une douceur.....

Il me besogne un moment puis je le sens se cabrer. Il vient de jouir. Il se retire et sort de la cabine.

Je me recouche sur le ventre, attendant "le client". Quelques minutes passent et mon black réapparaît. Je le suce à nouveau, il enfile une autre capote et me pénètre à nouveau. Là, il ne va pas jusqu'au bout, il se retire après quelques mouvements et me fait mettre sur le dos.

Je m'exécute, il me sodomise face à moi, mes jambes relevées en appui sur ses épaules. La position lui permet de me pénètrer bien plus profondément, c'est très bon, je crie mon plaisir.

Au bout d'un moment, il se retire et repart dans les couloirs.

Il réapparaît un bon quart d'heure après, me fait mettre debout en appui sur le divan et il me possède à nouveau. Comme je lui ai demandé de laisser la porte entrouverte, un autre mec passe, s'arrête, retire sa serviette et me présente sa queue à sucer.

Une fois que le black a fait sa petite affaire, il cède la place à l'autre type qui me sodomise à son tour dans la même position, debout contre le divan, une jambe repliée dessus et l'autre en appui sur le sol.

Lorsqu'ils sont partis tous les deux, je me recouche un moment à plat ventre sur le divan, plusieurs personnes passent mais personne ne rentre.

Je décide d'aller visiter le sous-sol et je finis par rentrer dans une cabine. Même scénario, je me couche à plat ventre, jambes largement écartées. Et voilà mon black qui rentre. Il me caresse à nouveau, je le suce, il me pénètre, fait sa petite affaire au fond de mes fesses sous les yeux d'un type dans le couloir. J'essaye d'encourager celui-ci du regard mais il doit être passif car il rentre dans une autre cabine et j'y entends bientôt ses gémissements.

Mon black et moi nous séparons à nouveau après avoir échangé nos prénoms, Albert il s'appelle, et il vient régulièrement ici. Je sens que je remettrai volontiers le couvert avec sa queue de dingue !

Je continue la visite, rentre dans une pièce bien éclairée où trône un sling. Je m'installe dessus, les pieds dans les étriers, la rondelle bien offerte.

Un type rentre, vient se frotter contre mon petit trou mais il ne réussit pas à bander et me laisse rapidement. La prochaine fois, je viendrais avec un pot de lubrifiant et des gants, que je laisserai bien en évidence pour encourager les amateurs de fist.... On ne sait jamais, si l'un d'entre eux passe, ......

Je reste quelques minutes sur le sling puis je décide de quitter le sauna. Pour une première au Montansier, je me suis fait sauter quatre fois et ai sucé une queue quatre fois aussi. Une bonne visite !

J'ai en fait une petite idée concernant la suite de la journée. Je passe un coup de fil à un type qui recherchait à fister. On convient d'un rendez-vous et je m'y rend illico.

Arrivé chez lui, je me déshabille et je lui administre une bonne pipe. Malheureusement il bande mou et nous passons vite aux choses sérieuses.

Je me mets à quatre pattes sur le lit et il me rentre peu à peu sa main dans les fesses. Il me fouille le ventre, je crie, il est obligé de me demander de baisser le son à cause des voisins.

Je me place sur le dos, jambes en l'air, la raie offerte, et il me rentre à nouveau sa main. Cette fois-ci, il me fouille le ventre vigoureusement, il me pistonne le cul, il rentre, il sort, je suis aux anges tellement c'est bon.

Après quelques tentatives pour me branler, j'abandonne et je me consacre à sa fouille.

Quand j'en ai plein le cul, expression qui prend ici toute sa valeur, Je le prends en bouche et je le suce, je lui gobe les couilles, il bande mieux, je me régale, lui aussi apparemment. Puis je le fais mettre debout dos à moi et je lui bouffe le cul. Il apprécie de plus en plus.

Il s'assied sur le divan, jambes écartées et je lui refais une pipe, longtemps, longtemps. Je m'applique mais rien n'y fait, il bande mou. Il m'explique que je le suce bien mais qu'il a souvent du mal à bander. Tant pis pour moi.

Nous nous quittons avec la promesse de nous revoir, j'ai bien l'intention de me refaire fouiller le ventre rapidement.

Pour clore la journée, en rentrant chez moi, je me finis avec un gode car si les autres ont joui, moi j'étais resté sur ma faim. Je me branle donc longuement en m'empalant sur mon gros gode.

Epilogue : j'ai droit à une aérophagie tenace cette nuit avec tout l'air que mes amants m'ont introduit dans le séant en me pistonnant

Quelle santé!

Punaise ! c'est le cas de le dire...

C'est la première fois que je me faisais prendre dans un sauna, et surtout autant de fois. Ma plus "grande" expérience s'était déroulée dans une cabine de sex-shop, où j'avais été pris par un actif et un travesti, mais cela n'avait rien de comparable.

Dans le sex-shop, nous avions d'abord discuté tous les trois puis nous étions caressés mutuellement. Ensuite j'avais sucé le mec, il m'avait pris puis le travesti m'avait aussi pris. L'actif m'avait sodomisé à nouveau une fois puis j'étais parti. Hier, rien de comparable. J'étais allongé sur le ventre, jambes écartées, offert à qui voulait et l'ai été pris en effet par qui voulait. J'ai un seul regret, en dehors de ne pas avoir rencontré d'autres mecs, c'est de ne pas avoir sollicité le black une autre fois, car visiblement il avait apprécié mon "contact".

En fait, depuis mon opération, je n'éprouve du plaisir qu'en me dilatant tandis que je me caresse, ou alors en suçant et en me faisant prendre, mais là c'est purement mental car ke ne me caresse pas du tout, me consacrant uniquement au plaisir de mon partenaire.

Toujours en forme, bibi et françoislave.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Bonjour,
Eh oui, on se maintient ....

Lors d'un de nos derniers week-end en province, nous sommes allés visiter le seul et unique sex-shop de la ville. Nous regardons d'abord la vitrine qui donne sur la rue très explicite, lingerie coquine, jouets et nous nous faisons klaxonner par des gamins passant en mobylette. Ils ont le sourire et clairement sont émoustillés par le sex-shop mais peut être n'ont ils pas encore le droit d'y entrer....

L'intérieur est de facture classique comme les nouveaux sex-shop, bien éclairé, avec un large de choix de lingerie et des jouets mais la plus grande partie est faite de dizaine de DVD et la une pancarte nous attire l’œil : cabine gratuite pour les couples.

Sergio m'avait parlé de cette envie et moi j'avais même précisé, pourquoi ne pas laisser la porte ouverte. Ooo la coquine !
Nous choisissons un film à tendance BDSM bien sur mais clairement soft et nous demandons une cabine.

Rien que d'entrer dans ce lieu, d'avoir descendu les escaliers et je suis déjà trempée d'excitation, pour cette 1ere fois par contre, Sergio fermera la porte à clé.

La cabine est tout ce qu'il y a de plus "pratique", un diffuseur de parfum, des lingettes, une télé ou le film démarre, et une banquette.

Sergio me plaque contre lui, son envie est pressante il est excité, je n'hésite pas une seconde et me mets nue. Après diverses agaceries avec ses mains et sa bouche, il me demande de me mettre en levrette sur la banquette, je me retrouve exactement dans la bonne position pour que mon bassin soit à la hauteur du sien. Une banquette parfaite, à croire qu'elle était faite pour nous.

Il me prends le sexe d'un seul coup comme je l'aime et ses va et viens me font partir déjà très haut, j'aurais plusieurs jouissance. Puis il change enfin d'endroit, il se positionne sur mon anneau et pousse lentement mais surement, je sais qu'il entrera en entier dans mes fesses sans ressortir une seule fois et c'est ce que j'adore. Je pousse des gémissements de contentement.

Il va me prendre longuement, bloquant le plus longtemps possible son envie de jouir et à ce jeu là il est très fort, je vais avoir de multiples jouissances. Au bout d'un moment, sentant mon épuisement, il me fait m'allonger sur le dos sur la banquette, il a dans son sac notre petit martinet qui me fait partir si loin, après plusieurs coups bien appliqué sur ma chatte c'est l'orgasme, puissant et violent.

Sergio est prêt à jouir à son tour, il vient au dessus de moi et se répand sur mes seins, j'en frissonne de plaisir, son sperme est brulant sur la peau tendre de ma poitrine.

Nous avons adoré cette expérience et il est évident que nous la recommencerons.

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Ma liberté, c'est quand je veux, ou je veux avec qui je veux

Un excellent souvenir pour moi. A renouveler certainement.
Le plus dur sera de choisir le film.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Deux rencontres intéressantes (pour moi !) ces derniers sept jours.

La semaine dernière, je téléphone à un travesti de mes connaissances pour prendre des nouvelles et surtout conclure un rendez-vous. C'est un "mec" de près de 75 ans, habillé en femme, avec un sexe encore vaillant, des bouts de seins qui me mettent en transes quand je les caresse et des goûts sexuels divers et variés. En effet, il aime le sexe traditionnel mais aussi l'anulingus, l'uro et le scato, donneur comme receveur. Nous avons déjà pratiqué souvent ensemble et je lui dois mes plus grandes jouissances pendant qu'il me léchait la rondelle ou qu'il me fistait. Une fois, je l'ai raconté sur le site, il m'a fisté pendant qu'une copine à lui, trav également, me suçait la queue.

La semaine dernière, donc, après divers petits calins, il a entrepris de me doigter puis, devant ma demande de fist, il m'a pénétré avec un gode en forme de main. Il sait y faire et la pénétration a été lente mais insistante, et finalement je me suis empalé sur la main jusqu'au poignet. Je n'ai pas joui mais la sensation d'être rempli et de longs va-et-vient sur le gode m'ont procuré un grand bonheur à défaut d'orgasme. Et aussi la sensation d'être femelle remplie par la main d'un mâle.

Aujourd'hui, changement de décors, je suis allé chez un mec gay rencontré sur Vivastreet. Il se disait actif et recherchait une "chatte" pour la prendre. Comme cela me convenait parfaitement, nous avons convenu rapidement d'un rendez-vous et j'y suis allé ce matin.

J'arrive dans la rue, je sonne au portail du pavillon et un homme très mince, limite anorexique, m'accueille très aimablement. Après les politesses d'usage, nous allons dans sa chambre.

Nous nous déshabillons tous deux et j'examine l'arme. Sa queue est mince mais bien longue, et surtout très ferme au toucher, ce qu'une bonne pipe me confirmera.

Je commence à la caresser, à genoux devant lui. Pendant ce temps, il me caresse lui aussi, mais le dos et les épaules.

Je le prends en bouche, c'est un régal. Elle est ferme, voire dure, j'en ai rarement vu de si dure d'ailleurs. Elle sent bon, ses couilles aussi, que je palpe et suçotte avec mes lèvres.

J'alterne gobage de couilles et léchage de hampe puis j'enfourne sa queue jusqu'au fond de ma gorge, et elle ne rentre pas toute dans ma bouche !

Je le pompe amoureusement, je titille le méat, il apprécie, moi aussi, sa queue devient encore plus dure, je vais me régaler....

Je repars sur les couilles, je les lèche, je les gobe une par une, c'est une caresse que j'adore donner comme recevoir. Puis je retourne à sa bite et j'alterne mouvements de va-et-vient lents et pompages rapides. Je ne sais pourquoi mais j'ai entièrement confiance en lui et j'y vais franchement sans crainte qu'il éjacule dans ma bouche sans capote. La confiance, ça ne se commande pas, et ce mec, je lui fais confiance.

Au bout de quelques minutes, je n'y tiens plus, et je lui demande de me prendre. Lui aussi apparemment souhaite passer à autre chose car il acquiesce et, se saisissant d'un préservatif, il déchire l'étui et l'enfile prestement sur sa queue. Une fois celle-ci habillée, je la reprends en bouche et le suce à nouveau pour l'exciter un peu plus.

Puis je lui demande comment il veut me prendre. Il me fait mettre à quatre pattes au bord du lit, m'enduit la rondelle de lubrifiant ce qui me provoque des gémissements de plaisir non feints.

Une fois bien préparé, il s'approche de mon petit trou, cale sa queue dessus et doucement il me possède jusqu'à la garde. Dieu qu'elle est longue, je la sens presque buter contre le fond de mon rectum. C'est délicieux et je gémis d'autant plus fort.

Il commence à bouger en moi, de plus en plus vite, je l'encourage de la voix et surtout des cris de bonheur que je lâche. Je suis aux anges, j'adore être pénétré et lui sait y faire.

Il me travaille le cul pendant un bon moment, à tel point que j'en arrive à me demander s'il va arriver à jouir, s'il ne va pas débander d'un coup comme cela arrive parfois quand le mec n'est pas suffisamment excité. Mais là, pas de problème de ce genre, d'un coup il stoppe ses mouvements et se retire. Je lui demande s'il a joui et il me répond que oui en me montrant la capote pleine de sperme.

Je suis heureux, heureux de l'avoir fait jouir en moi, heureux d'avoir été bien possédé, heureux d'être une fois de plus la parfaite salope que je suis devenu.

Et en rentrant chez moi, je lui propose immédiatement par mail de se revoir dans deux jours, ce qu'il accepte immédiatement. Je vais encore me faire enculer dans deux jours, et comme j'ai deux rendez-vous demain avec deux mecs différents, plus un autre mercredi après-midi, je vais passer une semaine d'enfer ; cinq enculades en une semaine, je vais battre tous mes records.

Je vous raconterai mes exploits au fur et à mesure.

Comme promis, la suite de mes rencontres de la semaine.

Aujourd'hui mardi, j'ai eu deux rencarts, le matin avec un mec assez loin de chez moi, l'après-midi avec un autre mec actif dans la ville à côté de mon domicile.

Le matin donc, je prends la voiture et en route pour M...... sur Seine pour voir un type souhaitant me travestir pour me baiser. J'arrive près de chez lui, je me gare et lui téléphone pour arriver à sa porte. Conq minutes après, je suis devant un pavillon et je sonne. Ou plutôt je vais pour sonner mais la porte s'ouvre avant et un grand blond me fait signe de rentrer.

Salutations et il me montre un tas de vêtements sur une chaise.

"Tu enfiles tout çà et tu me rejoins dans la chambre..."

Je me déshabille rapidement et commence à mettre la lingerie, culotte et sous-tif assortis. Il y a même des bas et un porte-jarretelles. Je passe ensuite à la robe mais j'abandonne vite, mes (grosses) rondeurs dépassent ses capacités. Par contre, je mets la perruque et enfile les escarpins à talons en maudissant le type, je suis pas du tout à l'aise dedans et je manque de me casser la figure en allant le rejoindre.

Il est à poil sur le lit. Il me dit de tourner devant lui pour admirer sa salope. Je m'exécute.

Puis il me fait signe de le rejoindre sur le lit ce que je fait avec enthousiasme. Je plonge sur sa queue mais il me repousse et me fait mettre à quatre patte, en 69 au dessus de lui. Je replonge sur sa queue et la lèche goulument tandis qu'il passe un doigt sur le fond du slip, insistant bien sur ma rondelle qui se gonfle illico.

A présent, je le pompe avec amour, alternant avec des coups de langues sur ses couilles. Il sent assez fort, mélange de pisse et de transpiration, une bonne odeur de mâle mais cela ne me dérange pas, trop occupé à le sucer et surtout à me faire doigter car il a écarté mon slip et me travaille le cul avec ses doigts. Je lui demande de me lubrifier, pour toute réponse il me tend ses doigts et je les suce. Il me les réenfourne tout pleins de ma salive et recommence à me pénétrer.

D'un coup, je le sens haleter et se cambrer, par réflexe je soulève ma tête pour lâcher sa queue, bien m'en prend car à peine à l'air libre, son membre me crache trois bons jets de sperme en pleine figure. Pour une première, je suis servi mais ma première réaction est de l'engueuler pour avoir failli jouir dans ma bouche sans capote.

Il bafouille quelques excuses mais je suis énervé et je décide d'arrêter là la partie de jambes en l'air. Je retourne dans l'entrée et reprends mes habits "civils". Une fois rhabillé, je pars en lui lançant un "au revoir" pas très aimable.

En voilà un que je rayerai dorénavant de mon carnet d'adresses !

L'après-midi, changement de décors. Le type que je rencontre est un jeune d'une trentaine d'année, l'air viril, souriant aussi. Une fois chez lui, je ne peux m'empêcher de lui raconter ma mésaventure du matin. Il rit, moi moins mais il m'assure que je ne crains rien car il est lent à venir et ne veut pas me faire courir le moindre risque. Un type normal en quelque sorte.

Je me mets à genoux, nu, devant lui et lui ouvre sa braguette. Sa queue est légèrement bandée. Je la sors doucement et lèche le gland. Il est circoncis, je préfère. Je parcours sa tige avec ma langue, puis je descend sur ses couilles. Lui il sent le propre. Je reviens sur le gland, je le lèche à nouveau, puis je m'attarde sur la fente, il gémit.

J'ouvre les lèvres et je gobe lentement sa queue, jusqu'à avoir ses poils contre ma figure. Je commence à aller et venir, lentement, il apprécie et moi encore plus. Sa queue n'est pas trop grosse, pas trop longue, je me régale.

Au bout de quelques minutes, j'arrête ma gâterie et lui propose d'aller sur le lit, plus confortable. Il retire ses vêtements et nous nous couchons. En fait, je me blottis dans ses bras, je me frotte contre son torse, je lui caresse les tétons avant de les léchouiller. Puis petit à petit, je descends vers son bas-ventre. Arrivé à bon port, j'engloutis, c'est le mot exact, sa queue et je me mets à le pomper, j'ai envie de le faire durcir au maximum, de lui faire du bien, pour qu'il puisse bien me prendre.

A un moment, il m'arrête, il veut mon cul, çà tombe bien, j'ai très envie de lui offrir !

Il me fait mettre sur le dos, me relève les jambes et plaque sa queue sur mon petit trou. Il me caresse la rondelle avec son membre, doucement, c'est vraiment un expert. Puis il se relève, enfile une capote, me tartine le cul avec du lubrifiant et reprend la position, son gland contre mon anus.

Je n'en plus et je lui demande, je l'implore de me prendre, de me défoncer. Il appuie sa queue sur mon trou et doucement, il me pénètre. Jamais un mec ne m'avait pris aussi tendrement.

Une fois bien à fond, il reste quelques instants immobiles, s'en est trop, je gémis :

"Prends-moi, défonce-moi, fais-toi du bien !"

Comme s'il n'attendait que ça, il commence à me pilonner le cul, d'abord doucement puis plus vite pour terminer en me défonçant comme un fou. Je suis aux anges, son ventre claque contre mes fesses, je hurle, l'encourageant à jouir.

La chevauchée dure, dure, il est en effet long à jouir, mais je ne m'en plains pas.

Au bout de longues minutes, je commence à avoir le cul en feu, il pousse un cri et je sens sa queue se tendre en moi. Il vient de jouir.

Il reste au fond de moi puis se retire, toujours doucement. Décidément c'est un bon coup !

On se nettoie, lui la queue et moi le cul, puis bisous et je rentre chez moi.

J'ai pris beaucoup de plaisir à relire les nombreuses pages des croustilleries.

J'ai souri lors de certaines histoires et j'ai été nostalgique de certaines autres mais en tout cas lorsque je relis nos premières rencontres avec Sergio, lorsqu'il m'appelle encore que V. je lis toute la maladresse que l'on pouvait avoir et bien cela m'amuse beaucoup.

En tout cas grâce à Vassilia, ces premières rencontres sont écrites et je peux les relire avec plaisir

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Ma liberté, c'est quand je veux, ou je veux avec qui je veux

Nouvelle rencontre mardi dernier, via un site. Nous prenons rendez-vous sur le parking d'un Campanille. A l'heure dite, je franchis la grille du parking et je repère sa voiture. Je vais vers lui, il ouvre la portière, nous faisons connaissance puis je vais louer la chambre.

Je demande le prix et sors une liasse de billets. Et là, gag, la fille me réclame une pièce d'identité. Mon premier réflexe est de lui répondre que si je paie en liquide c'est précisément pour rester anonyme, mais je me calme et lui réponds que je n'ai pas ma carte d'identité sur moi. "C'est notre procédure" me dit-elle, "vous avez votre permis de conduire ?", "non je suis venu à pieds".... Je crois que je vais être candidat au titre de la mauvaise foi 2013....

"Une carte bancaire ?"

"Si je paie en liquide, c'est parce que je n'ai pas ma carte sur moi"....

La fille, consciente qu'elle va perdre un client, pianote sur son clavier, histoire de ne pas perdre la face. Puis elle farfouille dans son tiroir et en sors une carte magnétique : "Vous avez le 205".

J'empoche la carte et monte à l'étage non sans avoir donné le numéro de la chambre à mon mec.

Arrivé dans la chambre, je me déshabille et quelques minutes plus tard, il frappe à la porte et je le fais entrer.

Il se déshabille à son tour et s'étend sur le lit. J'en fais autant et commence à le caresser, sur le torse d'abord puis très vite je descend à l'endroit stratégique et j'empoigne sa queue. Elle n'est pas très grosse, le gland apparaît en partie caché par un prépuce assez épais, mais elle est assez appétissante, et après tout, je lui demande seulement de bien durcir pour rentrer en moi....

Je le caresse doucement puis j'engloutis son membre dans ma bouche. Je le pompe lentement, sa queue grossit peu à peu. Je dégage bien le gland du prépuce et le lèche avec gourmandise.

Je lèche la hampe, je gobe ses couilles, je reviens à mon pompage, il apprécie, ce dont je me rend compte à ses grognements.

Je le pompe un moment puis, lorsque je juge que sa queue est suffisamment dure, je me redresse.

"Prends moi, j'ai envie..."

Il se lève, prend un préservatif dans la poche de sa veste, l'enfile sur sa queue et revient sur le lit.

Il m'empoigne par les hanches et me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Je me laisse faire, mieux, je cambre bien mes fesses et appuie mes épaules et ma tête sur le drap pour bien faire ressortir mes fesses et mon trou.

Il me tartine le petit trou avec du gel et, enfin, il place sa queue contre ma rondelle. Je l'encourage et il me pénètre doucement, d'une poussée continue, jusqu'à ce que je sente son ventre contre mes fesses.

C'est bon, je suis aux anges.

Il commence à me travailler l'anus, en rythme, faisant presque sortir sa queue de mes fesses pour me reprendre bien à fond. Il sait y faire, il m'encule fermement mais je dirais tendrement aussi.

Au fur et à mesure qu'il me possède, je m'agrippe aux draps avec les mains pour ne pas glisser sur le lit, pour finalement tendre les mains et prendre appui sur le mur. Ainsi bien calé, je goûte pleinement ses mouvements, je me fais défoncer comme une salope, c'est bon, très bon même, je me sens femelle prise par mon mâle, sans doute une des meilleures enculades que j'ai connu.

Il accélère ses mouvements d'un coup, je comprends qu'il est en train de jouir en moi, et en effet il cesse de bouger puis se retire lentement de mes fesses.

Je lui demande si c'était bon, pour toute réponse il me montre la capote pleine de sperme. Et son air satisfait me confirme son plaisir. Quant à moi, c'était vraiment bon, j'aurais même aimé que cela dure encore longtemps.

Il va se laver puis se rhabille et s'en va. Je reste seul dans la chambre.

Au bout de quelques minutes, je décide de me donner du plaisir à mon tour et de me faire jouir aussi. Je parcours la chambre à la recherche d'un objet propre à me pénétrer pour finalement m'arrêter sur le combiné du téléphone.

Je le débranche, le lave soigneusement et le badigeonne de lubrifiant.

Je place des serviettes sur le lit, je m'accroupis dessus et je m'introduis le combiné dans le cul. Il rentre très facilement, je suis bien dilaté et en plus mon mec m'a bien préparé le terrain.

Je commence à me caresser la queue et bougeant légèrement sur le combiné bien calé sur le lit. Puis très vite j'arrête de bouger, il est tellement calé dans mon trou que je peux me relever sans qu'il ressorte de mes fesses.

Je me branle de plus en plus vite, l'anus bien dilaté par le téléphone, et enfin mon plaisir éclate dans un cri.

Je me relève, retire le combiné de mes fesses et je vais dans la salle de bain pour le nettoyer. Je l'ouvre et, avec du savon et de l'eau, je le remets en état. Pour finir, je le rebranche et téléphone à la réception pour vérifier qu'il fonctionne bien.

Je me lave à mon tour, me rhabille et je rentre chez moi l'esprit tranquille, bien rassasié de plaisir.

Mon compagnon se casse le poignet, donc direction l'hopital, avec anesthésie locale. L'anesthésie necessite de rester ensuite 5heures dans la chambre d'hopital à attendre, porte grande ouverte.
Il était dans une chambre seul, par chance. Bien sur, il est entierement nu sous la couverture, ce que mes mains baladeuses découvrent rapidement. Je commence à le caresser, et sa bite devient de plus en plus dure. En plus il ne pouvais que peu bouger donc il était tout à moi. La porte ne peut pas etre fermée à clef, mais on j'e l'ai fermée de facon à avoir un peu plus d'intimité. Avant que les infirmieres ne reviennent j'ai un moment. Je continue donc de le branler de plus en plus, jusqu'a ce qu'il ne tiennent plus et se penche un peu vers moi. Entre les barreaux du lit je peux alors prendre sa queue en bouche et le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche. Je remet vite fait les draps en places tandis que monsieur se remet de ses émotions. Les infirmieres reviennent quelques minutes plus tard, ni vu ni connu !
Comment rendre un aprem à l'hopital beaucoup plus interessant

Merci Malayka pour ce témoignage . En plus, ça prouve qu'il y a parfois de la bonne nourriture dans les hôpitaux