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Moi????

Oui.

Que veux-tu, j'aime les bonnes choses.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Suite de mes aventures avec des mecs de rencontre :

Ayant passé une annonce intitulée "Fist", j'ai eu une réponse d'un mec dominateur qui m'a proposé de me recevoir chez lui.

J'arrive avec la peur au ventre, il avait l'air très dur au téléphone et j'avoue que quand je rencontre un dominateur ou une domina, je redeviens un petit enfant terrifié à l'idée du traitement qu'on risque de m'infliger.

Il m'attend devant son immeuble, il est grand, costaud, l'air assez jovial mais nous sommes dehors avec du monde autour.

Nous nous serrons la main et après avoir monté deux étages, il me fait rentrer chez lui.

"Comment ça va ?" me demande-t-il.

"J'ai peur" je lui réponds pas très rassuré.

"Déshabille toi que je vois la marchandise"

Je me mets à poil, pour la commodité de la chose, je ne porte pas de slip ni de chaussettes mais il ne pipe pas mot.

"Mets-toi à quatre pattes"

Je m'exécute en prenant bien soin de cambrer mes fesses pour lui montrer ma chatte.

"Pas mal"

Il se déshabille à son tour et me présente sa queue, à peine dressée. Il a l'air propre, c'est déjà ça.

"Suce moi salope"

Je le prends en bouche et commence à le sucer. Sur son ordre je titille son gland avec la langue, il a l'air d'apprécier et me le dit.

"C'est bien, lèche moi les couilles à présent"

J'attaque ses couilles avec la langue, alternant léchouille et aspiration de ses boules. J'aime ça, lui aussi, tout va bien.

De temps en temps, je reprends sa queue en bouche, il appuie sur ma nuque afin de me pénétrer à fond mais je résiste car il me fait suffoquer ainsi.

Au bout d'un certain temps, il me dit :

"Lèche-moi le cul maintenant" et il s'agenouille sur une chaise tout en écartant bien ses fesses.

Il est propre, j'aime bouffer le cul, je le lèche donc, je pointe sa rosette et le pénètre, je lèche le pourtour, il ronronne de plaisir.

"Tu veux qu'on aille sur le lit ?"

J'acquiesce et il me conduit dans la chambre. Il s'assied sur le lit, s'allonge tout en écartant ses jambes, son trou du cul s'ouvre face à mes lèvres.

Je recommence à le déguster avec amour, il gémit et m'encourage à le fouiller profond.

Je le reprends en bouche et le suce vigoureusement. Sa queue qui était devenue dure au début, est redevenue flasque, je m'inquiète mais il a l'air d'apprécier mes caresses.

Tout d'un coup, il a un mouvement brusque et sa bite tape le fond de ma gorge, j'ai un haut le cœur et je m'arrache à son étreinte, limite vomissement. Je m'attendais à une réaction de sa part mais non, il me demande si ça va et n'insiste pas avec gorge profonde.

Je commence à me sentir en manque et lui demande de s'occuper de mon trou du cul. Il me dit :

"Mets toi à quatre pattes, je vais te goder"

Je me mets en levrette pendant qu'il sort un gode du tiroir et l'enduit de gel.

Sans attendre il attaque mon petit trou.

"Doucement, pas trop loin" Je lui dis.

Il ne répond pas et me rentre le gode dans le cul mais d'un geste lent. Je suis aux anges, la pénétration me remplit de bonheur. En plus il sait y faire, il fait des va et vient dans mon trou et tourne le gode en moi. Je gémis et l'encourage.

"Oh oui, c'est bon, je suis une salope, mets le moi bien, vas y"

Il m'insulte tout en me godant. D'un coup il s'arrête, le gode reste fiché en moi tandis qu'il me prend en photo.

"Sors un peu le gode de ton cul"

Re photo.

A présent c'est moi qui me gode devant lui tout en me branlant, il m'observe en prenant encore quelques photos.

"Tu en veux un plus gros ?"

"Oh oui"

Il fouille dans le tiroir et en sort un de près de 7,5cm de diamètre.

"Oh oui, mets le moi, vite !"

Il me le tend et je m'empale lentement dessus. C'est le nirvana, je roucoule de bonheur tout en me godant frénétiquement. Je suis bien dilaté, je me branle, j'en pisse tellement je pousse sur gode pour m'ouvrir à lui. Il rigole et me traite de pisseuse.

Il reprend des photos de moi, du gode dans mon cul, du gode presque sorti, etc....

Je sens que je n'arriverais pas à jouir, je lui dis. A regret, il me dit de retirer le gode. Je sens que je me vide dès qu'il sort de mes fesses et il me nettoie avec un mouchoir en papier. Je vais me laver les fesses et quand je reviens dans la chambre, il s'écrie :

"Alors à mon tour, tu vas me branler".

Il s'allonge sur le dos et j'empoigne sa queue. Je le branle d'abord doucement, puis de plus en plus vite mais il ne bande pas beaucoup.

Je me penche sur lui et lui suce son téton. Il aime cela et j'insiste, je le mordille, je le tète. Pendant ce temps, il a repoussé ma main et c'est lui qui s'astique à présent.

Je redouble d'ardeur sur son téton, je joue les nourrissons affamés, visiblement ça lui fait du bien car il me serre contre lui et je sens qu'il accélère le mouvement sur sa bite.

D'un coup, il pousse un cri et je vois du coin de l'œil qu'il a éjaculé sur son ventre.

Il me remercie et va se laver. J'en fais autant. Nous nous quittons sur la promesse de nous revoir bien vit

Lapsus révélateur?

Merci pour le partage de cette rencontre.

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Pas fait exprès mais l'esprit y est !!!

Nouvelle enculade hier matin avec mon amant habituel que je n'avais pas rencontré depuis près de deux mois.

Arrivé chez lui, je me déshabille sans attendre, ça va vite car comme à l'habitude quand je rencontre un mec, je ne porte aucun sous-vêtement. Quand je viens à moto, il m'arrive même d'être torse nu sous mon blouson. Ca m'excite et je pense que cela excite aussi mon partenaire.

Une fois nu, je le rejoins dans sa chambre où il m'attend, nu allongé sur le lit.

Je suis tellement en manque de lui que je me jette sur son corps, je me frotte à lui, partout, j'embrasse sa peau, je la lèche, je suce ses tétons, j'enfouis mon visage dans ses aisselles, je suis déchaîné, heureux, sa chaleur ajoute à mon excitation.

Bien vite, il me ramène aux choses sérieuses en me repoussant vers son bas-ventre.

Sa queue est déjà mi-dressée, le gland à demi-découvert. Je l'embouche et la suce voracement. Elle est bonne, chaude, je retrouve son odeur, je me régale.

Je lèche son membre, je le suce bien à fond limite haut le coeur, j'alterne avec ses couilles que je gobe entièrement. Je reviens à sa queue, à présent il bande dur et cela m'excite encore plus.

Je n'en peux plus et je lui fais savoir en gémissant :

"Prends-moi, prends-moi, j'ai trop envie de toi"

Il ne se le fait pas dire deux fois et me retourne à quatre pattes sur le lit.

Je cambre bien mes fesses, je suis salope et ça me plaît, je veux qu'il me pilonne et je lui dis.

Il me plante un doigt dans le cul et le remue. Je gémis :

"Mouille-moi s'il te plaît..."

Il saisit le flacon de gel et me tartine copieusement la raie, je grogne, la caresse me comble.

Il se positionne derrière moi, me saisit aux hanches et d'une poussée, rentre à fond en moi, ses couilles claquent contre mes fesses, il me possède complètement, c'est bon.

Très vite, il se met à me pilonner, visiblement il est en manque lui aussi et il me défonce le cul tout en me serrant bien avec ses mains.

Je l'encourage de la voix, je crie ma joie, il me claque les fesses en me traitant de salope, de pute, je suis aux anges.

IL accélère le rythme, je sens qu'il va jouir bientôt.

"Vas-y, fais toi du bien, crache ton jus en moi"

Il accélère encore puis je le sens se crisper au fond de mon ventre, ses mains serrent encore plus fort mes hanches, il crie lui aussi et se plaque violemment contre mes fesses : Il jouit en moi !

Il reste quelques instants en moi, je le remercie de m'avoir pris, puis il se retire et va se laver.

Je me lève à mon tour, vais dans la baignoire, mon cul se vide de ses secrétions sans que je puisse me retenir tant il m'a ouvert.

Pendant qu'il me possédait, je ne suis même pas touché une seule fois et à présent, je n'ai même pas envie de jouir. Je ne suis plus un mec, je deviens peu à peu une femelle qui se contente d'être prise par son mec et cette sensation, cette transformation mentale, ne sont pas pour me déplaire.

Vivement la prochaine fois.

D'autres voies à explorer.

Au plaisir de te lire encore.

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En fait, j'ai compris ce qui se passe à présent : Je ne jouis plus de la queue, je jouis du cul. Avant je ne savais pas trop ce que cela signifiait, j'assimilais "jouir du cul" à la jouissance qu'apporte le massage ou la stimulation de la prostate (avec doigt, queue ou gode). Mais comme je n'ai plus de prostate et que la jouissance que je ressens en me godant est encore plus forte que celle que je ressentais en me branlant, j'en déduis que je jouis du cul. Et c'est très bon.

Journée chargée aujourd’hui.

Le matin, comme chaque jour d’ailleurs, j’ai joué avec mon gode géant. Je me suis empalé dessus en m’imaginant que c’était un mec qui me prenait et j’ai joui du cul au bout de quelques minutes en hurlant de plaisir.

L’après-midi, comme j’avais entendu parler d’un sex-shop dans les environs, tenu par un gay, sex-shop équipé de cabines dans lesquelles on pouvait s’amuser, le cas échéant avec le patron, j’ai téléphoné et ai décidé de m’y rendre.

J’arrive, je me gare à proximité et rentre dans le magasin. Nous faisons connaissance, je lui demande carrément si on peut se distraire en cabine et il me répond que justement il y a deux types qui n’attendent certainement que cela.

Je rentre dans la cabine, en effet il y a deux types à l’intérieur, l’un plus âgé que moi, en dessous féminins et un autre monté comme un âne. Je leur dis que je suis essentiellement passif et leur demande s’ils veulent bien que je participe. Ils me répondent par l’affirmative.

Je me déshabille et nous rentrons tout de suite dans le vif du sujet.

Je suce le mec bien monté, avec peine car sa bite est très large, pendant que lui-même branle et suce le trav.

Je le suce et je lui gobe les couilles, tant et si bien qu’il se met à bander dur et déclenche en moi une envie irrésistible de me faire enculer.

Je lui dis, il se lève, me fais mettre à quatre pattes après avoir enfilé une capote, et m’encule sans plus attendre.

Sa queue est vraiment énorme (pour une queue) et il me ramone vigoureusement tandis que l’autre me tripote les tétons et le sexe..

Malheureusement, soit parce qu’il n’est pas assez excité, soit parce que ma chatte est déjà bien distendue après le traitement du matin, il n’arrive pas à se maintenir raide et sa queue ressort souvent de mon trou.

Il se branle, retire son cockring, se branle à nouveau mais rien n’y fait, à chaque nouvelle enculade, il débande peu à peu et ressort de mes fesses.

Nous sommes en pleine action lorsque la porte s’ouvre et rentre un grand noir, l’air jovial, qui demande lui aussi à participer.

Je lui demande s’il veut bien me prendre, il acquiesce, ferme derrière lui et se retrouve très vite avec pour seul vêtement, son slip déjà bien gonflé.

Moi qui ai souvent fantasmé sur les queues des blacks, je suis aux anges !

Je le caresse à travers le tissu, son engin n’est pas d’une taille extraordinaire mais par contre il est raide comme un bâton.

Je lui baisse le slip, lui enfile une capote et l’embouche sans plus attendre.

Je n’ai pas à trop le sucer, malheureusement, car il bande à l’horizontale et est prêt pour l’assaut.

Je me remets en levrette, il me tartine la raie avec du gel, me saisit par les hanches et me pénètre d’une poussée, ferme mais douce aussi.

Il me ramone mais il le fait avec une douceur que j’apprécie, me caressant le dos, les épaules, les fesses en même temps. Il ne me baise pas, il me fait l’amour et c’est très bon.

Cela dure un bon moment, je commence à fatiguer car il m’a fait me relever et il me prend debout, légèrement penché vers le mur.

Puis il sort de mes fesses et se branle à nouveau. Je sens que je vide un peu, en fait c’est le gel qui ressort mais cela me coupe toute envie, gêné car je pense que je suis sale des fesses.

Il me rassure, me reprend à nouveau mais le charme est rompu et je lui demande d’arrêter.

Je me nettoie les fesses, je me rhabille et lui donne mes coordonnées (mail et téléphone) ainsi qu’à mon premier baiseur puis je retourne à ma voiture.

Quelle journée, pour la première fois je me suis fait prendre tour à tour par deux mecs et je sens que je vais revoir bientôt mon black. Et je pense que cette fois ci, je vais me faire baiser comme une femelle tout en le câlinant pour qu'il jouisse bien en moi.

Des journées comme celle-ci, tu dois en redemander.

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Oui, la preuve, je compte retourner à ce sex-shop cet après-midi.

Un moment comique pendant la séance hier, mon premier baiseur était "équipé" d'un cockring latex très complet et très compliqué. A un moment, il s'est retiré de mon cul et à voulu le remplacer par un autre plus simple. S'en est suivi une scène à mourir de rire, les liens étaient tellement serrés et tortillés qu'il a mis près d'un quart d'heure à le retirer sous les regards amusés des spectateurs.

Je sais, c'est pas très charitable mais sur le moment nous avons appréciés le spectacle

Finalement je ne suis pas retourné au Nirvana cet après-midi, j'avais un rencart mais il a eu un empêchement au dernier moment. Mais la journée n'a pas été perdue car je suis allé chez un mec bi rencontré sur V.......t et qui habite par chance non loin de chez moi. Comme il est marié lui aussi, la discrétion est réciproque et c'est rassurant.

Après plusieurs échanges de mails, je suis donc allé chez lui cet après-midi, ce n'était pas prévu mais il m'a envoyé un courriel vers 14h : "Es tu dispo tout de suite ?"

Bien sûr que je l'étais, je suis toujours disponible pour me faire ramoner la chatte, je suis devenu une vraie nymphomane du cul.

J'arrive au rendez-vous, devant l'église ! Je me gare et je vois un mec en survêtement s'approcher de ma voiture. Il me fait signe et je le suis sur son parking.

Nous montons chez lui, il est tatoué de partout et a l'air sympa.

Je me mets à poil dès l'entrée franchie et il commence tout de suite à me tripoter le cul qu'il me dit trouver à son goût. La conversation part bien.

Il se déshabille à son tour et je me jette sur sa queue comme un affamé. Plus exactement, je lui gobe les couilles l'une après l'autre, chose qu'il semble apprécier. Puis je lèche sa queue déjà bien dressée en remontant peu à peu vers le gland. Il sent bon le propre et aussi le mâle. Je suis ravi.

J'embouche son membre, pas très gros mais d'une bonne longueur et commence mes va et vient le long de sa tige.

Il me demande de la prendre "à fond" pour voir puis je me remet à le pomper, tantôt vite, tantôt lentement. Je fais tourner son gland dans ma bouche, je lui titille la fente du méat, je la frotte contre la paroi de mes joues, bref le grand jeu.

Lorsque je le sens prêt prêt et plus que prêt, je lui demande , je le supplie de me prendre comme une chienne.

Il enfile une capote et je le reprend en bouche pour le refaire bander. C'est vite fait, il a l'air bien viril.

Une fois bandé à mort, je me mets en levrette, les fesses bien cambrées vers lui. Il s'agenouille derrière moi, m'écarte les jambes, crache sur ma rondelle et me doigte avec un puis deux doigts.

"Dis donc, t'as l'air bien dilaté" me lance-t-il....

Puis il recrache sur mon trou pour bien le préparer.

Enfin, moment tant attendu, il s'approche, je sens son gland frotter ma chatte et il me pénètre doucement mais d'une poussée. Ses couilles tapent mes fesses, c'est rentré comme dans du beurre. Il faut dire que je suis très dilaté et que j'avais copieusement salivé sur la capote. Ca plus son crachat et la pénétration n'est qu'une formalité.

A présent il me pilonne tout en me tenant bien par les hanches. Je l'encourage par mes cris et mes gémissements.

Ca ne dure malheureusement pas très longtemps, il m'avait avoué jouir en général assez vite. Je le sens se cabrer contre moi et pousser un cri, il vient de jouir en moi.

Je le remercie de m'avoir enculé, il se retire doucement et va jeter la capote usagée. De mon côté, je me nettoie la raie puis je me rhabille et rentre chez moi.

Une fois à la maison, je lui adresse un mail sans équivoque : "ENCORE !!!!"

Début de semaine chargée :

Lundi, je me suis rendu au Nirvana à Chelles. Dans la cabine, il y avait un type de 70 ans, je l'apprendrais à la fin, sympa, bien monté, qui me dit dès le départ qu'il est actif/passif mais qu'il souhaite seulement se branler en me regardant ou si on se caresse.

On se caresse donc tous les deux tendrement, je le suce, il me doigte, nous nous faisons du bien en regardant en plus une K7 de trav, dont un joli comme un coeur.

A un moment, comme je suis en manque de pénétration, je lui propose de me goder devant lui, il accepte avec enthousiasme. Je ventouse donc un gode sur un meuble, le lubrifie bien et m'empale dessus. Il apprécie et viens contre moi, m'embrasse, se frotte à moi, me caresse partout ; j'en fais autant, c'est vraiment bon.

A la fin, je m'étend sur le canapé devant lui, je me gode et il se branle au dessus de moi. Je l'invite à jouir sur mon ventre, il se caresse encore plus et finalement, il crache son jus sur moi. J'adore ça, et je lui dis.

Nous nous nettoyons et quittons les lieux après échange de nos âges (j'apprends donc qu'il a 70 ans !) et de nos prénoms.

Le lendemain, mardi, j'arrive en début d'après-midi. Comme j'interroge le patron, il me dit qu'il y a déjà du monde dans la cabine, dont un actif. Je frappe à la porte et j'entre.

En effet, il y a déjà deux types assis sur le canapé, le travesti que j'avais rencontré la semaine d'avant et un type baraqué, la soixantaine, en peignoir largement ouvert. Comme je lui demande s'il est actif, il m'invite à m'asseoir entre eux avec un sourire.

Nous regardons une K7 pendant quelques minutes sans rien faire, du moins moi car le type, Michel, commence à se caresser tandis que le trav, Alexandra, se tripote aussi la bite sans rien dire.

Je m'enhardis et commence à me caresser la raie. Michel apprécie et m'invite à le caresser. Je lui suce un peu un téton mais il m'interrompt et me fait asseoir à sa droite. Le Mâle est à présent entre ses deux femelles, je le comprends bien comme ça.

Alexandra et moi lui suçons les tétons, elle le branle doucement, moi je lui caresse les couilles et les cuisses. Ses grognements nous indiquent qu'il apprécie nos caresses.

D'un coup, il nous arrête et me fait signe de le prendre en bouche. Sa queue est déjà bien dressée, je lui lèche d'abord les couilles puis j'enfourne sa queue dans ma bouche et entreprends une pipe comme je sais les faire. Il me traite de gourmande et bande encore plus. Il gémit, se cabre en arrière, je lâche sa queue, ayant peur qu'il me jouisse dans la bouche. Il me rassure et je reprends ma pipe.

Je voudrais bien qu'il me prenne le cul, je lui dis, il sourit et me demande de lui enfiler une capote, ce que je fais volontiers.

Il me fait mettre à quatre pattes sur le divan et, m'empoignant aux hanches, il me pénètre. Je crie de plaisir, sa queue est large et j'adore ses mouvements. Il me pilonne puis se retire et à ma grande surprise, mais surtout mon grand plaisir, Alexandra prend le relais entre mes fesses. Certes elle bande moins dur mais ses va et vient sont quand même très agréable. En plus, me faire enculer par deux mecs différents, j'aurais mauvaise grâce à me plaindre.

L'enculade dure quelques minutes puis Michel me représente sa queue et je le suce à nouveau.

Ensuite, il m'encule à nouveau, bientôt suivi par Alexandra, je crie comme un perdu, les clients de la boutique, s'il y en a, doivent se régaler mais je m'en fous complètement.

Nouvel épisode de suçage des tétons, puis pipes par Alexandra et moi et re-enculade.

Je souffle un peu, il en profite pour sodomiser Alexandra et je dois dire qu'il la défonce plus qu'il ne la pénètre. Je regarde d'un air gourmand.

Après une nouvelle séance de sucettes, il me reprend par derrière, suivi par Alex.

Je commence à avoir le cul en feu, je prétexte un rendez-vous et me sauve.

Je sens que je vais devenir un client fidèle de cette boutique.

Allez chose promise, chose due et je tiens à le préciser : ce n'est pas un fantasme mais bien la réalité


Cet été, plage de Sète (celle derrière Sète quand on va vers bouzigues). on était sur la plage tous les deux, on se faisait bronzer tout en papotant de loin en loin, moitié endormis. Je sens qu'on me regarde (vous savez le genre de regards qui nous font chercher d’où ça vient) je vois un jeune homme, tout seul, qui me regarde avec insistance.

je le fixe à mon tour, après tout il ne s'en cache pas, et le voila qui se lève et viens vers nous. Il s'assoit à coté de nous et je vois du coin de l’œil l'amoureux sourire et se mordre la lèvre. Le jeune homme, pas froid aux yeux me dit : vous allez attraper des coups de soleil je peux vous mettre de la crème dans le dos (il m'a fait sourire, la drague de la plage par excellence).

J'ai dit oui, pourquoi pas et la il me dit ; mais votre mari ne vas pas me sauter dessus ? ce à quoi je réponds : non il n'aime pas les jeunes hommes ^^

enhardi, il tend la main et je lui donne mon flacon de crème, je me mets sur le ventre et le voila qui étale lentement de la crème sur mon dos, mes épaules frôlant mes seins au passage puis il descend et me fait les cuisses ne se gênant pas pour frôler entre mes cuisses. je tourne la tête vers mon mari et lui sourit, il me fait "oui" des yeux.

puis au bout de quelques minutes, le jeune homme me dit " j'ai envie de te lécher la chatte" !!! (à la jeunesse ça ne s'embarrasse pas de préambules). Je lui réponds : la tout de suite et lui de dire oui.

j'ai dit ok on y va, lui expliquant que nous avons un espace et que à l'arrière nous aurons toute la place que nous voudrons.

Nous voila partis tous les trois, mon mari lui disant qu'il regarderait que tout se passe bien.

Arrivés à la voiture, je suis montée à l'arrière avec lui et l'on a allongé les sièges, je me suis mise sur le dos et l'ai laissé prendre les choses en main. Il était devenu tout timide mais ne s'est pas démonté. il m'a embrassé sur la bouche puis embrassé la poitrine tout en commençant à me caresser au dessus de mon maillot, j'avoue que j'ai mouillé quasiment immédiatement.

Il est très vite arrivé la ou il voulait, je l'ai aidé à descendre mon maillot de bain 1 pièce et il m'a écarté les cuisses. Il a commencé timidement parle clitoris mais j'ai pris sa tête entre mes mains lui montrant qu'il devait descendre explorer plus bas, il ne s'est pas fait prier.

J'ai en fait très vite joui mais je lui ai demandé de continuer. Il n'a pas réussi a me faire jouir de nouveau mais il avait la langue très agile.

Nous ne l'avons pas revu par la suite.

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Ma liberté, c'est quand je veux, ou je veux avec qui je veux

Ah les gamins de maintenant
voilà qui a dû égailler l'après midi

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Il a eu raison de se désaltérer ce jeune homme. Avec le soleil et la chaleur.......

Vous bronziez nus?

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