Le titre est explicite, l'argument inexistant, et le récit purement factuel : il nous décrit une mégapartouze en deux parties. L'auteur a choisi de faire de ce texte un exercice de style et nous le sert à la façon des contes libertins du 18ème siècle. Mais n'est pas Alfred de Musset qui veux, et si l'auteur manie bien la langue et maîtrise plutôt bien les descriptions de ses fantasmes, il délaye beaucoup plus que raison ce récit interminable et sans surprise en s'empêtrant dans les conjugaisons de ses néologismes. Essai raté, dommage sans doute car cet auteur a du potentiel
Les chiens des Brooks par Le Marquis de Chair