vassilia.net

Les croustilleries de dimanche soir.

Pour ceux qui suivent un peu mes croustilleries, j'ai raconté ici une croustilleries du mois de juin. J'ai rencontré Nadine et son mari, et nous devions nous revoir, chose faite a une soirée multi-couples et quelques hommes seuls, tout le monde BI.
Je ne l'ai pas racontée dans les croustilleries désolé

Suite à cette soirée, je suis resté en contact avec plusieurs des couples, dont un avec lequel nous avions coquiné lors de la soirée. Visiblement il avait été timide au moment de me sodomiser et m'avait avoué qu'il en avait envie mais n'avait jamais franchi le pas... Ce couple ne peut pas recevoir, moi non plus, mais par l’intermédiaire du site échangiste que nous fréquentons, nous nous donnons régulièrement des nouvelles bien qu'aucune rencontre n'ait pu avoir lieu...

Dimanche après-midi, leur annonce disait "Cherchons 2 hommes bi" pour scenario. Très vite je les ai au téléphone, en fait, ils veulent recevoir avec Madame les yeux bandés et menottée. Je leur explique que je peux être un des 2, mais que je ne fais pas ce genre de plans avec un inconnu, que si ils y tiennent, je ne viendrai que si j'ai rdv avec le mec avant d'arriver chez eux et que je me réserve le droit de ou bien dire non au mec et venir tout seul ou bien ne pas y aller. Cela les fait un peu réfléchir, et même si le fantasme les excite, ils se disent qu'il vaut mieux quelqu'un qu'ils connaissent et en lequel ils aient confiance. Entre temps ils précisent aussi que bien que échangistes confirmés, ils sont totalement débutants mais veulent explorer tout ce qui est "jeux soft"...

Du coup, nous convenons, que je passe la soirée avec eux sans autre mec.
Je me rase, et prépare un sac de jouets très très ligth :
- Mon chaps
- quelques cordes mousquetons et menottes
- Volontairement je ne mets aucun martinet ou fouet
- Quelques pinces a linge
- Des morceaux de fourrure, dont une avec des piquants

J'arrive chez eux. Elle est menottée, mains derrière le dos et aveuglée par un bandeau.
Nous commençons pas boire un café (nous lui amenons la tasse aux lèvres), ils sont tout excités mais un peu impressionnés, je laisse la conversation s’éterniser avec quelques caresses sur ses cuisses : je sens qu'il ne faut surtout pas les brusquer.
Je propose de passer une corde dans un des poteaux de la mezzanine pour qu'elle soit debout avec les mains attachées (mais pas tendues) au dessus de sa tête. C'est volontairement que je la laisse habillée elle a une robe courte qui s'ouvre par devant avec des pressions, elle porte soutien-gorge et culotte. J'ouvre sa robe, défait le derrière de son soutien gorge pour lui découvrir les seins, mais elle a encore sa culotte, ses épaules et son dos couverts et le soutien gorge coincé entre le cou et les seins : ce n'est pas des plus sexys, mais je veux être très progressif. Je sors alors la fourrure, et de mes mains aidées de la fourrure, je parcours son corps sensuellement : Elle vibre
La tension érotique monte, je l'entretiens pas de longues caresses et des passages très légers de la fourrure.

C'est le moment de faire une pause : je la rhabille.
On boit un coup, fume une clope, je m'assure que tout va bien pour elle (et pour lui) et lui propose de retourner dans la position de bout : elle est partante, presque impatiente...
Au moment de lui rattacher les bras en l'air, je la débarrasse de sa robe et de son soutien gorge lui laissant sa culotte.
Elle est ravissante et sexy, clairement dans l'expectative, j'ai (presque) du mal à me retenir de lui arracher la culotte et de lui "sauter dessus" mais chaque chose en son temps, je crois qu'elle est dans une très bonne situation pour expérimenter.
Je sors quelques pinces à linge, le mari fait une grimace et me chuchote que quand il a essayé ce fut un fiasco... je sors aussi la fourrure piquante. Je lui rappelle que nous sommes tous là pour notre plaisir, que l'on va augmenter les sensations mais qu'elle DOIT me dire lorsque des sensations sont trop intenses ou non plaisantes... J'alterne les caresses de fourrure douce et de fourrure piquante, elle frissonne... Je commence à la fesser (pas vraiment une fessée en bonne et due forme, très très léger sur ses fesses). Je lui pose une pince a linge sur chaque seins à coté du téton, elle tressaille mais ne proteste pas, aucune alerte sur son langage corporel. Je continue l'alternance des caresses et du piquant, augmente un peu l’intensité des fessées, et finalement pose des pinces de l'autre cote de chaque téton. Je fais attention de ne pas laisser les pinces longtemps et déclare assez vite la pause suivante.

Elle reprends son souffle, déclare que tout va bien qu'elle veut continuer...
Retour dans la même position, je pose ma main gauche sur sa vulve a travers la culotte et commence ce qui peut commencer a s'apparenter a un début de fessée. A ce moment, je la sens vibrer et mouiller a travers la dentelle... Hummmm j'ai du trouver le point sensible !!!
Je décide alors et lui dit qu'elle a besoin d'une vraie fessée "sur le genoux" (je ne sais pas si c'est comme cela que l'on dit en français... je pense à l'anglais Over The Knee : OTK). Un peu de confusion pour la faire s’installer (elle est toujours aveuglée, ne m'as toujours pas vu) mais on arrive à trouver la bonne position, je lui laisse les mains libres et lui fait poser les genoux a terre pour qu'elle ait un certain confort. Là, commence un vraie fessée, elle vibre, elle réagis tellement bien que je vais plus loin en intensité que ce que j'avais prévu... ses fesses rosissent, les coups claquent
Pause : nous n'en sommes pas au point ou elle en a trop, et je ne veux surtout pas atteindre ce point... D'abord, ça gâcherait une bonne partie de l’expérience qu'elle vit, mais aussi, un peu de frustration ne fait pas de mal
En reprenant sa place assise, elle commence à se titiller le clitoris, je lui explique que ce n'est pas le moment et lui re menotte les mains dans le dos. Frustration hehehe

Sur la proposition du mari, nous passons dans la chambre, et surprise, il y a sur leur lit des sangles permettant d'immobiliser ses poignets et chevilles aux 4 coins du lit... En ayant pris soin de lui avoir enlevé la culotte, nous l'immobilisons sur le dos et commençons a nous occuper de ses seins et de son clitoris, je remarque qu'elle réagi très bien aux "gifles" sur la vulve et le clitoris, elle finit par se tordre de jouissance en tirant sur ces liens pendant que je claque son minou et que chacun d'un coté avec le mari, nous luttons ardemment pour contrarier les mouvements de fermeture de ses cuisses... Elle hurle sa jouissance et nous défaisons les liens. Elle enlève son bandeau et nous prends dans ses bras.
Nous prenons une longue pause.
Je leur demande si ils veulent continuer, ils sont partants... Je travaille lundi matin, mais la soirée est si agréable que je préviens Cruella que je rentrerai plus tard que prévu et nous retournons dans la chambre

Je ne vais pas continuer la description aussi précise, mais nous avons fait l'amour jusqu'à très tard avec plusieurs épisodes notables :
- A un moment, je demande si la sodomie est au menu : négatif. Elle est cependant si excitée et mouillée que je leur propose une double pénétration vaginale. Ils veulent bien essayer mais ne savent pas comment faire. Je m'allonge sur le dos, elle s'allonge sur moi sur le dos. Une fois que je suis en elle le mari n'a plus qu'à venir et tous les trois nous passons un super moment
- A un moment, la bite de Monsieur est à ma portée je me jette goulument dessus tout en continuant à besogner Madame. Il est tout dur et visiblement tout excité , je lui enfile une capote et sans que nous ayons besoin de nous parler, il vient me sodomiser pendant que je continues à besogner madame. Ce n'est pas ma première tentative, mais c'est la première fois que je conserve mon érection. Depuis le temps que je voulais que ça arrive, c'est aussi délicieux que ce que j'imaginais...
- Lors d'une pause il me fait part de son envie de me sodomiser sans que je sois occupé avec madame, ce que nous faisons pour no0otre plus grand plaisir à tous les deux, mais elle n'est pas en reste et le plaisir se lit dans ses yeux pendant qu'elle regarde son mari me sodomiser
- Ils ont fini par me faire éjaculer en me suçant tous les deux de concert.

Quelle soirée !!!!
Nous nous quittons en nous remerciant mutuellement pour tant de plaisirs partagés, pour tant de découvertes et premières expériences... Et nous promettons de remettre cela des que possible (Probablement seulement lors des prochaines vacances scolaires).
Petit PS : En en reparlant ensuite, les pinces à linge entre eux avaient été un fiasco car "par surprise" (sans prévenir et alors qu'elle était attachée et les yeux bandés) il lui avait mis des pinces directement sur le bout des tétons...

J'ai un copain qui lui aussi a été opéré de la prostate, et même si le terme est impropre, "les nerfs repoussent" et il a à nouveau des érections

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Dans mon cas, il n'y a plus de prostate donc plus de nerfs. Si je contracte mes sphincters, et que je tiens ma queue, je ne ressens pas la contraction avec la main, donc confirmation de l'absence de nerfs.

Côté positif, lorsque je me branle, j'arrive à avoir une petite érection, la queue s'allonge, atteint presque sa taille "d'avant", grossit en diamètre mais est peu rigide. Donc il doit y avoir quand même un nerf survivant.

Ceci dit, comme mon épouse est clitoridienne, que j'arrivais et arrive toujours à la faire jouir avec les mains ou la bouche, que je jouis preque à chaque fois que je me gode, que demande le peuple ?

Le copain en question n'a plus de prostate non plus, mais je n'ai aucune formation me permettant d'expliquer le pourquoi du comment

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

cs31, sacré soirée découverte. J'aimerais bien decouvrir ce genre de choses. En voyeur, prioritairement.

françoislave, le principal est que ton plaisir soit présent.

_________________
"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Nouvelle enculade chez mon mec de Meaux.

J'arrive chez lui tout excité car nous ne nous sommes pas vus depuis près de deux semaines et je suis en manque de queue, même si mes godes compensent en partie : rien ne vaut une belle queue, souple et chaude.

J'arrive donc et me déshabille immédiatement devant lui.

A son air et comme il reste habillé, je devine qu'il a préparé quelque chose de spécial.

En effet, comme je m'approche de lui pour l'embrasser, il me colle à lui et me crochette le petit trou avec ses doigts. J'aime beaucoup et me serre contre lui, levant une jambe pour enserrer la sienne et lui faisant pleins de bisous dans le cou.

Il me travaille le trou du cul à sec, c'est douloureux et en même temps très bon, je le serre plus fort dans mes bras et grogne des encouragements.

Puis il me fait mettre à genoux devant lui et dégage sa queue, déjà bien droite.

Je la lèche amoureusement, lui titillant le gland et l'orifice de l'urêtre, caresse toujours appréciée des mecs, moi y compris.

Ma langue descend vers ses couilles que je gobe complètement l'une après l'autre, puis je remonte et enfourne sa queue jusqu'au fond de ma gorge, limite suffocation.

Il me prend la tête dans ses mains et me maintient ainsi, la queue engloutie. J'adore.

Je commence à le sucer, alternant mouvements rapides et mouvements lents, je déguste sa queue comme une friandise, j'insiste sur son urètre, je lèche bien le gland, puis je fais un mouvement de rotation sur sa queue dans ma bouche.

Je suis aux anges, lui aussi, je me recule pour contempler le beau fruit, et aussi car j'ai un peu peur qu'il jute dans ma bouche. Il est clean mais je préfère éviter tout risque, même avec lui.

Il me rassure d'un regard et j'enfourne à nouveau sa bite, à présent dure comme la pierre et dressée à l'horizontale.

D'une poussée, il me fait mettre à quatre pattes et s'accroupit au dessus de moi. Ses doigts me pénètrent brutalement, toujours à sec, je gémis :

"Mouille moi s'il te plaît !"

Il retire ses doigts et les mouille puis me pénètre à nouveau, toujours brutalement, me faisant bien sentir ma condition de salope à sa disposition. En passant, il me claque vigoureusement les fesses. Vu son gabarit, je vous prie de croire que sa fessée n'a rien de d'anodine. Mais j'aime aussi.

Il m'écarte bien la rosette et de temps en temps me claque les fesses, toujours accroupi au dessus de mon dos.

D'un coup, il retire ses doigts et se déshabille.

Il enfile une capote et se place derrière moi. D'une poussée, il m"encule, toujours à sec.

"S'il te plaît, laisse-moi la sucer pour mouiller mon cul, tu me fais mal"

Rien n'y fait, il continue son quasi viol mais comme je mouille peu à peu du cul, la pénétration se fait moins douloureuse, et même me fait hurler de plaisir.

Il me prend comme jamais il ne m'avait pris, brutalement, me crochant les hanches avec ses mains, tapant violemment contre mes fesses lorsqu'il est bien à fond en moi.

J'accompagne à présent ses mouvements, me cambrant et plaquant mon cul contre son ventre.

Tout d'un coup, je sentais son plaisir monter, il donne un grand coup de reins et m'enfourne bien à fond en criant. Je comprend qu'il et en train de jouir dans mon ventre, je crie mon bonheur.

Il reste à présent immobile en moi, sa queue encore bien gonflée, et je lui caresse les cuisse pour le remercier.

Enfin il se retire et je reste quelques minutes à genoux, récupérant, offrant le spectacle d'une salope bien satisfaite par son mâle. Dommage qu'un autre mec ne rentre pas à ce moment là dans la pièce et n'investisse mon cul à son tour.

Je suis vraiment devenu un trou qu'on remplit à sa guise, une femelle perpétuellement en chaleur.

Et j'aime ça !

Mouais, à sec, limite viol, ça ne me branche pas des masses mais si tu as pris ton pied, c'est le pied

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

En fait ce n'était pas vraiment à sec car je mouille toujours un peu du cul. D'autre par il avait du quand même lécher ses doigts car sinon ce ne serait jamais entré aussi facilement. Enfin le viol était surtout dans ma tête, et c'est pour cela que ça m'a plu. Rassure-toi, j'ai un fantasme de viol mais certainement pas le désir de me faire violer réellement, forcer oui, violer non !

Une rencontre ou vous avez pris plaisir tous les deux. L'un en Dominant, l'autre en s'offrant. Peut-être une nouvelle orientation pour vos prochaines rencontres?

Allez, je vous écris nos croustilleries d'hier. Cela fait un moment que je ne me suis pas fait plaisir en écrivant ici.

Reveil vers 08h30, ma femme et moi avions la matinée pour nous. Je me réveille. Je suis sur le côté gauche, collé contre ma femme. La chaleur de son corps me plait. J'ai une érection matinale et une grosse envie d'elle. Mon bras posé par dessus elle, commence à chercher ses seins. A caresser sa cuisse. Je la sens sortir de son sommeil. Je passe ma main sur son sexe par derrière. Elle remonte sa jambe pour me faciliter l'accès. Elle sent ma queue bandée contre elle. Je la prends ainsi. Ma queue est sèche, mais pas sa grotte. Je l'entend gémir doucement à l'introduction de mon sexe et commence des va-et-viens doux, tranquille. Je tiens à pleine main son sein droit que je caresse ou presse gentiment.

Puis je lui demande d’écarter ses fesses pour qu'elle sente plus profondément ma pénétration. Mais cela me donne l'envie de venir m'occuper de son petit trou, maintenant découvert. Ma main quitte se sein doux et moelleux pour venir doucement, en caresse, jusqu'à sa corolle. Je la caresse en surface, mais celui-ci s'ouvre sous le plaisir. Ma première phalange le pénètre. Elle gémit encore. Me dit que c'est bon.

Je la pénètre plus profondément de mon doigt. Elle est prise par ses deux orifices. Je lui reparles d'un comparse pour une prochain jeux. Sous l'excitation, elle ne refuse pas. Elle me dit qu'elle a envie de jouir.

Je retire mon doigt et délaisse son œillet. Je veux changer de position. Seulement moi. Je me retrouve à genoux. Elle a maintenant une jambe droite et une repliée. Je la pénètre de nouveau. La position lui plait. Les sensations internes ont changées. Elle me le dit. J'aime quand elle parle pendant l'amour. Je suis très excité moi aussi. De l'entendre exprimer son plaisir. De ce que sa chatte fait "subir" à ma queue.

Elle veut jouir. Elle me demande si elle peut. Je ne peux que lui accorder, sentant que moi-même ne résisterais plus très longtemps. Et nous jouissons à l'unisson. Je sens ses contractions et les miennes. je suis planté au fond de son ventre. Je l'inonde.

Je ne peux pas rester plus longtemps dans cette position, mes bras me font mal. Et nous avons un rendez-vous en fin de matinée.

Nous rentrons vers midi, j'avais évoqué l'envie de me faire sucer pendant le chemin du retour. Ma Douce n'a pas oublié, pas plus que moi. Nous allons dans notre chambre. Elle ne souhaite pas se déshabiller et veut me faire plaisir. Je me mets nu, m'allonge sur notre lit. Elle viens se mettre à genoux sur ma gauche, me caresse. Moi qui voulais me sentir grossir dans sa bouche, s'est raté. Elle m'embouche le gland. Joue avec. Me suçotes, me têtes et passes sa langue sur ma hampe. Reviens sur mon gland. Elle prend plaisir à titiller mon frein. Ce traitement m'excite au plus haut point, mais rend mon gland assez sensible. Quand la "douleur" et le plaisir se mêlent. je lui dit. Elle est contente de son travail. Elle n'arrête pas son "travail" et descend sur mes couilles qu'elle prend dans sa bouche, les lèches. Son pouce fait des allers-retours sur mon anus. L'air de rien.

Elle se relève et demande que je lui offres mon cul. Elle vient m'embrasser et me dit qu'elle veut bouffer mon cul. J'installe un oreiller sous mes reins et relève mes jambes. Elle penches sa tête et rejoue avec sa langue. Comment peux-t-on se passer de cette caresse si jouissive. J'adore cela. Je sens sa langue passer sur ma corolle ou appuyer dessus. Je ma branle tant je suis excité. Puis je sens de nouveau un doigt se mêlant à sa caresse buccale. Quel pied je prends. Je lui demande d'enfoncer son doigt pour jouir. Elle ne se fait pas prier et elle en profite pour le remuer à l’intérieur. Sa langue continue à titiller le pourtour de mon anus. Je n'en peux plus et j'explose. Dans un râle étouffé. Ma Douce continuera avec sa langue et son doigt tout le temps de mon orgasme et ne s'arrêtera que quand elle me sentira me détendre. Que mes spasmes se soient calmés.

Elle se relève, constate l'importance de mon éjaculation sur mon ventre et ma main. Elle est contente, me le dit et vient m'embrasser goulument. Dans un mélange d'excitation chez elle et d'amour.

Quelle matinée. Je l'aime.

_________________
"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Nouvelle rencontre avec mon mec ce matin. Depuis notre dernière partie il y a près de quinze jours, j'étais terriblement en manque, autant dire que je n'ai pas traîné sur la route en allant chez lui.

J'arrive, je me déshabille et il m'entraîne sur le lit où il s'étend, nu, sur le dos.

Je me précipite sur lui et commence à l'embrasser partout, dans le cou, sur la bouche, sur la poitrine, sous les bras... je me frotte à lui en ronronnant, j'aime son odeur de mâle, je me sens très salope.

Je lui suce les tétons, il aime visiblement, je me frotte à son corps, pendant ce temps il commence à me doigter la rosette. Selon son habitude, il le fait à sec mais j'apprécie de plus en plus cette rudesse dans la pénétration. Après tout, c'est mon mâle et je suis sa femelle salope, à sa disposition.

Ma langue descend peu à peu vers son bas-ventre mais j'évite soigneusement sa queue, j'embrasse ses cuisses, ses couilles, le haut de sa raie, entre couilles et trou du cul, puis je remonte et lui lèche les couilles à petits coups de langue, comme on fait avec une glace.

Je remonte ensuite sur sa queue que je lappe à son tour, puis je lui taquine le gland du bout de la langue.

Enfin, d'une poussée, j'enfourne sa queue déjà bien dressée dans ma bouche, jusqu'aux couilles, m'étouffant presque avec.

Il me doigte régulièrement, toujours à sec mais comme je mouille du cul, fruit d'une grande habitude à me faire prendre, ses doigts glissent de mieux en mieux en moi. Je gémis de plus en plus fort tellement c'est bon, tout en lui administrant une sucette que je trouve succulente, lui aussi d'ailleurs.

D'un coup, il saisit un flacon de poppers et s'en administre un jet dans chaque narine. Il m'en propose mais je refuse.

Il mouille ses doigts et reprend son enculade, et moi ma pipe.

Comme je n'en peux plus d'attendre, je le supplie "baise-moi, baise-moi, je t'en prie, baise-moi".

Il se redresse, me soulève les fesses d'une main et de l'autre me badigeonne la raie de lubrifiant.

Ses doigts me pénètrent à nouveau puis il me fait mettre à quatre pattes, enfile une capote et se place derrière moi, entre mes jambes.

Il place sa queue contre ma rosette puis d'un mouvement brusque, me pénètre jusqu'à claquer son ventre contre mes fesses. Je hurle de plaisir et l'encourage.

Il commence à me besogner, alternant poussées rapides et mouvements plus lents, je suis aux anges, je crie mon plaisir et lui lance des mots d'amour.

Tout d'un coup, il se retire et quitte la pièce, je m'étonne pensant qu'il a joui bien que je n'ai rien senti de particulier.

Bien vite il revient en tenant un gode de belle taille dans sa main.

Il me rebadigeonne le petit trou de lubrifiant et introduit le gode sur toute sa longueur dans mes fesses.

Après quelques va-et-vient entre mes fesses, il se replace entre mes jambes et commence à me sodomiser tout en laissant le gode en moi. Chic, une doublette, j'en avais vu sur Internet mais jamais on ne m'avait fait goûter à ce plaisir que je recommande.

Sa queue rentre facilement le long du gode, je suis bien ouvert et, après une courte pause, il recommence à me sodomiser tout en tenant le gode fermement dans mon cul.

La sensation est divine, le fait de sentir sa queue aller et venir en moi ajoutée à la dilatation totale causée par les deux "queues" en moi.

Il me fait mettre sur le ventre, à plat sur le lit, et continue à me baiser, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je hurle à présent de plaisir et l'encourage à me bourrer encore plus fort.

D'un mouvement, il me fait me redresser à quatre pattes et il jouit en se plaquant brutalement contre mes fesses.

Après quelques secondes où il reste immobile en moi, il se retire et va se laver.

Je retire le gode de mes fesses et vais me laver à mon tour.

Puis nous nous séparons, repus et satisfaits tous les deux, dans l'attente de la prochaine rencontre.

Eh bien, il y en a qui ne s'ennuient pas

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Je ne me plains pas.....

.... le preuve, ce matin, coup de fil d'un gars répondant à une de mes annonces sur Internet : rdv pris à l'heure du repas.

Je me rends chez lui et sitôt arrivé, il me fait asseoir sur son canapé et commence à déboutonner sa braguette.

Je lui propose de me mettre à poil pour être plus à l'aise, il acquiesce et je me déshabille devant lui.

Une fois nu, je m'assied sur le canapé, il vient se placer en face de moi et baisse son pantalon puis son slip.

Sa queue n'est pas énorme mais qu'à cela ne tienne.....

Je commence par lui lécher les couilles à petits coups de langue puis je remonte le long de la hampe, puis je termine par un léchage délicat de l'entrée de son prépuce.

Je le prends en bouche et commence à le sucer.

Très vite, je sens sa queue durcir dans ma bouche, j'alterne mouvements rapides et mouvements lents, suçottements du gland et rotation autour de son membre.

"suce moi les couilles !"

Je m'exécute immédiatement, c'est une chose que j'aime bien faire. Je lèche ses couilles, je les gobe l'une après l'autre, c'est aussi une de mes caresses préférées. Lors d'une rencontre avec un autre mec, je m'étais "contenté" de lui gober les couilles longuement pendant qu'il se branlait et cela l'avait conduit à une éjaculation super, dixit ses propres termes.

Je gobe donc ses deux globes, je reviens à sa queue, la reprend en bouche, le pompe avec vigueur.

"Caresse-moi les couilles en même temps !"

Je lui prend les couilles dans ma main, comme je les ai copieusement sucées, elles sont bien mouillées et glisent bien entre mes doigts.

Il durcit de plus en plus entre mes lèvres, pourvu qu'il se retiene et ne jute pas dans ma bouche....

Je ne tiens plus en place :

"Baise moi, s'il te plaît, baise-moi !" je lui lance.

"D'accord" répond-il.

Il enfile une capote sur sa queue et me la présente :

"Suce là un peu !"

Je m'exécute puis il me tend un tube de lubrifiant.

"Prépare-toi !"

Je m'enduis le rou du cul de lubrifiant, insistant même un peu à l'intérieur, puis il en verse un peu aussi sur le bout de la capote.

Je me mets à quatre pattes sur le canapé et il se place contre mes fesses.*

D'une poussée, il me pénètre, sa queue n'est pas très grosse mais je la sens bien. En plus, comme je ne suis pas fait baiser depuis vendredi dernier, je suis en manque et même un doigt me satisferait...

Il m'encule donc et se met à m'enfiler en rythme, ponctuant ses mouvements d'une bonne claque sur les fesses.

Je suis aux anges, je suis vraiment devenu ce qu'on appelle un enculé de première et j'en suis fier, j'aimerais le crier devant les gens. Mais on verra plus tard !

Il m'encule donc et au bout de quelques minutes, me demande :

"Tu veux bien que je jouisse dans ta bouche ?"

"non, pas question"

"Dans ta main ?"

"Oui, pas de problème, j'aime ça".

Il me besogne encore un peu puis se retire.

Je me mets à genoux devant lui pendant qu'il se branle, capote toujours en place.

Puis il la retire et se branle à nouveau tandis que je place une main devant lui tout en lui caressant les couilles de l'autre.

Il jute enfin au creux de ma main, pas énormément mais c'est bon car chaud sur la peau.

Je vais me laver les mains, me rhabille et nous nous quittons.

J'espère le revoir car je sens qu'il s'est un peu retenu cette première fois et la claque qu'il m'a donné sur les fesses est très prometteuse pour l'avenir.

Nouvelle rencontre ce midi avec un mec rencontré sur un site de motards gays.

Dans ses premiers messages, il me révèle son penchant pour le cuir et son désir de me voir venir habillé totalement en cuir.

Rendez-vous ayant été pris dans un petit hôtel proche de on bureau, j'arrive, tout de cuir vêtu.

Arrivé dans la chambre, je me trouve nez-à-nez avec un beau gaillard de près de deux mètres. Pourvu que sa queue soit en proportion....

Je retire immédiatement mon blouson sous lequel je ne porte rien, après tout c'est moi la femelle. D'ailleurs je suis nu aussi sous mon pantalon, il me l'avait demandé et j'adore me balader à poil sous mes vêtements de moto. C'est excitant quand j'arrive chez un mec de se trouver nu d'un simple geste, ça lui montre ainsi que je suis une belle salope et en plus, c'est pratique pour se rhabiller.

Tout de suite il me plaque contre lui et nous nous roulons des patins bien baveux, il embrasse divinement et ça m'excite.

Aussi le fait que pendant que nous nous embrassons, il me tripote la raie avec sa main et finit par me pénétrer avec un doigt.

Devant mes gémissements, il me demande de mettre une sourdine :

"Fais gaffe, les murs ne sont pas très épais !"

Je baisse donc d'un ton mais lui continue à me doigter.

Je me serre dans ses bras, tout en l'embrassant à bouche que veux tu et je tâtonne d'une main vers sa braguette.

Bigre il y a un gros matériel là-dedans, je commence à mouiller du cul rien que d'y penser.

Il me fait mettre légèrement accroupi contre le lit et se plaçant derrière moi, il se frotte contre mes fesses, c'est délicieux, je sens sa queue qui commence à grossir contre ma raie.

Je le supplie :

"Baise-moi, s'il te plaît, j'ai trop envie"

Il continue ses frottements puis me dit de me mettre complètement nu.

Je retire mes bottes, mes chaussettes et mon pantalon, je suis à présent nu comme un vers devant mon mâle qui lui, reste habillé.

Il me penche en avant les bras appuyés sur le lit et recommence à se frotter contre mon cul. Sa queue est à présent très dure, je la sens bien à travers son cuir.

Il prend du lubrifiant et m'en enduit le trou du cul.

Puis je sens quelque chose de dur contre ma rosette.

"Mets une capote s'il te plaît"

"Ne t'inquiète pas, c'est juste un gode".

Et il me le met sous le nez.

Je le suce copieusement, pour lui montrer mes talents de pipeuse.

Il le présente à nouveau à l'entrée de mes fesses puis l'introduit doucement.

J'ai du mal à contrôler mes gémissements tellement j'apprécie de me faire mettre.

Après quelques va-et-vient, il me le présente à nouveau sous le nez et je l'enfourne dans ma bouche pour le nettoyer, car, ainsi qu'il me le précise d'un ton faussement fâché, je suis une "grosse sale des fesses".

Une fois le gode nettoyé par ma langue, il le pose, baisse sa nraguette et je me retrouve avec sa bite devant la bouche.

Dieu qu'elle est grosse, il m'avait prévenu mais la réalité est encore plus belle. Non circoncis, son membre bien dressé tient juste dans ma main.

Je l'enfourne entre mes lèvres et entreprend de le sucer avec amour. Et il grossit encore, ça promet pour la suite.

Une fois sa queue bien dure, j'arrête mes suçons et il enfile une capote.

Je le suce à nouveau puis je me mets à quatre pattes sur le lit, il se place derrière moi, et enfin il m'encule doucement mais bien à fond.

Commence alors une chevauchée qui dure près de dix minutes, il est apparemment long à venir mais moi je ne vais pas m'en plaindre, une enculade qui dure comme ça, j'en rencontre rarement.

De temps en temps, il décule puis me reprend à nouveau, toujours avec douceur mais sa queue est si grosse que les sensations sont à chaque fois extraordinaires. Et pourtant en matière d'enculades, je commence à en connaître un rayon.

A la fin, je sens qu'il est proche de la jouissance, je l'encourage de la voix encore plus, il se plaque contre mes fesses tout en me tripotant les tétons et enfin il jouit en moi.

Il se retire, jette la capote, sa queue est encore bien dressée....Faudra que le l'essaye à nouveau celle là !

Je me lave le petit trou, me rhabille et après un dernier baiser, nous nous séparons.

J'ai le petit trou tout endolori mais c'est super bon !

Hier soir, mon épouse me dis qu'elle veut un câlin et plus si affinité.

Je me couche donc et commence à l’enlacer tendrement. Très vite, mes mains se dirigent vers ses seins que je caresse doucement, tournant un peu autour du pot ; je continue en les massant et en les remontant bien jusqu'à étirement de la peau (c'est un massage qu'elle adore). Elle commence à s'exciter, je commence alors à lui lécher les tétons, tout en continuant mon massage. Je sens que c'est parti car elle caresse mon sexe et me masturbe. Mais sa respiration ne se fait pas encore plus forte, alors je descends

Petits bisous tout en tombant jusqu'à ses cuisses, puis je remonte pour finir sur un bisou bloqué sur sa vulve. Ma langue démarre alors son long et langoureux travail de stimulation. Je débute par les lèvres que je parcours de toute leur longueur puis rentre en restant sur la partie haute du clito. J'adore lécher le creux qui se forme sur les côtés du clito. Elle change alors de position (elle était allongée sur le dos) pour pouvoir me donner la pareille et me sucer doucement et profondément.

Je change alors de cap et me concentre alors sur son vagin, ou plutôt son entrée, car je connais la zone exacte où mes léchouilles lui font prendre son pied. Elle commence à bouger les hanches frénétiquement, c'est bon signe, d'autant que moi aussi je me mets aux va-et-vient tant sa gâterie est délicieuse. Encore des préliminaires qui vont durer je me dis.

On continue comme ça un moment, puis je me décide à tenter la porte de derrière. Jusque là, j'ai pu la sodomiser de temps en temps, mais pas souvent, lui caresser la rondelle et lui mettre un doigt, mais rarement. Je commence à lui caresser la petit trou tout en écartant ses fesses généreuses. Comme nous sommes dans la pénombre et en 69, j'ai une vue imprenable sur la zone ce qui m'excite encore plus et me donne envie de lui bouffer le cul - mais comment va-t-elle réagir ? Ça m'embête de tenter, mais si je lui demande, je me dis que ce sera pire et cassera le moment.

Je me décide, j'attaque des léchouilles à la limite de la vulve, entre son sexe et son anus, car ça je l'ai déjà expérimenté et elle aime. Légère odeur d'arrière-train, mais vraiment très léger, ça sent le propre (sans être nettoyé en profondeur). Et là, à mon grand étonnement, c'est elle qui courbe ses reins pour rapprocher ma bouche de son orifice. En même temps elle profite de mon excitation et de mes mouvements de queue pour me faire une gorge profonde (ce que j'aime à ce niveau, ce n'est pas tant l'enfouissement que la sensation de ses lèvres bas sur ma hampe). Je n'en peux plus et tente une léchouille directement sur son anus - j'entends un râle qui en dit long - je continue et donne de la vivacité au bout de ma langue au centre de ses plis : un petit creux se forme et je suis aux anges !

Je passe un doigt que je tournicote pour lui stimuler les chairs et reprends mon travail buccal de plus belle. Ma langue arrive désormais à rentrer un peu et je sens qu'elle aime. Je lui dis donc "mais tu aimes vraiment ça !!". Je n'aurai pour seule réponse qu'une de ses mains qui vient écarter une fesse - le message est clair. Je lui passe un doigt, puis deux, c'est humide, je connais cette sensation et elle doit apprécier.

Puis je tente deux doigts mais un de chaque main, pour lui ouvrir le trou un peu plus. Ça se dilate assez rapidement et bientôt j'arrive à deux doigts de chaque main, mais sans aller trop loin. Je finis par faire glisser mes doigts hors de son trou mais sans lâcher ses fesses, gardant l'orifice ouvert, et j’introduis ma langue sur ses chairs douces et humides. A ce moment, je crois qu'elle a jouit, alors que ça fait un moment que je n'ai pas touché sa chatte.

Quand elle reprend ses esprit et recommence sa besogne, je repasse aux léchouilles classiques tout en lui introduisant un doigt dans le cul. On se termine avec un coït assez rapide, après un peu plus de 2h30.

Il y a 1 an, ma femme tiquait à l'idée même de me sucer. Puis elle a commencé à se libérer sexuellement, partiellement, petit à petit, mais elle allait dans le bon sens (il y a eu un élément déclencheur, peut-être que j'en parlerai un jour). Connaissant son passé et sa relation avec le sexe, j'ai toujours respecté cette retenue, mais j'avoue que j'étais parfois frustré - j'ai toujours fait tout mon possible pour le cacher, afin qu'elle ne se sente pas coupable. Par ailleurs, on n'a jamais vraiment parlé de sexe ensemble, fonctionnant plus avec les réactions. C'est pas ce qu'il y a de mieux, mais c'est comme ça qu'on le gère pour le moment.

Cette nuit, ma tendre a passé un autre étape, et a même commencé à oser laisser traîner un doigt autour de ma rondelle... J'espère que cet essai sera transformé ce soir. Si je vous dis que j'ai hâte à ce soir, vous êtes étonnés ?