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Après plusieurs semaines sans pouvoir me connecter sur Vassilia, l’ainée des petits enfants sait lire maintenant, j’ai découvert ce récit, un des rares n’ayant pas (encore) le critère bisexe.

Oh, rien de neuf, une histoire mille fois déjà écrite, mais justement, je l’ai lu sans avoir envie de sauter des lignes, ce qui prouve que j’ai pris du plaisir à lire. Sur le fond, j’ai toujours du mal avec la servitude absolue et permanente, mais j’ai pris le parti de considérer qu’il ne s’agit uniquement que d’un fantasme et que, comme tout fantasme, il va aux extrêmes.

Toujours est-il que j’ai lu les chapitres 1 et 2 dans la foulée. J’imagine les développements des 5 derniers chapitres et les attends avec impatience.

Si je devais lui mettre une note, je pense que je mettrais un 15.

Ma Princesse et moi…: 2 - Chapitre 8 : De Mercredi à Samedi par Slavio 63

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Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

je suis en retard sur mes lectures, et celle-ci fait partie de ce que j'ai à lire, mais le fait que tu en parles me dit que ça vaut le déplacement, je m'en vais combler mon inculture et je vous mettrai mon appréciation dans la foulée

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

J’apprécie de plus en plus cette série. Elle me rappelle les livres de Marika Moreski dont j’étais un lecteur assidu dans les années 70. Même style, et surtout même thèmes. J’ai même l’impression qu’elle a reprit l’écriture sauf qu’elle, elle écrivait à la troisième personne et ici Slavio utilise la 1ere personne du singulier.

Je lisais ces livres surtout pour les passages uro qui me mettaient dans tous mes états.

Les excès de la soumission racontés rendent paradoxalement les histoires plus bandantes dans la mesure ou ils décrivent des actes humainement impossibles. Il s’agit surtout de prouver la fascination absolue d’un homme envers une femme, un peu comme Jacques Brel avec ses perles de pluie venant d’un pays où il ne pleut pas.

Ma princesse et moi… 3 - Chapitre 8 (suite) : Dimanche

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Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.

C'est un peu longuet, et puis cette manie, de mettre en Noms Propres, les Seins, les Fesses, les Cuisses....
Mais il y a des passages pas mal.
La question est : Puisque la charte ne tolère pas la domination permanente, en est-ce ? Où bien est-ce une exception qui confirme la règle
J'ai voté moyen :coi:

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Certes
C'est en fait le ton qui change tout ! On est quand même assez loin du ton morgue adopté par la plupart des narrateurs de domination permanente... Et puis le narrateur n'est lié par aucun "contrat", cette situation il la veut bien, étant amoureux fou de sa nana (laquelle ne se conduit pas comme les "maîtresses de caricatures" de ce genre de récits)
En fait c'est une relation atypique, on est pas loin de la domination permanente, mais ça n'en a pas les dérives (notamment du point de vu narratif).

Peut-être d'ailleurs que je me plante, mais c'est comme ça que je l'ai ressenti, d'autant que pour publier un récit, je ne peux me contenter d'une lecture en diagonale, mais que je suis "obligé" de lire "au raz des mots"

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.