Hier soir, ma femme va se coucher. Je la rejoins au plus vite avant qu'elle ne s'endorme. Je la prend dans mes bras pour la retourner vers moi et nous nous embrassons. Elle a gardé son boxer rouge en dentelle sous sa nuisette.
Je me met à genoux entre ses cuisses, les relèvent et commence à le lui retirer. Mais je m'arrête, tant cette vue sur sa chatte découverte, ses cuisses serrées sur mes bras et ce morceau de tissus au milieu m'excite.
Je bande déjà et n'est aucune difficultés à pénétrer ce sexe que je connais si bien. Les genoux m'empêchent de me pencher pour devorer la bouche de Ma Douce. Mais je ne veux pas changer de position tout de suite. Je fais des allers-retours assez lents. Lui faisant profiter de la longueur de ma queue. Elle ne peux pas remuer le bassin. Je glisse ma main sous ma queue pour permettre à un doigt de lui visiter le cul. Je ne peux plus bouger beaucoup, mais elle apprecie cette intrusion. Je lui parles avec des mots osés, crus. Je lui fait répéter certains.
Son excitation est monté avec cette "double" pénétration. Sentir mon doigt toucher ma queue a travers cette fine séparation la fait gémir.
Je retire mon doigt et m'allonge sur elle. Elle ne peux pas ecarter ses jambes à cause du boxer. Je me couche sur elle et reprend mes mouvements d'une manière plus rapide, voir plus violentes à un moment donné. Elle me lèche les lèvres avec sa langue. Nous nous embrassons goulument. Elle râle son plaisir d'être baisé comme cela.
Elle me prévient qu'elle va jouir, alors j'arrête tout pensant qu'elle va se plaindre de ne pas l'avoir laissé jouir. Mais la coquine a passé le point de non retour et se déhanche tant qu'elle peut pour aller chercher son orgasme. Ce qui a pour effet de me faire craquer et je reprend mes coups de boutoirs pour me vider en elle.
Nous restons l'un sur l'autre, sans bouger, pendant quelques minutes. Puis je me redresse pour qu'elle puisse respirer un peu mieux.
Je me recouche à ses côté. Nous nous embrassons de nouveau et elle s'endort quelques minutes seulement après sa jouissance.
Que ce fut bon.