Citation :
Fany chez l'un de ses "amants", fétiche du vinyl
et de sa sissy docile et bien préparée.
Je ne suis moi-même pas fétichiste du vinyl, mais j'ai eu un employeur très accro à cette matière. il me faisait jouer le rôle de soubrette lors de ses soirées dans son club. J'étais payée pour mon travail. Je servais les boissons et je l'assistais lorsqu'il faisait une démonstration sur une soumise ou un soumis, accrochés à une croix de St-André.
c'était des soirées très excitantes, mais j'avais vite trop chaud dans ma tenue. J'allais donc de temps en temps prendre l'air par l'entrée de service, située à l'arrière du bâtiment. C'était une zone industrielle et il n'y passait pas grand monde, sauf une fois.
Une bagnole de flic s'est pointée et s'est arrêtée devant moi et je n'ai pas eu le temps de rentrer.
Ma tenue n'était pas adéquate pour l'extérieur, je pouvais être amendée. Le club était légal, mais les flics ont demandé à voir mon patron, à qui ils ont déclaré qu'ils devaient m'emmener pour un contrôle d'identité.
Il y avait dans la zone industrielle un poste de police, mais qui n'était occupé que la journée. On est entrés et l'un des flics a allumé l'ordinateur. Je flippais complètement, même si une part de moi me disait que c'était un coup monté.
Ils m'ont interrogée assez durement, me faisant avouer tout ce que je faisais. J'étais étudiant, mais j'avais de nombreux amants et ils m'ont fait avouer que je me prostituais. J'avais tout juste l'âge légal pour ça.
Le flic à l'ordi a imprimé un protocole de l'interrogatoire, que j'ai signé après l'avoir lu. Lorsque j'ai relevé la tête, les deux flics avaient sorti leur queue de leur pantalon. J'ai compris ce que je devais faire. Je les ai sucés et ils m'ont enculée sur le bureau du poste de police.
Ensuite, ils m'ont ramenée chez mes parents, tout étonnés de me voir dans cette tenue, y compris la cage de chasteté, dont personne n'avait la clé. Il était trop tard pour me libérer, alors je l'ai gardée pour la nuit.
Le lendemain, ma mère m'a accompagné chez le patron du club. Nous avons rendu la tenue en vinyle, mais il a donné les clés de ma cage à ma mère, qui a été ravie.
Ma mère est ainsi devenue ma gardienne des clés!
Le lundi suivant, j'ai reçu une convocation pour aller légaliser mon statut de prostitué au commissariat. Ma mère m'y a accompagné. Je portais toujours ma cage et j'étais habillé de manière très efféminée.
Une fois les papiers remplis et signés, j'étais officiellement une pute. Je devais me présenter régulièrement au commissariat et me faire contrôler régulièrement pour les éventuelles MST.