Citation :
La vision de fany se faisant baiser par l'un de ses cousins
ou encore avec deux potes blacks.
Cela me rappelle un souvenir très excitant. A la rentrée, la tradition voulait que le prof de français nous fasse écrire une page sur nos vacances.
Moi je les avait passés à travailler dans l'épicerie du quartier. Mon patron était arabe - aucun racisme ici - assez autoritaire. Jeune blanc d'un milieu favorisé, je n'étais pas le candidat idéal, mais ma mère savait se montrer persuasive et forcer la main des gens qu'elle considérait comme inférieurs socialement. Bref, elle traitait les gens comme de la merde.
Mes premiers jours de travail ont été dur, parce que mon patron se vengeait sur moi de la manière dont ma mère l'avait traité. Il aboyait les ordres, me reprochait des fautes souvent imaginaires, etc.
J'encaissais tout cela sans broncher, avec un "oui Monsieur" et une petite courbette. Je me montrais efficace avec les clients, même les plus exigeants et il a bien dû reconnaître mes qualités.
un soir, juste après la fermeture de l'épicerie, il m'a demandé d'aller ranger des caisses de boissons dans l'arrière-boutique. Je pensais l'avoir déjà fait, mais lorsque je me suis retourné pour le lui dire, il avait sorti sa queue de son pantalon et il se masturbait énergiquement. "Tu vas devoir commencer à me sucer", m'a-t-il dit d'un ton sans réplique.
"Oui Monsieur", ais-je dit en m'agenouillant devant lui. J'ai englouti sa grosse bite sans hésitation et lui a fait une belle fellation très gourmande, avalant son sperme jusqu'à la dernière goutte. Il a été impressionné et m'a félicité pour mes compétences de suceuse.
"Je suis votre employé, Monsieur, c'est tout-à-fait normal".
Il a donc commencé à me baiser régulièrement les jours suivants. J'aimais beaucoup me faire sodomiser par lui. Il me défonçait comme une bonne chienne.
Un jour, un client africain est arrivé, la trentaine. Il était pressé et a demandé si je pouvais livrer sa commande. Mon patron a accepté et je lui ai dit: "Vous êtes conscient que c'est un prétexte, Monsieur?" "Oui, absolument, a-t-il répondu. Je vais te baiser avant que tu n'ailles faire cette livraison, comme ça tu seras bien prête".
J'étais vraiment en chaleur quand j'ai sonné à l'adresse indiquée. Mon patron m'avait baisée juste assez pour me chauffer, mais je n'avais pas eu le droit de jouir.
Je suis entrée et j'ai déposé les sacs dans la cuisine. Je suis ensuite entrée dans le salon où trois autres africains m'attendaient. Ils m'ont déshabillée, giflée, fessée, attachée. Je les ai pris en gorge profonde et ils m'ont enculée avec leurs énormes queues, sans ménagement. J'ai joui comme jamais.
Ils ont payé les courses et m'ont donné une enveloppe bien garnie pour mes services. C'était mon premier salaire de pute.
Je suis ensuite rentrée à la maison, en retard. Ma voix était rauque d'avoir été défoncée par leurs grosses bites. Ma mère a tout de suite compris et elle a beaucoup ri. Il faut dire qu'elle adorait par-dessus tout m'humilier et me rabaisser.
J'ai raconté cette histoire dans le texte exigé par le prof de français. J'ai eu 20/20 et les félicitations de mon prof. Il m'a gardé quelques instants après le cours et m'a dit qu'il allait montrer mon texte à plusieurs de ses collègues et au directeur. J'étais alors dans un lycée catholique et la majorité des profs étaient des prêtres.
Bien entendu, mon prof m'a baisée, de même que tous les collègues auxquels il avait montré ma rédaction. Ils me payaient bien entendu pour cela et ils avaient aménagé une pièce discrète où j'allais faire la pute après les cours.