En parallèle, mon anus palpitait toujours. Je le décorais avec un beau plug et je m'offrais de belles balades à Montmartre sur la butte, aux sex shops et bien sûr en soirée.
Un soir, Valentine me demande pourquoi je pars aux toilettes comme ça. Je lui réponds que je joue avec moi-même, que je teste mes limites et que peut être je jouirai plus tard.
Elle fut étonnée, mais ne comprenait pas bien. Je lui demandais d'attendre mon retour et que je lui montrerais. Un aller retour aux toilettes et un lavage discret au lavabo, je lui dévoilais le plug que je portais. Ses yeux s'écarquillèrent et elle me dit que j'étais vraiment fou dans un rire que je pris pour complice.
On en restait là pendant un certain temps. La situation était stable et maitrisée.
C'est l'arrivée de certains produits illicites qui firent s'accélérer les évènements.
Les amis de Corinne me firent découvrir un produit qui avait pour effet sur moi de me désinhiber très fort. La première fois, en plein bar, ces amis me firent tester et on est rentré tôt, elle était fatiguée.
Alors qu'elle s'endormait, j'avais le coeur qui tapait fort, impossible de fermer l'oeil. Je quittais le lit pour fumer une cigarette. Rien, impossible de redescendre, de me calmer. Un petit tour aux toilettes pour un besoin naturel et je tombe sur son pinceau à maquillage très large et j'y vois un sex toy de substitution. Sur le canapé, je m'adonne à une séance de masturbation uniquement anal, ma bite ne connaitra pas mes doigts ce soir là. Mon cul serait le seul à profiter de mes élans. Je restais dans le silence à faire aller et venir le pinceau entre mes fesses, quand elle m'appela... Je rentrais dans la chambre, nu, avec le sextoy en moi, pour lui expliquer que je ne trouvais pas le sommeil. Ca la fit sourire et elle sen rendormit sans se rendre compte de quoi que ce soit. Encore une fois, l'idée de jouer avec mon cul sans que mon entourage ne le sache m'enchantait.
Une autre fois, on finit à 5 ou 6 chez moi et la nuit se termina tard avec mes amis proches qui dormaient où ils pouvaient dans mon studio. Je m'étais ouvert à eux et leur avait déclaré ma passion pour les dessous. J'avais même montré ma lingerie. Mais je ne leur avais pas parlé du plug que je portais ou de mes godes. Bref, on était tous pétés, ils dormaient et, moi, je ne pouvais pas fermer l'oeil. Je me suis retrouvé sur un fauteuil à me déshabiller discrètement. Puis en vérifiant que tous dormaient, j'ai sorti mon gode et, une nouvelle fois, je voulais jouir du cul. Je me souviens des grands aller et retours du gode qui tiraient sur ma rondelle et comment je le rentrais toujours un peu plus loin. Un bruit, je m'arrêtais et je reprenais, une fois rassuré. Mais quand Léa se redressa d'un coup, je ne pouvais plus me cacher. Je l'ai donc regardée et continuais ma pénétration. Nos regards se sont croisés, elle a vu ce que je faisais et a poussé un petit "oh" surpris. Je mis mon index devant la bouche et elle me laissa tranquille.
La transgression était folle. Je devenais toujours plus accroc à mes délires.
Modifié en dernier par GuidoCrepax le jeu. 14 mars 2024, 17:02, modifié 2 fois.
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