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Oui, j'ai su séduire les hommes très jeune. Je sentais que je plaisais et de manière très instinctive, je faisais en sorte que cela se passe. Je me suis toujours vue comme un réceptacle, autant avec ma bouche que mon cul. Mon micropénis est un appendice totalement inutile.

Tu aimes sentir le foutre des hommes sur toi.
Tu es fière de les faire bander et de les
faire jouir.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, c'est exactement cela! J'ai effectué une longue psychothérapie pour comprendre ce qui m'animait. J'étais un petit garçon à sa maman, très doux, sensible, très féminin dans mon comportement. A l'âge de 9 ans déjà, j'adorais servir les hommes - bien entendu, pas sexuellement - chaque fois que l'occasion se présentait : servir l'apéritif ou le café, aider au ménage, à la cuisine, etc. Ma famille était très patriarcale, mais moi je ne me voyais pas comme faisant partie des hommes, mais des femmes.
En grandissant, ce besoin de servir les hommes est devenu sexuel. La puissance de mes fantasmes m'effrayait. Je me masturbais en imaginant être dominé, et pénétré par de gros membres virils. Il était très dérangeant pour moi d'être excité par l'idée de me faire abuser et violer, réduire en esclavage. Il n'a pas été facile d'accepter mes désirs et à les vivre, non comme une punition pour ma perversité, mais comme source de plaisir et de jouissance.
Beaucoup de mon énergie et de ma créativité étaient consacrées à attirer l'attention d'hommes plus âgés, les aguicher, les séduire et baiser avec eux. J'ai toujours adoré recevoir leur sperme, dans ma bouche ou ma chatte anale. Je le voyais comme un honneur et un bonheur. Bien entendu, cette fécondation était limitée à certains privilégiés, car j'ai toujours eu peur des MST.

Merci Fany.
La, ou on voit bien ton plaisir à astiquer au plumeau
ou autrement.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, il a été toujours très naturel pour moi d'effectuer les tâches ménagères, à une époque où les "vrais hommes" ne s'abaissaient pas à ces tâches réservées aux femmes. Perçu comme efféminé, il était bien évident pour tout le monde que j'allais rapidement devoir servir aussi sexuellement.
Loin de me gêner, cette double fonction m'excitait et je veillais à toujours être habillé de manière légère et sexy, d'avoir les gestes et les attitudes efféminées adéquates et de me montrer toujours soumis et obéissant avec les hommes.
A une époque de libération de la femme, il était très pratique pour tout le monde de favoriser l'éducation et le développement de garçons tel que moi, destinés non à remplacer les femmes, mais à leur enlever une pression sexuelle et patriarcale dont elles ne voulaient plus. Ma mère et ma tante faisaient partie d'un petit groupe de féministes pures et dures, qui avaient pour projet de féminiser et d'homosexualiser un maximum de garçons - leurs fils ou neveux la plupart du temps. Certaines femmes, moins sûres d'elles confiaient leurs fils à ce groupe, pour des vacances, des stages ou d'autres activités qui les transformaient immanquablement en jolies petites sissies soumises. Ce mouvement existait dans d'autres pays occidentaux et s'occupait de démasculiniser un maximum de garçons.

Fany sachant que son zizi ne lui était pas utile, elle
le garde en cage pour bien profiter des queues
qu'on lui présente.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, exactement. Je n'ai jamais eu conscience de mon pénis en tant qu'organe sexuel. J'ai appris à pisser assis, même en extérieur et j'ai été très étonné un jour en voyant un garçon pisser debout face à un arbre. Je ne trouvais pas cela correct et j'ai continuer à m'accroupir comme une fille. En même temps, j'en avais un peu honte et je m'efforçais de "pisser comme un garçon", même si souvent je n'y arrivais pas.
Un jour, je me suis retrouvé avec ce cousin à construire une cabane en forêt, lors d'un pic nic familial. On a eu besoin de pisser et je me suis positionné debout contre un arbre, comme mon cousin. Il m'a regardé froidement et m'a dit que ce n'était pas ma place. J'ai alors baissé mon short et ma culotte et je me suis accroupi. Nous étions excités tous les deux et lui comme moi on a eu une érection. Il s'est approché de moi et m'a fourré sa queue dans la bouche. Je l'ai prise avec avidité!
J'ai pris conscience ce jour-là de ma place et de mon orientation sexuelle et aussi du fait d'avoir un micropénis. Mon cousin était à peine plus âgé que moi et sa queue - normale pour son âge - avait un volume au moins quadruple de la mienne, deux fois plus longue et deux fois plus épaisse.
Il a joui dans ma bouche et je me suis fait jouir avec ma main. Ensuite, on a pissé chacun notre manière, lui debout, moi assis.
Lorsque nous sommes retournés à la clairière où le reste de la famille se trouvait, tout le monde était en train de partir. Mon cousin et moi sommes restés avec notre grand-père pour finir d'éteindre le feu et ramasser les derniers déchets. Mon grand-père nous a demandé ce que nous avions fait tout l'après-midi et mon cousin a fièrement dit:

- Stéphane m'a sucé et a tout avalé, c'est vraiment un sacré pédé!

J'ai rougi, pensant être puni, mais mon grand-père nous a félicité tous les deux, puis on est montés dans la voiture et mon grand-père nous a déposés chacun chez soi.

Concernant les cages de chasteté, c'était moins lié à empêcher l'érection qu'à orner mon sexe. J'aimais beaucoup les bijoux et j'en ornais mes chevilles, mes poignets, mon cou et mes oreilles. Rapidement, j'ai aimé les cordes, les chaînes et découvert l'auto-bondage. Il a été tout naturel d'enchaîner mon sexe, je trouvais cela très excitant.

Fany chez l'un de ses "amants", fétiche du vinyl
et de sa sissy docile et bien préparée.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Je ne suis moi-même pas fétichiste du vinyl, mais j'ai eu un employeur très accro à cette matière. il me faisait jouer le rôle de soubrette lors de ses soirées dans son club. J'étais payée pour mon travail. Je servais les boissons et je l'assistais lorsqu'il faisait une démonstration sur une soumise ou un soumis, accrochés à une croix de St-André.
c'était des soirées très excitantes, mais j'avais vite trop chaud dans ma tenue. J'allais donc de temps en temps prendre l'air par l'entrée de service, située à l'arrière du bâtiment. C'était une zone industrielle et il n'y passait pas grand monde, sauf une fois.
Une bagnole de flic s'est pointée et s'est arrêtée devant moi et je n'ai pas eu le temps de rentrer.
Ma tenue n'était pas adéquate pour l'extérieur, je pouvais être amendée. Le club était légal, mais les flics ont demandé à voir mon patron, à qui ils ont déclaré qu'ils devaient m'emmener pour un contrôle d'identité.
Il y avait dans la zone industrielle un poste de police, mais qui n'était occupé que la journée. On est entrés et l'un des flics a allumé l'ordinateur. Je flippais complètement, même si une part de moi me disait que c'était un coup monté.
Ils m'ont interrogée assez durement, me faisant avouer tout ce que je faisais. J'étais étudiant, mais j'avais de nombreux amants et ils m'ont fait avouer que je me prostituais. J'avais tout juste l'âge légal pour ça.
Le flic à l'ordi a imprimé un protocole de l'interrogatoire, que j'ai signé après l'avoir lu. Lorsque j'ai relevé la tête, les deux flics avaient sorti leur queue de leur pantalon. J'ai compris ce que je devais faire. Je les ai sucés et ils m'ont enculée sur le bureau du poste de police.
Ensuite, ils m'ont ramenée chez mes parents, tout étonnés de me voir dans cette tenue, y compris la cage de chasteté, dont personne n'avait la clé. Il était trop tard pour me libérer, alors je l'ai gardée pour la nuit.
Le lendemain, ma mère m'a accompagné chez le patron du club. Nous avons rendu la tenue en vinyle, mais il a donné les clés de ma cage à ma mère, qui a été ravie.
Ma mère est ainsi devenue ma gardienne des clés!
Le lundi suivant, j'ai reçu une convocation pour aller légaliser mon statut de prostitué au commissariat. Ma mère m'y a accompagné. Je portais toujours ma cage et j'étais habillé de manière très efféminée.
Une fois les papiers remplis et signés, j'étais officiellement une pute. Je devais me présenter régulièrement au commissariat et me faire contrôler régulièrement pour les éventuelles MST.

Fany aime ecarter ses cuisses pour bien se faire mettre à fond.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Ou suçant un routier dans les
chiottes d'une aire de repos.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Enorme!

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"L'Homme est un loup pour l'Homme"Hobbs

ouiii, j'aime me faire prendre bien à fond dans cette position! Mes amants préférés sont les hommes d'âge mûr, ventripotent et autoritaires.

Mhm, oui, les chiottes des aires de repos, j'adore. Souvent elles sont plus sombres et moins reluisantes que celles de la photo! La première fois que j'ai sucé un routier, Je revenais avec mon grand-père d'un week-end dans son chalet. Je l'avais aidé à le nettoyer avant l'arrivée d'une famille qui le louait.
En rentrant, on s'est arrêtés sur une petit aire d'autoroute, pour un pique nique et pour aller aux toilettes. J'y suis allé le premier et à peine rentré, je tombe sur un type qui se branlait et qui s'est approché de moi. Paniqué, je suis sorti en vitesse et j'ai rejoins mon grand-père. Il m'a rassuré et m'a dit qu'il allait m'accompagner. On est rentrés ensemble, le type était toujours là à se branler. Mon grand-père m'a poussé vers lui et m'a dit de commencer à sucer. Une fois la bite du mec - un type très gros - en bouche, je n'ai plus eu peur et je l'ai bien sucé.
A la fin, il nous a remercié, il paraissait vraiment reconnaissant! Il m'a tendu un billet et est parti. Mon grand-père et moi avons pissé, puis on s'est lavés les mains - et moi la bouche aussi - avant de retourner manger nos sandwichs.
- Tu vois Fany, pas de quoi avoir peur. Je ne veux plus te voir refuser une fellation, tu m'as compris?
- Oui Papy, ais-je répondu.

Pour bien faire rentrer la leçon, mon grand-père a ouvert le hayon du break et m'a fait me pencher en avant, jambes tendues, le haut du corps dissimulé par la carosserie, puis il m'a baissé mon short et mon string, avant de m'asséner une bonne volée avec sa ceinture.

Un couple âgé, qui venait de s'arrêter a félicité mon grand-père pour l'éducation stricte qu'il me donnait. Mortifié, je me suis rhabillé et suis remonté dans la voiture.

Toujours un plaisir de lire tes anecdotes.

Te voilà à subir les envies de pipe d'un cousin
qui te fera bien nettoyer sa queue après sa jouissance.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".