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j'exprime ici mon opinion sur l'histoire biographique écrite par Catherine Millet directrice de redaction d'art press et intitulée "la vie sexuelle de Catherine M" au seuil.
Je redis que c'est mon opinion mais je lirais sans parti pris des avis differents, cette histoire est selon moi sans intérêt aucun et mêne ennuyeuse, c'est une répétition sans fin de baises echangistes sous toutes les formes et dans toutes les postures prétendant pour mieux enfoncer le clou ne faire jamais le decompte du nombres de partenaires qui peut atteindre des chiffres faramineux.
Sans être coincé de la quequete je crois qu'on ne peut trouver aucun intérêt à cette histoire, ce récit prends même un caractère dégradant pour la femme qui l'exprime et je dirais degradant pour toutes les femmes et les hommes aussi; si l'echangisme atteint ces niveaux de bassesses, on doit être vite ecoeuré
J'aimerais avant de répondre plus précisément que tu nous livre ta définition du mot "dégradant" !
J'ai voulu dire par l'usage du mot dégradant, que dans mon mode de pensée les pratiques sexuelles ne peuvent être sans aucune retenue on doit se fixer une limite personelle, et respecter l'eventuelle limite des autres. Dans ce récit il m'a semblé que cette limite personelle n'est même pas définie par l'auteur. Ne pas s'inscrire dans ce mode de pensée c'est déjà manquer de respect de soi même je trouve et c'est dégradant Pour résumer ce qui me gêne dans ce récit n'est pas la description des pratiques mais l'insistance à dire qu'il n'existe aucune limite justement, notemment dans le nombre de partenaires utilisés dans chaque instant.