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J'avais zappé cette discussion, ce qui est bien dommage car je suis un adepte de cette pratique (aussi bien comme donneur que comme receveur)

Mais je voudrais surtout aborder un point de lexicographie

Je connais anulinctus et anulingus (le second supplantant désormais le premier dans son usage dit-on) mais analingus ---> jamais entendu !

Faute de frappe, néologisme ? Dites-moi tout !

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Que ce soit avec un homme ou une femme, je me mets toujours sur le dos, jambes relevées pour bien dégager mon petit trou. Cela me permet de voir mon partenaire, de le caresser, et qu'il me voit me branler et ainsi voir la montée du plaisir.

Sur le dos en 69 ça facilite mon basculement vers l'arrière et permet à mon amie de faire de bonnes gorges profondes dans ce sens et facilement relever mes jambes pour descendre jusqu'à mes fesses

En fait la feuille de rose (donnée) stimule l'ensemble des organes du goût.
on sait depuis plusieurs années que le goût n'est pas UN sens mais une combinaison de trois sens.
- Le toucher, qui permet de percevoir cette texture très particulière
- La saveur, ce qui permet d'en mesurer (puis d'en apprécier) l'âcreté
- L'odorat, parce qu'un cul... ça a (parfois) une odeur... et c'est sans doute là d'où viennent certaines réticences... qu'on a bien évidemment tout intérêt à vaincre.
Il est étonnant que (sauf erreur) personne n'ait évoqué ces aspects des choses.

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Caresse divine aussi délicieuse à donner qu' à recevoir. Mes conditions : un orifice parfaitement propre et totalement imberbe et lisse, comme le mien lorsque j' offre ma rondelle à la bouche d' un(e) autre. J' adore insérer ma langue dans l' oeillet, passer l' anneau et aller aussi loin que possible pour un massage profond et mouillé du fourreau. Pour le recevoir, toutes les positions sont bonnes ; en levrette bien cambré, la raie ouverte à fond ou couché sur le dos, les jambes relevées et écartées, la fente offerte avec car j' écarte mes fesses avec les mains pour bien ouvrir mon petit trou accueillant ... Mmmmm C' est le préliminaire obligé pour la sodomie !

J'aime beaucoup être allongé sur le dos, les jambes relevées et écartées. Ca me permet de voir ma faiseuse de bien.
Mais la position à quatre pattes avec le visage de Ma Douce enfoui entre mes fesses, n'est pas mal non plus. Surtout si je peux regarder dans un miroir.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, en levrette, la langue experte d'une femme sur mon œillet c'est une véritable délectation.

Et je tiens à dire que c'est pour moi aussi jouissif de donner que de recevoir ces coups de langue. J'en redemande toujours et encore. Et avec de l'entrainement la langue peut se faire de plus en plus exploratrice et là, c'est... hummmmmmm...

Il est bon de noter que quand cet œillet est tout lisse c'est tout simplement divin, cela devient ainsi beaucoup plus sensible de donner et recevoir.

Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite, qui veut ma langue...

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Suite à mon aventure récente que je raconte sur le topic " croustilleries ", je me rends bien compte que si j' adore me faire lécher et manger la rondelle, je prends encore beaucoup plus de plaisir à donner cette caresse avec ma bouche. Lorsque l' odeur d' un(e) partenaire me plaît, cela m' excite à fond, m' éclate le cerveau de respirer ce délicieux parfum d' un anus juste rincé ( propre sans savon ! ).
J' aime regarder le fruit, le bourgeon, ourlé ou plissé et s' il est lisse et imberbe, j' y plonge d' abord le nez pour le humer et je laisse libre cours à ma gourmandise.
C' est un véritable plaisir que je m' offre car disons le tout net : j' adore embrasser un trou plissé, lui filer un patin fougueux avec la langue comme à une bouche, bouffer une chatte anale, que ce soit celle d' une femme ou d' un homme !
Il en va d' ailleurs de même pour une vulve ou pour sucer une bite, sucer des tétons, lécher les aisselles ou sucer les orteils.
En fait, je trouve qu' il faudrait ouvrir une rubrique sur le plaisir buccal car j' ai parfois l' impression que ma bouche forme un triangle infernal avec ma bite et mon cul, que j' ai trois sexes qui éprouvent des jouissances différentes et que je fais aussi l' amour avec ma bouche, par ma bouche !
J' y raconterais mes souvenirs les plus fous et suis certain que d' autres membres sont aussi gourmands que moi !
Ma bouche est une source de bonheur sexuel sans fin : sucer, manger, lécher, aspirer, téter et en plus, j' adore boire, avaler tous les liquides : le sperme, le pipi d' hommes et de femmes, la cyprine, le foutre anal.
Mmmmm, je sens que ce soir je vais longuement dévorer les deux trous de mon amie et en plus, avec elle, j' aime tellement sa peau et son odeur que ça ne me dérange pas si son petit trou de cul mignon est parfois un peu souillé !
Et peut être en ferai je le récit un de ces jours.

C'est avec grande joie que nous te liront Sexto59

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Je suis d'accord sur le toucher. Pour les deux autres sens, cela ne m'a pas marqué. Alors est-ce que je pratique cette caresse sur des femmes qui sortent de la salle de bain????? Je ne crois pas.

Par contre, cérébralement, ça m'excite au plus haut point. Surtout quand c'est la femme qui la prodigue à un homme.
Entre deux femmes ou un homme le faisant sur une femme, ça ne monte jamais aussi haut.

Pour revenir à la question de Mlle, j'ai découvert la feuille de rose en 69, moi au-dessus. Mon ex aimait à faire remonter sa langue, de ma queue à mon œillet, en passant par mes couilles.

La première fois qu'elle m'a fait cette caresse, je me suis senti tout chose. Impossible à expliquer. Puis ma queue s'est mise à couler. J'ai lu depuis, qu'avec certain massage de la prostate, les hommes pouvait jouir ainsi. Sans éjaculation puissante, mais comme un "robinet".

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Ma Femme adore la feuille rose et ça position favorite c'est la levrette.

Je sais rien d'original mais c'est ça position favorite.

Quelle caresse délicieuse, je suis bien d'accord avec vous tous! Aussi bien de la recevoir que de la donner!

Perso, j'adore être sur le dos pour que mon anus soit bien ouvert et que la langue qui s'y glisse y soit à l'aise!
Ensuite tout dépend les désirs et la manière dont se passe le moment...on peut toujours être surpris!

Si je suis uniquement en position de receveur, je préfère aussi être sur le dos, quoique ayant testé la position "à quatre pattes", je dois dire que le plaisir est aussi intense dans ce cas.

Si je suis donneur/receveur, le 69 est très agréable, le plus difficile étant de se concentrer sur la caresse qu'on donne tout en goûtant celle qu'on me donne mais sans me laisser trop distraire de ce fait ma langue

Bref, la quadrature du cercle

Qu'une femme me fasse une feuille de rose ne me dérange pas, mais ne m'attire pas spécialement. Je suis infiniment plus attiré par le fait de prodiguer une feuille de rose à une femme raisonnablement désirable (sans demander qu'elle soit une top-model, mais quand même). Mais j'ai horreur du goût de la savonnette, si vous voyez ce que je veux dire. À cette condition, je suis même prêt (si et seulement si ça branche ma partenaire) à être receveur scat et elle donneuse, quitte à me doper aux anti-émétiques, car entre ce que veut ma libido et ce que veut mon système digestif, il y a milles lieues, hélas.

C'est pourquoi je trouve que l'anulingus est une excellente (au "propre" comme au figuré) approche du nourrissage que je convoite. Ça permet à mon système digestif et à la "production" de ma partenaire de s'apprivoiser mutuellement. Car je tiens beaucoup à ce que mon système digestif ne rejette rien, surtout si ma partenaire est raisonnablement jolie. L'idée que sa "production" soit parfaitement assimilée par mon organisme et passe dans mon sang, au point d'irriguer mon corps et inclusivement mon cerveau m'est des plus agréables. (je suis peut-être un peu compliqué ? )

Rien ne me ravit davantage qu'une femme raisonnablement jolie s'accroupissant au-dessus de ma bouche ouverte, ou, à défaut, de mon visage, alors que je suis sur le dos. Mais les scénars de domination-soumission m'embêtent et je ne les accepte que s'ils sont un passage obligé pour arriver à mes fins. Idéalement, je vois ça comme une complicité amicale donneuse-receveur. J'ai d'ailleurs souvent des rêves ou des fantasmes de cette complicité entre quelque célébrité que je trouve désirable et moi-même. Björk Guðmundsdóttir et moi, par exemple.