vassilia.net

Un sujet semblable à ce titre existait dans l'ancien Vassilia, je n'ai plus en mémoire les diverses questions alors débatues sous ce titre; mais je pense à certains désordres sexuels tels que, l'impuissance, la nymphomanie, l'éjaculation précoce ou à contrario le blocage psychique, la froideur orgasmique ou la secheresse vaginale.
Tous étant des sujets graves qui pourtant donnent parfois lieu à des risées et moqueries évidemment regrettables et méchantes.

Ayant fait état d'impuissance suite à une abalation de la prostate pour cause de cancer heureusement pas rédhibitoire; j'ai personellement regretté, certaines moqueries dont j'ai été le sujet.

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Les gens qui ont peu d'affaires sont de très grands parleurs : moins on pense, plus on parle. Montesquieu

Je n'aime pas flooder,ce qui peut être le cas si l'on considère que je suis pour le moment le seul à écrire sur ce sujet, mais je le fait aujourd'hui après avoir lu dans sexualité et ménopause, un texte de Isa, que je recopie ici, j'espère qu'Isa ne m'en tiendra pas rigeur.
Isa dit aussi qu'elle à vécu un enfer sous anti-dépresseurs pendant 7 mois.

Hommes ou femmes il nous arrive d'avoir des problèmes avec la libido et la sexualité quand étant par la nature même de notre existance sur terre programmés pendant un certain nombres d'années pour la reproduction de l'espèce, et qu'au delà de cette période nous n'avons plus généralement la reproduction comme mission naturelle si l'on peut dire les choses ainsi.

En tant qu'hommes et pour 80% d'entre nous selon les statistiques; sans même considérer d'autres causes générant des ennuis organiques; nous avons ou nous auront de graves ennuis prostatiques, dont l'un des plus courants est le cancer de la prostate, nécessitant pour sauvegarder la vie des traitements radiologiques ou l'ablation. Alors comme Isa je dis que ce problème qui touche les hommes provoque aussi des états dépressifs qui permettent de dire "vivre un enfer". A ce propos et sans faire de politique, mais parce que les medias nous rapellent en ce moment l'anniversaire du décès de Mitterand, je pense que cet homme qui a gouverné le pays pendant deux mandats alors qu'il était atteint de ce cancer dés sa première élection à été certainement très courageux.

Il est juste un peu curieux que pour les hommes avoir des ennuis de prostate suscite parfois de petites moqueries pour ce qui est des conséquences ordinaires à ce probleme.

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Je m'étonne de voir mon post repris ici, car la ménopause n'est ni un handicap ni une maladie mais une évolution liée à l'âge. Et comme c'est typiquement féminin, je l'ai posté dans "sexualité au féminin". Je pense que les sujets pouvant être mis ici sont suffisamment nombreux sans parasiter avec d'autres n'y ayant pas leur place. En plus, c'est stigmatisant pour les femmes concernées qui vont se dire "ha ben zut, suis handicapée ou malade"

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Isa
Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne (Chamfort)

L'impuissance est-elle systématique après l'ablation de la prostate?

Absolument pas. J'ai eu un oncle qui avait été opéré il y a déjà longtemps, et dont c'était la principale angoisse avant l'intervention. Et après, il avait dit que tout fonctionnait comme avant... Y'a pas de fatalité, chaque cas est différent.

Plus de détails dans cet article de Doctissimo

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Isa
Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne (Chamfort)

Oui l'impuissance est systématique après ablation de la prostate.

Je ne veux pas faire de ce sujet un débat médical, et l'usage des MP est possible, mais pour apporter une précision à ce que j'ai appris quand j'ai été concerné, la prostate est une glande constituée de deux lobes et d'une "coquille," terme médical souvent employé pour désigner son enveloppe. En outre le canal de l'urètre passe à l'interieur de cet organe, quand on enlève la prostate on enlève aussi forcément, une partie de l'urètre qu'il faut donc ressouder à la vessie, et surtout dans la pluspart des cas on retire avec la prostate les nerfs érecteurs qui sont fixés sur l'enveloppe, ainsi que les glandes séminales, voila je crois que ce sera tout pour ce sujet.
Excusez moi Isa pour avoir mis ici un extrait de votre post sur la ménaupose, que je ne voulais pas assimiler à un handicap je ne faisais pas de rapprochement avec le titre de ce sujet.

Cela étant et pour reprendre le fil du sujet, qui je pense doit être plus étendu que parler de l'impuissance mais pour préciser, je ne puis connaître le cas particulier de votre oncle était-ce une ablation totale de la prostate ? car il ya en effet quelques maladies de la prostate, de caractère bénignes qui se traitent par une forme de curage, on retire une partie de la prostate pour diminuer la pression de cet organe sur l'urètre, dans ce cas il n'ya pas de risque d'impuissance.

Mais j'ai parlé ici de l'ablation totale ou du traitement radiologique qui est évidemment la solution préconisée dans les cas de cancer lesquels je le repète, statistiquement surviennent au cours de la vie de 80% des hommes.
Après ablation il y a toujours une phase d'impuissance de plusieurs mois à quelques années, heureusement pas rhédibitoire, comme déjà dit.
Je n'ai pas besoin de relire tout ce qui est dit sur le sujet dans doctissimo car à l'époque j'ai longuement épuisé ce sujet et je suis même allé sur un forum de doctissimo discuter avec de nombreux hommes de tout âge qui subissaient les ennuis que j'évoque.

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Pour ceux que je connais, l'impuissance n'a été que temporaire. Si je me souviens bien, s'il y a eu moqueries, ce n'est pas arrivé spontanément, mais à la suite de l'omniprésence de cette fameuse prostate, ça devenait fastidieux, et là on inaugure un nouveau topic qui va bientôt devenir "la prostate de Paul, ses malheurs et les états d'âme qu'elle génère chez son propriétaire" puisqu'au delà du titre, on ne parle que de ça. Tu nous dis que maintenant ça remarche, eh bien tant mieux alors passons à autre chose.

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Le fil qui existait précédemment au crash ne traitait pas des handicaps ou maladies sexuels, mais de la sexualité des personnes handicapées (que la société nie tant qu'elle peut). C'est d'ailleurs moi qui l'avait créé il me semble, mais je n'en retrouve pas trace par Google

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Isa
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