vassilia.net

Bonjour
J’aime quand elle me griffe, me faisant gémir et endurer ces frissons qui sont de vraies tortures.
Mes tétons se dressent et elle en profite pour les pincer, les tirer, les tordre.
Quelle jouissance d’être à sa merci et de la sentir excitée.
Ma femme devient alors ma maitresse, celle qui mouille des sévices qu’elle m’inflige.
Que du bonheur, et vous qu’en pensez vous ?

Parfois, je lui fais sentir mes envies, mes desirs , mon besoin de délivrance, de soumission.
Elle connaît ma gestuelle et en sourit, parfois avec une touche de moquerie juste ce qu’il faut pour doucement m’humilier et me réduire à mon état servile.
Je m’y abandonne, et elle en profite pour assouvir ses instincts de chasseresse,et de dominante.

A son regard je connaît la position qu’elle attend de moi, à ses genoux, la tete baissée dans l’attente du verbe attendu ‘lèche !’. Et ma langue prodigue les caresses humides sur ces lèvres gonflées et sensibles, ma bouche suce sa liqueur tandis que je commence à pincer, et agacer son clitoris, sa petite bite rosée et toute tendue.

J'en pense que vous avez la chance de vous être bien
trouvés et que vous êtes complémentaires dans
vos envies.

N'hésites pas à nous raconter quelques uns de vos jeux.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Merci , c’est gentil.
Je me demande tout de même s’il est normal d’aimer se faire soumettre à ce point.
Est ce réellement normal de bander quand ses ongles maltraitent mes tétons et mes bourses ?
L’autre fois elle m’a obliger à demander conseil à la vendeuse du sex- shop pour l’achat d’une pompe à penis, j’étais complètement déstabilisé et excité à la fois.
En fait j’aime la honte qui me fait mettre à nu face à elle et à des inconnues.

Rien d'anormal à prendre le plaisir qui semble te convenir.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Bonsoir
Ma douce est redevenue garce hier, elle m’a surpris à me caresser sous la douche.
Elle m’a interdit de continuer et j’ai du rester nu toute la journée avec interdiction de bander.
Le soir ma punition fut de la faire jouir avec la langue, mes couilles attachées avec une corde les tirants en arrière. J’ai eu la chance de subir une traite rapide, elle voulait dormir tranquille.

Je crains qu ce week-end elle ne dévoile cet épisode à sa meilleure copine qui sera de passage.

J’ai eu droit aux regards équivoques de Nathalie, sa copine.
Un peu gêné j’ai assume sans jamais faillir, il faut dire que la situation excitait l’atmosphère par tous les sous entendus. Ma douce s’en amusait, et jouait avec l’ambiguïté.
Fière de son emprise, elle marquait sa domination et la maîtrise de ma servitude. Moi je masquait mon émoi en évitant les regards, et en m’isolant dés que possible. Je n’étais pas dupe Nathalie connaissait ma condition, et mon attrait pour l’humiliation générée, pauvre de moi j’en redemandait.

J’ai largement participé au service de l’apéro, au dessert, volontaire et enjoué pour masquer mon trouble si présent. Ma douce redevint la Maîtresse au moment du café, nous invitant à passer au salon, et en me signifiant de m’en charger d’une simple tape sur mes fesses, et d’un sourire adressé á Nathalie.
J’ai amené le plateau chargé des trois tasses de café, de trois petits verres, d’un bol de glaçons et de la bouteille de limoncello, les retrouvant assises sur le canapé chuchotantes et enjouées.
Ayant posé le plateau, ma douce m’invita à m’assoir entre elles et me caressa la nuque, geste tendre et avilissant au regard de la situation. C’est alors que Nathalie posa sa main sur mon menton et me regardant dans les yeux me sourit, et me dit :
- Sylvie m’a raconté que tu aimes souffrir, que tu t’excite sous ses griffes.
- tu semble apprécier le plaisir de la douleur, n’as tu pas de honte à te laisser traiter de la sorte ?

Ma douce le sourire aux lèvres, continuant á me caresser la nuque tél un animal de compagnie me pressa de répondre.

- oui j’ai honte, mais cette honte m’excite et me rends encore plus servile et attentif aux désirs de ma douce Maîtresse. J’ai honte mais je suis fier de lui montrer à quelle point ses tortures me rendent obsédé et dépendant.

Nathalie ne pouvait pas ignoré mon excitation à ce moment, tant la bosse était marquée à mon entre-jambe. Elle jeta un regard à ma douce puis déposa un baisé furtif sur mes lèvres, elle me sissies de me lever, et de me dévêtir en les regardant .

Une expérience avec deux Maîtresses..... Voila
qui mérite de connaitre la suite.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".