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Mon intuition était bonne, quand nous sommes montés nous coucher, mon épouse a fait un arrêt pipi aux wc du palier, porte ouverte, pendant que je me déshabillais dans la chambre, j'ai écouté sa miction...
Restant attentif à la suite, l'essuyage de sa motte, et effectivement, comme je m'y attendais, elle n'a pas utilisée le dérouleur de papier toilette avant de tirer la chasse d'eau, donc pas d'essuyage, je me suis allongé sur le lit...
Elle est rentrée dans la chambre culotte à la main en finissant de se déshabiller puis est venue jouer avec ma verge et mes testicules, j'ai juste dis, - Donnes-moi tes fesses, et elle est venue m'enjamber le visage lentement...
Je me suis régalé de la vue sur son buisson et sa vulve mouillée, puis sur sa raie duveteuse de brune avec niché en son centre, son petit orifice légèrement boursoufflé et plissé, lentement, elle s'est accroupie sur ma bouche et mon nez...
De suite, son parfum intime est venu m'enivrer, elle sentait bon le pipi frais et le négligé de la journée, mélange épicé d'avec son mouillement du désir, un régal olfactif et stimulant que je gouttais du bout des lèvres, mon nez enfoncé entre ses fesses...
Là aussi il y avait un parfum, mais différent de l'autre, du plat de ma langue, je commençais par lui essuyer la vulve, récoltant tout ce que je pouvais récolter, la pointe de mon nez lui titillait l'anus qui s'ouvrait doucement, elle caressait mon sexe...
Puis j'ai aventuré ma toilette linguée entres ses lèvres petites et grandes, le gout y était plus marqué qu'en surface et sa mouille le diluait pour charmer mes papilles, j'entendais le souffle de ma femme qui changeait et ses premiers soupirs...
Devant obligatoirement faire le choix de lui lécher la fente ou l'anus, j'envoyais un jet de salive sur sa petite porte puis un autre en sa raie afin d'y faire glisser quelques doigts caressants, pendant que de la langue j'effleurais son petit capuchon...
Mon épouse aime l'anal et de suite elle a tendue sa croupe à un touché rectal, l'ayant massée doucement de la pulpe d'un doigt mouillé, sa réaction a été de pousser sur son sphincter externe afin d'y inviter mon doigt à y entrer, j'ai choisis le majeur...
Alternant les glissades sur ses nymphes trempées et son bouton d'amour devenu turgescent, j'enfonçais tendrement mon doigt dans son anus, lui arrachant un râle allié aux deux plaisirs, celui d'être à la fois, léchée et enculée...
Ensuite, pénétrations et rythmes variées se sont enchainés, passant d'un doigt à deux dans sa rondelle ouverte et suçant goulument de mes lèvres son petit cornichon, elle s'est mise à gémir, sa fontaine a giclée et j'ai bu son nectar...
P.S: Pour la suite, je vais aller l'écrire à l'endroit où il faut car cela n'a plus de rapport avec le sujet de ce Topic, vous trouverez la suite à la page des Histoires Vassiliennes...
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Tout est Bon dans le Cochon...
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