vassilia.net

La soumission et le bdsm m'ont depuis toujours attiré mais je ne m'y suis mis que depuis 2 ans avec une femme sodomisatrice, je ne cherchais que ça mais aux fils des rencontres on a appris à ce connaitre, elle était expérimenté, moi non, ça à commencé par le bondage je lui ai dit (comme pour les autres pratiques par la suite) qu'il fallait que j'ai confiance, là dessus je savais que je pouvais lui faire confiance, c'était juste moi et l'angoisse de ne plus bouger mais dès que j'étais sur sur à la fois d'elle et de moi et bien j'ai dit on le fait et je n'ai pas regretté j'ai adoré ça, tout comme j'ai adoré l'uro et surtout le fist ça était une sensation vraiment extraordinaire et j'en redemande chaque fois que je la revois un jour elle m'a même fisté avec son pied ! et même lors d'une partie avec le trans celui-ci m'a aussi fisté, là aussi si je n'avais pas eu confiance au trans je n'aurais pas accepté.

Par la suite j'ai expérimenté les aiguilles et pareil la confiance à fait que j'ai pu subir sans problème cette pratique.

Le bdsm quelque soit les pratiques il faut une entière confiance envers l'autre et que la personne qui domine soit à l'écoute de la personne soumise il y a des règles de sécurité à établir un code comme un signe quelconque afin que la personne dominante arrête pour le bondage avoir toujours une paire de ciseau sépciale (découpe platre) pour couper la corde si par malchance elle est bloquée ça peu arrivé même si la règle du bondage et de faire des noeuds qui se défond de suite en tirant sur la corde.

Une fois la confiance établie le bdsm est vraiment extra. Mais même si la confiance est établie s'assuré que la sécurité de chacun ne causera pas de problème et ne jamais rien faire si vous ne vous sentez pas de le faire, même si la maitresse ou le maitre vous assure que vous ne craignez rien les relations D/s doivent être une relation partagée pas uniquement pour le/la dominant(e).
Prudence donc.

Pour ma part , j'estime que si on veut pratiquer le SM en tant que soumis(e) , pour éviter tout dérapage désastreux il faut aller dans des soirées à thème dédiées au SM ou en principe les personnes présentes dans ces manifestations ne sont pas des taré(e)s .

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Qui ne s'est jamais laissé enchaîner ne saura jamais ce qu'est la liberté .

Serge Gainsbourg

Ce conseil n'est pas mauvais, lilytv34.

Attention quand même à bien se mettre d'accord sur le safeword et
à regarder en action ceux qui vous intéressent. Leurs façons de faire,
la force de leurs coups peuvent vous refroidir. Tout le monde n'a pas
la même capacité à supporter la douleur.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Pour alimenter ce sujet, voici une info relayée ce jour par le journal 20 minutes via Le Dauphiné Libéré.
Ce genre de rendez-vous peut hélas déraper très facilement si l'on ne prend pas quelques précautions

http://www.20minutes.fr/lyon/1908811-20 ... l-organise

"Ce n’est pas un trail aventure qui a mal tourné, ni une variante locale de Koh-Lanta. Samedi 13 août, en fin d’après-midi, un homme a été retrouvé ligoté à un arbre, et dénudé, à proximité d’un sentier de randonnée dans les bois, sur les contreforts du massif de la Chartreuse, à une vingtaine de kilomètres de Grenoble (Isère).
Le Dauphiné Libéré a récolté les éléments qui permettent d’éclaircir l’affaire : La victime, un quadragénaire, a été attachée avec son consentement, par un individu contacté sur internet, et avec lequel un rendez-vous avait été pris au bord du chemin près du ruisseau de Crolles, dans la commune éponyme.

Mais le scénario érotique convenu sur internet n’est pas allé à son terme puisque le correspondant malhonnête a seulement profité de l’état de faiblesse de son web-partenaire pour lui dérober, pour de vrai, son téléphone portable et son véhicule.
Et pour ne rien arranger, le scénario prévoyait opportunément que l’inconnu se présente au rendez-vous en étant muni d’une cagoule. Il a donc pu prendre la fuite incognito, non sans avoir bâillonné et frappé sa victime. Celle-ci a heureusement été découverte rapidement, quelques minutes plus tard, par un promeneur.
D’après Le Dauphiné Libéré, la BMW volée a ensuite été localisée par la gendarmerie à 10 km de là, à l’est, mais le véhicule a été perdu de vue malgré l’intervention d’un hélicoptère. Le voleur était toujours recherché dimanche soir. On ne sait pas s’il avait un ou plusieurs complices."

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On ne nait pas femme, on le devient (Simone de Beauvoir)

Pour pratiquer le BDSM en tant que soumis(e) , il ne faut surtout pas être NAÏF et ne pas se donner à n'importe qui sans connaître , on ne le dira jamais assez qu'il faut faire connaissance pour savoir s'apprécier et savoir si il y a affinité , le BDSM n'est pas une simple partie de baise qui dure souvent un temps éphémère .

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Qui ne s'est jamais laissé enchaîner ne saura jamais ce qu'est la liberté .

Serge Gainsbourg

Bonjour

Je pratique le BDSM depuis 5 ans mais c'est une pratique qui m'as attiré dès mon adolescence mais j'ai mis des années avant de franchir le pas, car je savais qu'il faut faire attention est comme je suis légèrement méfiant de nature j'ai mis longtemps avant de faire confiance à une domina (car c'est ce qui m’intéressait au début être soumis à une femme) mais comme tout ou presque m'attire dans le sado masochismeil me fallait avoir une absolue confiance et le net n'est pas forcément une source fiable pour avoir confiance mais à force et mon caractère méfiant m'ont permis de trouver une domina qui me correspondait c'est à dire une domina qui soit pas dans les clichés "théâtraux" du sm avec les tenues hors de prix et tout le matériel tout aussi hors de prix mais que je reconnais très beaux ce milieu est généralement prisé par des gens à défaut d'être milliardaires très fortunés (avocats, médecins, politiciens, chefs d'entreprises etc) par chance j'ai fini par tombé sur une domina avec laquelle j'ai de suite accrochée mais comme parler sur le net n'est pas signe de sincérité j'ai dit ok pour une rencontre mais pour en discuter de visu d'abord et par chance cette personne était (elle l'est toujours d'ailleurs) exactement pareil en réel que sur le net et en plus avec un charisme d'enfer ce qui est top pour être soumis à une femme mais malgré ça j'ai pas fait le bondage à la 1ere rencontre j'ai demandé à être attaché au bout de 5 rencontres quand j'ai commencé à être à vraiment à l'aise pour franchir une nouvelle étape, j'ai accepté le bondage, la flagellation limite extrême et même les marques au cutter, et toujours à ma demande il n'y a que la scarification etla scato que je n'ai pas fait ou(mais dléger pour la scato) la scarification m'attire mais très risquée d'un point de vue santé (la cicatrisation se fais au gros qsel sur les plaies) la scato uniquement l'obligation de sucer le gode après que la domina m'est bien sodomisé profond, mais ça je le ferais pas tout le temps et jusqu'à présent c'était de cette manière je ne me suis jamais fait déféquer dessus, c'est pas que ça me générait qu'une femme me fasse dessus mais sans l'obligation de manger car c'est quand même ps top.
J'ai été dominé par cette femme est une amie trans qu'elle connaissait et je refuse catégoriquement qu'un homme me domine. Bien que je sois bi passif quand l'envie d'une bite me prends j'ai suffisamment pas confiances aux hommes pour leur être soumis par contre dominé un homme ça m'est déjà arrivé mais sans sexe car les mecs passifs et en plus soumis ne m’intéressent pas mais vraiment pas.
Maintenant je domine soft et ma recherche quand je cherche s'oriente vers des femmes masochiste qui aiment prendre leur pieds uniquement par la douleur consentie bien sur mais avant je discute longuement avec elles et si je la sens sur la même longueur d'ondes que moi j'y propose une rencontre mais avant une séance nouvelle discutions pour vérifier si elle souhaite vraiment que je la domine et la fasse souffrir avec des fessées cinglantes, de la flagellations au fouet à la cravache et à la ceinture et je dois dire que les femmes m'épatent plus que les mecs car elles ne craignent pas contrairement aux hommes les marques, les hommes sont majoritairement mariés et veulent être soumis en cachette de leur femme, soumis à un homme qui plus est, je juge pas et je respecte les limites et les choix de chacun(e)s mais quand on me dit qu'à la base c'est 50 nuances de grey qui leur donne envie de faire du bdsm je trouve ça affligeant car les gens se lancent la dedans sans aucune idée des codes à respectés des risquent encourus, d'ailleurs j'ai refusé de lire les bouquins et de voir les films sachant que c'est du sm de pacotille cinématographique et les dominas que je connais refusent toujours de le voir.
Je respecte les personnes qui se sont émoustillées sur ce film mais à part le côté friqué du milieu ça ne donne pas une vraie idée du SM pour les non initiées lesquelles vont se soumettre à des gens sans prendre la peine de connaitre le/la futur(e) partenaire et sans même se renseigner sur les pratiques ni prendre leur précautions.
Personnellement j'insiste toujours pour savoir si les soumis(e)s novices ont compri(se)s ce que je propose en ayant bien compris les codes et règlent de sécurité et qu'ils assument quand ils /elles passent entre mes mains en général ont me remercie d'avoir bien expliqué les choses et avertir qu'il faut pas être douillet(te)s ! mais même si je suis pas portés sur le côté théâtral et trop sérieux du bdsm je fait les séances en mélangeant humour, set sérieux ce ne sont que des jeux et j'aime pas les personnes qui refusent de sortir de leur rôle de soumis(e)s dominatrices.
C'est juste mon opinion mises en gardes pour les vanilles .

Merci à toutes et tous pour vos avertissements et vos témoignages..

La problématique que j'ai rencontré lors de mes premières expériences, c'était que j'avais un réel besoin de me punir, que ce n'était pas qu'un jeu, parce que j'étais étouffé par la honte et la culpabilité (j'ai été abusé sexuellement par un homme plus âgé, mais découvert en même temps que j'étais plutôt attiré par les hommes).
J'ai eu la chance de ne jamais être tombé sur de vrais pervers. En fait, j'en ai rencontré, mais je me suis enfuis et ensuite, avec l'expérience, j'ai affiné ce sens du danger. Lorsque j'ai arrêté de vouloir me punir et cessé de me détester, que j'ai constaté que c'était une sexualité qui me plaisait, j'ai commencé à être plus sélectif et à choisir mes partenaires.

J'ai pourtant des fantasmes plutôt hard : fantasme de viol, prostitution, mais je les aborde sous l'angle du plaisir.