Voici donc l'histoire que j'avais postée dans le forum sinistré, je la remets ici en relookant un peu le texte, par de minimes modifications, j'espère vous intéresser encore ainsi que les nouveaux inscrits qui découvrirons peut être ce texte.
Chapitre un, mallfrats dans la cité.
Je suis vigile dans une cité, mais je n’ai rien du type balaise, je n’ai pas la carrure garde du corps je n’ai jamais eu l’occasion d’arrêter un voleur ; je ne suis pas armé même pas d’un teaser, hé non je ne suis pas un policier.
Je suis chargé de surveiller plus ou moins bien les faits et gestes des quelques jeunes de la cité, pour éviter d’éventuels vols à l’étalage dans les boutiques qui occupent les rez-de-chaussée, et la pharmacie du coin par crainte des vols de produits stupéfiants. Je n’avais donc pas trop de souci, les quelques jeunes qui fumaient parfois un joint dans les entrées d’immeubles en plaisantant avec les filles, ne me semblaient pas présenter un gros danger.
Mais je craignais que nous ayons un jour un méchant événement dans cette cité ; et voila cela est arrivé, et a changé ma vie.
Quelques mecs venus d’ailleurs, plus avancés en âge, habillés avec recherche, cravate chemise de prix, beau futal souliers vernis, leur prestance éveillait l’intérêt des filles. Ils ne s’étaient pas mêlés aux groupes de jeunes, mais plus discrètement ils faisaient la causette à quelques filles quand elles n’étaient pas accompagnées de leurs jeunes copains habituels.
Un soir après 19h je vis quatre hommes de ces hommes descendre dans les sous sols avec des filles. Les boutiques ayant fermé leurs portes, ma surveillance était levée, mais j’estimais espérant ne pas être remarqué, devoir discrètement suivre ce petit groupe. Ils étaient tous entrés dans une cave dont il avaient repoussé la porte sans verrouiller. J’avais pris des précautions d’approche et donc un peu de retard sur la troupe de filles et garçons, et quand je fus en mesure d’entrouvrir un peu cette porte les filles n’étaient plus libres. Je vis que les quatre fille étaient tenues sous la menace d’un revolver par l’un des hommes, tandis que les trois autres étaient en train de les déshabiller totalement, les obligeant à se tenir debout contre l’un des murs.
N’osant pas trop intervenir je tendis l’oreille afin de découvrir le projet de ces types et je compris qu’ils étaient proxénètes et recrutaient pour la prostitution.
La voix d’une fille, pleurnichant.
« Mais vous nous aviez dit que vous faisiez de la photographie de modèles pour la presse de mode.
- Le mec tenant le revolver, non ma cocotte qu’est ce que tu crois, que ta petite gueule irait très bien en couverture d’un magasine, non mais je rêve !
- Un autre mec, wouaah je pouffe, qu’est ce qu’elle se croit celle-là, c’est pas sa gueule qui nous intéresse, mais son cul, vous êtes tout juste bonnes à gagner du fric avec vos fesses, et nous allons vous apprendre à faire ça ; non mais sans blague !
- La fille ne pleurnichant plus, saletés va espèces de merdes.
- Le mec au revolver, salope attends un peu tu vas comprendre ton bonheur, »
Il s’approche de cette jeune femme nue adossée au mur, et lui écartant les jambes il lui enfonce le canon de son revolver dans le sexe.
« Tu vois salope encore un mot comme ça et j’explose ton sac à merde ».
Trop déconcentré par les propos que j’entendais, perdant un peu de ma prudence j’avais ouvert plus largement la porte, l’un d’eux m’apercevant m’obligea à venir avec eux.
Ce fut à cet instant précis que survint l’événement qui influença pour moi et tous ces gens la poursuite ou non de l’existence.
Je venais tout tremblant de répondre à l’injonction de ces malfrats, quand la porte de la cave fut brusquement poussée par une femme brune, typée genre gitane, cheveux noirs tombant jusqu’à la taille, chemisier blanc ouvert sur un large décolleté révélant une forte poitrine, robe à volants chaussures à hauts talons.
Cette femme brandissait sa main droite vers nous, les quatre hommes et moi-même confondu avec les autres.
J’ai senti une chaleur m’enveloppant et l’impression que mes chairs muscles et os grésillaient, que mon sang entrait en ébullition, je me suis rendu compte que mon environnement devenait immense j’ouvris des yeux exorbités.
Les quatre filles dénudées et cette gitane me paraissaient géantes alors que les quatre malfrats étaient apparemment devenus aussi petits que moi, c’était de la magie.
La suite pris bientôt des allures dramatiques ; de la folie associée à la vengeance des femmes humiliées.
La gitane leur expliqua rapidement quelle surveillait ces hommes et connaissant leurs intentions, était intervenue en utilisant l’étonnante propriété d’une bague qu’elle possédait de sa grand-mère décédée.
« Vous voyez quand je dirige le rayon magique de la bague sur les personnes que je veux punir de leurs méfaits, ils sont rapetissés à des tailles minuscules. Ces hommes maintenant si petits, je vous les laisse, faites en ce que vous voulez, vengez vous ».
Celle qui avait été menacée sexuellement par l’homme au revolver, attrapa alors celui-ci, devenu plus petit qu’une main d’adulte, le revolver inefficace ayant échoué par terre.
« Toi, je vais te bouffer tout cru dit-elle».
Elle arracha sans effort ses habits, le mettant nu dans la minute ; il gigotait mais ne pouvait se libérer, joignant le geste à la parole elle avait ouvert la bouche la refermant sur la tête de ce petit homme, elle remuait les joues comme pour mâcher, et je vis le petit corps gesticulant être aspiré, totalement disparaître dans la bouche de la fille. Je vis aussi avec effroi la gorge de cette femme gonfler comme on avale une grosse bouchée, puis plus rien. Elle avait mangé son tortionnaire.
Malgré mon peu de sympathie pour ce malfrat, j’étais horrifié par ce que je venais de voir, mais la gitane semblait trouver la scène cocasse, elle dit.
« Tu as bien fait jeune fille voila le sort qu’il méritait, et tu me donne de bonnes idées, amusez vous de ces truands mais laissez m’en un ou deux, je m’amuserai aussi à leurs dépends».
Une autre fille gagnée par l’enthousiasme général, se saisit d’un autre petit homme, et encouragée par les cris de joie de ses copines, le déshabilla comme on arrache les ailes d’une mouche, le mis tout frétillant dans sa bouche et commença à le mâcher, cependant il semblait qu’elle ne réussissait à l’avaler elle le recracha tout luisant de salive pendant quelques instants, puis le repris en bouche et cette fois elle l’avala.
Alors, bien que détestant ces bandits, j’eus envie de prendre leur défense.
D’une voix fluette à peine audible je me suis adressé à la gitane pour lui demander de faire cesser cette méchante comédie, mais elle me dit. toi tu te tais.
« Si tu ne fait pas partie de la bande, tu est le responsable du bloc d’immeuble tu n’as pas bien fait ton boulot ; car ces malfrats rodaient depuis assez longtemps pour que tu prévienne la police ».
La première des filles cannibale renchérit en déclarant,
« Ils méritent tous la mort, ils voulaient nous prostituer, ils m’ont traitée de salope et bien maintenant il ne seront plus que de la merde et quelques os, bien fait pour eux » !
Toutes elles éclatèrent de rire, et je n’eus plus qu’un souci, me faire vite oublier.
Mais je pensais au calvaire que ces deux hommes avaient subit, leur glissade dans l’œsophage et l’estomac, de ces filles plein d’un infâme mélange acide.
J’espérais être traité avec plus de mansuétude.
Cependant la gitane leur dit.
« Cela suffit maintenant les filles, les trois minus qui restent laissez les moi, j’ai des projets pour eux ».
Ainsi je me voyais, grande ingratitude, incorporé dans les affreux.
Pendant que les filles se rhabillaient, elle avait sorti d’une poche de sa robe, un petit sac en mailles d’or fermé par une chaînette de même métal dans lequel elle mis les deux bandits.
Puis elle m’attrapa et me regardant avec un sourire narquois.
«Toi tu tremble de peur, je te laisserai peut être la vie sauve, mais j’ai auparavant, quelques projets très érotiques, pour le moment je t’offre une charmante prison ».
Disant cela elle a soulevé sa robe, écarté la lisière du string qu’elle portait en dessous, et m’a plaqué contre son ventre entre les lèvres de son sexe, j’ai suffoqué manquant de respiration, la situation où j’étais ne me laissait aucune défense, aucun moyen de m’échapper.
A suivre:
Mes aventures érotiques et éprouvantes de petit homme.
_________________ Les gens qui ont peu d'affaires sont de très grands parleurs : moins on pense, plus on parle. Montesquieu
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