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 Sujet du message : Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 21:22 
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Peut-on remettre ici d'anciens récits parus dans les histoires de forums disparus dans le crash de vassilia ?

Il existait dans le forum détruit un chapitre intitulé, histoires de forums un peu similaire à ce chapitre, histoires Vassiliennes, quelques topics créés pour proposer des récits de fictions ne pouvant, pour diverses raisons être acceuillis sous le générique "récits de Vassilia", mais qui cependant semblent avoir receuilli les suffrages des lecteurs.

Parmi ces récits, il en est un, qui avait obtenu quelques suffrages, j'en parle car j'en étais l'auteur :oops: et que j'avais nommé histoire de sortilège.

Ce récit n'est pas perdu j'en ai conservé la sauvegarde et je pense pouvoir le remettre ici, mais je voudrais l'opinion de quelques membres, pour savoir si c'est une bonne idée,je ne recherche pas un satisfecit.

Je pourrais remettre à jour ce récit peut être en modifier quelques lignes, et d'abord expliquer le contexte dans lequel je l'avais créé à savoir un autre topic sorti d'un contexte différent, nommé "la bague magique de Véronique".

Quelques membres savent de quoi je parle et ne seront pas intéressés par une relecture, mais je peux cependant leur demander s'ils voient un empêchement à une réédition. Enfin ce serai probablement nouveau pour quelques membres récemment inscrits.

D'autre part je ne suis pas le seul à avoir mis dans cet ancien espace réservé à des histoires ne pouvant paraître dans la rubrique récits, des textes intéressants et qui gagneraient à étre réédités.

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MessagePosté : mar. 07 déc. 2010, 23:51 
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Paul, cette rubrique a la même vocation, elle a juste été renommée.


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MessagePosté : mer. 08 déc. 2010, 21:26 
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Histoire de sortilèges.

Je m’étais inspiré d’une histoire fantastique, intitulée « la bague magique de Véronique » trouvée dans un forum de « aufeminin.com » par un membre inscrit chez Vassilia sous le pseudo de « nain ».

Cette histoire décrivait le sort réservé, par une femme pour se venger, à trois hommes proxénètes, les ayant réduits par magie à de minuscules homoncules, elle les utilisait comme des sex-toys pour finalement les tuer, en les avalant ou bien les étouffant lors d’un orgasme dans une pénétration vaginale.

Le récit que j’ai imaginé est différent dans le fait que je raconte les sévices subis par l’un des hommes qui n’étant pas coupable au même titre que les autres humains mais quand même rapetissé ne va pas être tué par cette femme, il aura la vie sauve non sans avoir subit de multiples sévices de l'ordre des dominations sexuelles.

Le récit m’ayant servi d’argument était incomplet il y manquait un début et une fin peut être jamais écrits, j’ai donc imaginé les chapitres d’introduction et de fin qui faisaient défaut dans l’histoire de référence. Quelques membres inscrits sur l’ancien forum de Vassilia, connaissent mon récit pour l’avoir déjà lu, peut être auront-ils envie de le relire j’y apporterai de minimes modifications, suppressions ou ajouts, et j’espère intéresser les nouveaux et nouvelles adeptes de ce nouveau forum aussi intéressant sinon plus dans son nouveau look.
Ce texte est à considéré comme étant un prélude.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : jeu. 09 déc. 2010, 12:23 
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Voici donc l'histoire que j'avais postée dans le forum sinistré, je la remets ici en relookant un peu le texte, par de minimes modifications, j'espère vous intéresser encore ainsi que les nouveaux inscrits qui découvrirons peut être ce texte.

Chapitre un, mallfrats dans la cité.

Je suis vigile dans une cité, mais je n’ai rien du type balaise, je n’ai pas la carrure garde du corps je n’ai jamais eu l’occasion d’arrêter un voleur ; je ne suis pas armé même pas d’un teaser, hé non je ne suis pas un policier.

Je suis chargé de surveiller plus ou moins bien les faits et gestes des quelques jeunes de la cité, pour éviter d’éventuels vols à l’étalage dans les boutiques qui occupent les rez-de-chaussée, et la pharmacie du coin par crainte des vols de produits stupéfiants. Je n’avais donc pas trop de souci, les quelques jeunes qui fumaient parfois un joint dans les entrées d’immeubles en plaisantant avec les filles, ne me semblaient pas présenter un gros danger.

Mais je craignais que nous ayons un jour un méchant événement dans cette cité ; et voila cela est arrivé, et a changé ma vie.

Quelques mecs venus d’ailleurs, plus avancés en âge, habillés avec recherche, cravate chemise de prix, beau futal souliers vernis, leur prestance éveillait l’intérêt des filles. Ils ne s’étaient pas mêlés aux groupes de jeunes, mais plus discrètement ils faisaient la causette à quelques filles quand elles n’étaient pas accompagnées de leurs jeunes copains habituels.

Un soir après 19h je vis quatre hommes de ces hommes descendre dans les sous sols avec des filles. Les boutiques ayant fermé leurs portes, ma surveillance était levée, mais j’estimais espérant ne pas être remarqué, devoir discrètement suivre ce petit groupe. Ils étaient tous entrés dans une cave dont il avaient repoussé la porte sans verrouiller. J’avais pris des précautions d’approche et donc un peu de retard sur la troupe de filles et garçons, et quand je fus en mesure d’entrouvrir un peu cette porte les filles n’étaient plus libres. Je vis que les quatre fille étaient tenues sous la menace d’un revolver par l’un des hommes, tandis que les trois autres étaient en train de les déshabiller totalement, les obligeant à se tenir debout contre l’un des murs.

N’osant pas trop intervenir je tendis l’oreille afin de découvrir le projet de ces types et je compris qu’ils étaient proxénètes et recrutaient pour la prostitution.

La voix d’une fille, pleurnichant.
« Mais vous nous aviez dit que vous faisiez de la photographie de modèles pour la presse de mode.
- Le mec tenant le revolver, non ma cocotte qu’est ce que tu crois, que ta petite gueule irait très bien en couverture d’un magasine, non mais je rêve !
- Un autre mec, wouaah je pouffe, qu’est ce qu’elle se croit celle-là, c’est pas sa gueule qui nous intéresse, mais son cul, vous êtes tout juste bonnes à gagner du fric avec vos fesses, et nous allons vous apprendre à faire ça ; non mais sans blague !
- La fille ne pleurnichant plus, saletés va espèces de merdes.
- Le mec au revolver, salope attends un peu tu vas comprendre ton bonheur, »

Il s’approche de cette jeune femme nue adossée au mur, et lui écartant les jambes il lui enfonce le canon de son revolver dans le sexe.
« Tu vois salope encore un mot comme ça et j’explose ton sac à merde ».

Trop déconcentré par les propos que j’entendais, perdant un peu de ma prudence j’avais ouvert plus largement la porte, l’un d’eux m’apercevant m’obligea à venir avec eux.
Ce fut à cet instant précis que survint l’événement qui influença pour moi et tous ces gens la poursuite ou non de l’existence.

Je venais tout tremblant de répondre à l’injonction de ces malfrats, quand la porte de la cave fut brusquement poussée par une femme brune, typée genre gitane, cheveux noirs tombant jusqu’à la taille, chemisier blanc ouvert sur un large décolleté révélant une forte poitrine, robe à volants chaussures à hauts talons.
Cette femme brandissait sa main droite vers nous, les quatre hommes et moi-même confondu avec les autres.

J’ai senti une chaleur m’enveloppant et l’impression que mes chairs muscles et os grésillaient, que mon sang entrait en ébullition, je me suis rendu compte que mon environnement devenait immense j’ouvris des yeux exorbités.

Les quatre filles dénudées et cette gitane me paraissaient géantes alors que les quatre malfrats étaient apparemment devenus aussi petits que moi, c’était de la magie.
La suite pris bientôt des allures dramatiques ; de la folie associée à la vengeance des femmes humiliées.
La gitane leur expliqua rapidement quelle surveillait ces hommes et connaissant leurs intentions, était intervenue en utilisant l’étonnante propriété d’une bague qu’elle possédait de sa grand-mère décédée.

« Vous voyez quand je dirige le rayon magique de la bague sur les personnes que je veux punir de leurs méfaits, ils sont rapetissés à des tailles minuscules. Ces hommes maintenant si petits, je vous les laisse, faites en ce que vous voulez, vengez vous ».

Celle qui avait été menacée sexuellement par l’homme au revolver, attrapa alors celui-ci, devenu plus petit qu’une main d’adulte, le revolver inefficace ayant échoué par terre.
« Toi, je vais te bouffer tout cru dit-elle».

Elle arracha sans effort ses habits, le mettant nu dans la minute ; il gigotait mais ne pouvait se libérer, joignant le geste à la parole elle avait ouvert la bouche la refermant sur la tête de ce petit homme, elle remuait les joues comme pour mâcher, et je vis le petit corps gesticulant être aspiré, totalement disparaître dans la bouche de la fille. Je vis aussi avec effroi la gorge de cette femme gonfler comme on avale une grosse bouchée, puis plus rien. Elle avait mangé son tortionnaire.

Malgré mon peu de sympathie pour ce malfrat, j’étais horrifié par ce que je venais de voir, mais la gitane semblait trouver la scène cocasse, elle dit.
« Tu as bien fait jeune fille voila le sort qu’il méritait, et tu me donne de bonnes idées, amusez vous de ces truands mais laissez m’en un ou deux, je m’amuserai aussi à leurs dépends».

Une autre fille gagnée par l’enthousiasme général, se saisit d’un autre petit homme, et encouragée par les cris de joie de ses copines, le déshabilla comme on arrache les ailes d’une mouche, le mis tout frétillant dans sa bouche et commença à le mâcher, cependant il semblait qu’elle ne réussissait à l’avaler elle le recracha tout luisant de salive pendant quelques instants, puis le repris en bouche et cette fois elle l’avala.

Alors, bien que détestant ces bandits, j’eus envie de prendre leur défense.
D’une voix fluette à peine audible je me suis adressé à la gitane pour lui demander de faire cesser cette méchante comédie, mais elle me dit. toi tu te tais.

« Si tu ne fait pas partie de la bande, tu est le responsable du bloc d’immeuble tu n’as pas bien fait ton boulot ; car ces malfrats rodaient depuis assez longtemps pour que tu prévienne la police ».
La première des filles cannibale renchérit en déclarant,
« Ils méritent tous la mort, ils voulaient nous prostituer, ils m’ont traitée de salope et bien maintenant il ne seront plus que de la merde et quelques os, bien fait pour eux » !
Toutes elles éclatèrent de rire, et je n’eus plus qu’un souci, me faire vite oublier.

Mais je pensais au calvaire que ces deux hommes avaient subit, leur glissade dans l’œsophage et l’estomac, de ces filles plein d’un infâme mélange acide.
J’espérais être traité avec plus de mansuétude.

Cependant la gitane leur dit.
« Cela suffit maintenant les filles, les trois minus qui restent laissez les moi, j’ai des projets pour eux ».
Ainsi je me voyais, grande ingratitude, incorporé dans les affreux.
Pendant que les filles se rhabillaient, elle avait sorti d’une poche de sa robe, un petit sac en mailles d’or fermé par une chaînette de même métal dans lequel elle mis les deux bandits.
Puis elle m’attrapa et me regardant avec un sourire narquois.

«Toi tu tremble de peur, je te laisserai peut être la vie sauve, mais j’ai auparavant, quelques projets très érotiques, pour le moment je t’offre une charmante prison ».
Disant cela elle a soulevé sa robe, écarté la lisière du string qu’elle portait en dessous, et m’a plaqué contre son ventre entre les lèvres de son sexe, j’ai suffoqué manquant de respiration, la situation où j’étais ne me laissait aucune défense, aucun moyen de m’échapper.

A suivre:
Mes aventures érotiques et éprouvantes de petit homme.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : ven. 10 déc. 2010, 09:53 
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Aller hop comme promis, un deuxième chapitre vite reconstitué compte tenu d'un petit relooking, c'est du repiquage, surtout pour le profil des nouveaux membres.

Deuxième chapitre

Les aventures érotiques et éprouvantes

Triste situation que des pouvoirs diaboliques me faisaient connaître maintenant, ce n’était pas douloureux mais humiliant et surtout inconfortable. Jamais dans mes fantasmes les plus fous dans mes désirs érotiques les plus extravagants, je n’avais imaginé pareille situation, être prisonnier d’un sexe de femme et ce n’était pas agréable !

J’avais chaud, je respirais difficilement, au bord de l’asphyxie, à mon échelle d’homoncule entre les lèvres de ce sexe gigantesque, qui m’emprisonnait et m’engluait dans des liquides visqueux immondes, et qui prenait l’allure d’une bête vivante et maléfique voulant me dévorer.

Je me faisais du souci pour mes habits, j’y avais mis un certain prix ; chemise Lacoste, pantalon en lin, mocassins, ah mes mocassins le cuir va être taché maintenant ils sont foutus ; oh mais suis-je bête tout est déjà foutu mes habits sont été rapetissés à ma dimension de poupée jouet, qu’importe donc que chemise et pantalon soient englués dans les substances infectes qui m’imprègnent maintenant.

Je glissais entre ces parois m’emprisonnant, encore heureux qu’elle ne m’ai pas positionné la tête en bas, la bande de tissu de son string me retenait, mais cette nana n’arrêtait pas de bouger les cuisses, prenant son pied probablement ; comment faire pour un peu moins d’inconfort. Je réussis à me tourner sur le coté afin d’avoir un peu plus d’air et respirer sans avaler à tout instant les fluides que son sexe sécrétait.

Cette femme était perverse, elle n’était pas seulement déterminée à exercer un rôle de justice en punissant et supprimant des bandits proxénètes, dont je n’avais d’ailleurs pas fait partie ; mais elle profitait ignoblement du pouvoir de domination que lui donnait ce bijou maléfique, pour satisfaire des caprices sadiques. L’événement avait changé de niveau ; la punition exercée sur ces bandits, était certainement prétexte pour assouvir des penchants sexuels inavouables.

Toujours est-il qu’étant coincé entre les lèvres de sa vulve, je n’avais pas d’information tactile ou visible sur ce qui se passait autour de moi. Je percevais un mouvement organique de pressions et relâchements saccadés gauche droite ; la masse de son clitoris relativement énorme, à mon échelle, venait sans cesse heurter mon front tandis que le capuchon coiffait mon crâne chauve. Ces mouvements et frottements provoquaient à n’en pas douter du plaisir à cette femme qui m’avait ainsi emprisonné.
J’étais plongé dans un bain liquide organique et parfois, obligé d’avaler de pleines gorgées en respirant.

Pour finir j’eus l’impression qu’elle montait un escalier son sexe me comprimait d’une autre façon plus verticale.
Enfin elle m’a sorti de ma prison, j’étais au bord de la perte de connaissance ; elle a même crié dans mes oreilles que j’avais provoqué la souillure de son sous-vêt et de sa robe par ma présence qui excitait sa libido.
« Puis quoi encore, ce n’est pas moi qui suis allé me cacher dans sa chatte enfin» !

Elle a arraché mes vêtements détrempés par ses fluides corporels, puis m’a déposé dans une sorte de bocal en verre, un aquarium peut être, il m’était impossible d’en sortir mais je voyais au travers de la paroi ce qui se passait à l’extérieur. Cela me confirmait ses mauvaises intentions de se servir de nous comme des jouets érotiques.
Elle avait sorti de son sac les deux autres hommes miniature qui devenaient par le fait mes compagnons de misère, et elle les manipulait contre ses seins débraillés du corsage, dont les mamelons dressés témoignaient de son plaisir. Je regardais donc avec intérêt, le sort qu’elle leur réservait, car je ne perdais pas de vue que je subirais peut être des sévices semblables.

De la prison de verre où malgré moi je me trouvais, je pouvais voir ce qui se passait à l’extérieur, mais en images déformées, les parois de ce bocal aux formes convexes se comportaient comme un miroir déformant, ce qui rendait les choses plus effrayantes encore selon la position qu’occupait la femme dans mon angle de vue.
Maintenant qu’elle se déshabillait ses seins paraissaient au fil de ses mouvements parfois plus gros, parfois plus allongés, déformations d’images qui donnaient à la scène un caractère fantasmagorique. Quand en frottant de différentes manières, les hommes miniaturisés contre ses seins, bientôt elle fut nue.

C’était une jolie femme, la regardant j’en oubliais mon infortune, sa poitrine opulente et arrogante, sa taille mince sur des hanches bien pleines sans excès, ses fesses rondes et fermes, son sexe épilé et lisse, brillant de liqueurs suintantes. Elle avait accroché ses habits et sous vêtements, à un fil d’étendage c’était ici une salle de bain, et déposé l’un des deux petits mecs dans le bonnet du soutien gorge, qui avait une taille suffisante et servait ainsi d’hamac improvisé.
Elle conservait en main l’autre minuscule humain et l’avait approché de son visage elle le manipulait du souffle et de la langue, le caressant ainsi et le léchant, je regardais en me disant.
« qu’est ce encore que ce cirque, elle le caresse ah oui, elle s’en sert comme d’un jouet, la garce ».

Puis, elle l’introduisit dans sa bouche, il commença à hurler, et j’en oubliais l’intérêt de voyeur que j’avais eu jusque là. Ainsi cela allait recommencer, comme les autres filles elle voulait le manger, sa tête dépassait encore de la bouche de la femme et il couinait de peur désespérément, ses cris furent étouffés dès qu’il eu complètement disparu. Puis avec un gloup qui me fit frémir je compris que cette fois encore un homme allait être digéré vivant.

Dans son hamac improvisé l’autre petit humain, peut être épuisé par ses frayeurs, semblait être endormi, alors que la femme gavée peut être de vilaines pratiques était allée dans une autre pièce.
Je me retrouvais seul avec mes peurs dans ce bocal dont les parois lisses et glissantes n’offraient aucune prise pour m’échapper.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : dim. 12 déc. 2010, 13:35 
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Topic reconstitué, troisième chapitre

Décès sous la torture
( C’est ce chapitre qui recoupe de plus près l'histoire de la bague magique, m’ayant servie d’inspiration et vue de l'autre coté du miroir.
Les prochains épisodes relateront les aventures du dernier survivant de cette tragique histoire).

J’étais prisonnier d’un tunnel sombre, chaud, et interminable, dans ce tunnel en pente raide je rampais entre des parois lissent et glissantes, essayant de sortir parce que de l’extrémité sous mes pieds des vapeurs acides, et des odeurs écœurantes remontaient. Etais-je en enfer, des piaillements aigus, des cris me parvenaient aux oreilles, les cris des damnés, l’enfer ?

Je me réveillais, ce n’était qu’un cauchemar je m’étais probablement assoupi et j’étais heureusement dans un rêve ; ces couinements aigus, étaient provoqués par le petit humain minuscule et m’avaient réveillé. Il s’était probablement échappé, était sorti du hamac improvisé où je l’avais vu endormi. Il courrait sur le carrelage de la salle de bain pour, sans grande efficacité essayer d’échapper à la main de la femme perverse qui allait l’attraper, et qui se jouait de l’instant comme une chatte avec une souris.

Ouf, content de retrouver une réalité moins crispante que l’enfer, quoique……

Ces piaillements de « souris » me vrillaient les oreilles car ils faisaient bizarrement vibrer les parois de verre de mon bocal prison. Mais il fût bientôt enserré entre les doigts de la femme puissamment refermés sur une liberté impossible, alors commençait pour moi une nouvelle étape de contemplation déprimante.

De mon observatoire, à moins de dormir je pouvais en effet observer tous les événements qui se déroulaient dans la salle de bain ; alors je vis la femme déposer sa prise gigotante au fond de la baignoire d’où il ne pouvait pas s’extraire, les parois émaillées offrant une surface lisse et glissante. Puis elle ouvrit les robinets eau chaude et eau froide, dans l’esprit de faire couler un bain où cet homme minuscule fût rapidement contraint de nager, elle introduisit également des sels et du bain moussant.

Comme elle était déjà nue elle se plongea dans le bain sans plus se préoccuper de la précaire situation de survie à la nage, de son jouet persécuté, lequel avait visiblement des difficultés pour éviter les remous provoqués par les fesses et les hanches de la baigneuse lui tenant compagnie.

Elle avait appuyé sa nuque sur le bord de la baignoire afin de pouvoir presque flotter en surface, et attrapé son otage le déposant entre ses seins, elle pouvait ainsi s’amuser comme un bébé disposant d’un canard ou d’un poisson.

Mais ses amusements n’étaient pas innocents elle s’enfonçait ou se laissait flotter alternativement, provoquant des remous qui obligeaient le petit homme à s’accrocher à des mamelons de seins, aussi gros que sa tête de minus, et gonflés par le plaisir que prenait sa tortionnaire. Parfois les brusques mouvements qu’elle donnait faisaient glisser le petit homme qui se retrouvait pataugeant, alors qu’elle essayait de le coincer sous, ou entre ses fesses et ses cuisses. Quelquefois au hasard de ses efforts de survie c’était aux lèvres du sexe de la femme ou le clitoris ou de rares poils pubiens qu’il s’accrochait dans son affolement, pour encore le plaisir de la femme. Regardant cet homme minuscule se débattre car pour lui le plaisir était moins évident.

Enfin elle eut sans doute assez de ces jeux, ou bien elle avait obtenu les orgasmes qu’elle cherchait, elle sorti de ce bain laissant encore le petit homme épuisé essayer de survivre en nageant, pendant que tranquillement elle s’essuyait le corps le sexe la raie des fesses. Puis j’assistais alors à un nouvel épisode de tortures psychiques et mortelles ; elle attrapait le nageur rescapé ne lui laissant même pas un instant de repos elle l’avait approché cette fois non pas de sa bouche mais de sa chatte dont les lèvres luisantes et très écartées rendaient visibles les nymphes du vagin et le clitoris gonflé décapuchonné.

Alors commençait un nouvel acte de la pièce à laquelle elle me faisait assister, elle avait d’abord enfouit les pieds les jambes puis les hanches de l’homme miniature dans son sexe en appliquant un mouvement de va et vient, de plus en plus rapide et de plus en plus profond, le buste puis la tête. Seuls les bras levés comme les noyés qui s’affolent sortaient encore du sexe de la femme, le mouvement s’accélérait encore, et tout disparu plus rien n’était visible de ce godemiché improvisé et vivant.

Vivant, pas bien longtemps, car après quelques instants où je la vis calmée et rassasiée de plaisir je pus observer qu’à l’aide de ses doigts introduits, elle le faisait ressortir inerte et sans vie, comme un tampon usagé.

Ayant vu tout cela je me demandais quel serait mon sort, valait-il mieux être assassiné dans un estomac ou bien dans un vagin comprimé par l’orgasme ?
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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 14 déc. 2010, 22:50 
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Voici le quatrième chapitre

Lendemain et premier petit déjeuner.

Après s’être bien amusée ainsi dans ce rôle de femme sadique et fatale, sans doute comblée et fatiguée, elle disparut à ma vue en allant dans une autre pièce, le soir venu et l’obscurité de la nuit, couché au fond de mon bocal sans espoir d’évasion, je finissais par m’endormir.

Je vous raconterai maintenant, mes aventures au présent car j’ai conservé la vie sauve.
Je suis enfin libre, j’ai vécu de nombreux événements, j’ai eu de grandes peurs de mourir, je me suis parfois violemment disputé avec cette femme diabolique. Il m’arrivait même de ne plus craindre la mort les sévices inventés par cette femme dépassant les imaginations les plus folles je pensais en fin de compte plus reposant de mourir.
J’ai également eu à subir les caprices d’une de ses amies venue lui rendre visite pendant le week-end
J’ai retrouvé ma taille normale, car le maléfice pouvait être inversé, ce qu’elle a accepté de faire, sur ma promesse de ne pas trahir son identité, mais bien sûr après m’avoir fait subir de multiples sévices
Pour retrouver ma taille normale j’aurais promis n’importe quoi, mais peut être que je pourrai me venger.

Voici donc la journée du lendemain, je me réveille sous l’éclairage d’un rayon de soleil qui accroche mon bocal prison. Pendant mon sommeil le cauchemar du tunnel n’est pas revenu, merci mon dieu, l’enfer est sur terre et je n’ai pas besoin du sommeil pour le vivre.
Elle est devant moi me regardant soupirer et m’étirer en m’éveillant sur cette couche en verre non matelassée, très inconfortable.
Elle est nue encore, cette femme vit donc nue ? Ah c’est vrai je crois bien que c’est samedi matin un week-end commence, quelle sorte de week-end vais-je vivre. Mais elle peut se prélasser et se livrer aux caprices qui lui passent par la tête.

« - Alors petit poisson, elle me dit est ce que tu as bien dormi peut être as-tu faim, peut être as tu soif. »
Qu’est ce qui lui prend de devenir aimable je ne la porte pas dans mon coeur elle doit bien s’en douter, elle plonge la main au fond du bocal, m’attrape et me porte près de son visage.

« - Tu tremble de peur petit poisson, non je ne vais pas te manger.
- Vous n’allez pas me manger, je suis indigeste et vous n’êtes qu’une salope.
- Oh là mais dit donc va doucement, continue de râler et m’insulter, je vais te faire regretter ton insolence ».

En pouffant elle ajouta ;
« - je pourrais dans un proche moment, te faire trier les petits os du copain que tu m’as vu avaler hier et qui je sent vont bientôt ressortir.
Ainsi tu pourras reconstituer son squelette et donner une sépulture convenable à ce maquereau proxénète.
- D’abord ce n’était pas mon copain et je ne suis pas responsable de son comportement de proxénète.
- Ah tu n’est pas responsable, sais tu de quoi je t’accuse, c’est de non assistance à personne en danger, tu n’as rien fait pour porter secours aux pauvres filles qui auraient été bassement prostituées, les bandits sont maintenant morts je les ai punis, et si pour toi je ne prononce pas la mort mais une sorte de prison et quelques supplices, j’ignore encore jusqu’ou je désire t’entraîner ».

Puis elle me remis au fond du bocal, voyons, voyons, dit-elle.
« - Petit poisson tu est un poisson sans rivière, dans ce bocal tu pourrais prendre un bain.
Il me vient une idée en même temps qu’un besoin, un besoin de pipi, je viens de m’éveiller il y a peu et j’en ai très envie, ton bocal fera tout à fait l’affaire aujourd’hui ».

Cela étant elle approche son ventre et son sexe du bord supérieur de mon bocal prison, et en position debout tenant le bocal légèrement incliné elle urine dedans et sur moi. C’est pour moi homme lilliputien une énorme cascade qui me tombe sur le crâne arrosant tout mon corps, une cascade tiède bien sûr mais violente et abondante je sent le niveau du liquide monter atteindre mes genoux mon ventre mes hanches. J’ai quelques difficultés à conserver mon équilibre, le niveau atteint ma poitrine mes épaules et s’arrête, quelques gouttes encore surviennent sur mon visage et mes yeux qu’imprudemment j’ai levés afin de me rassurer sur l’épuisement de cette cascade et du niveau qui ne cessait de monter.

« - Voila petit homme j’ai fini tu vas peut être devenir un poisson mais tu dois avoir faim, un minuscule humain dans ton genre ne doit pas avoir besoin de nombreuses nourritures je vais vois ce que je peux faire pour toi.»

Je suis plutôt mal dans ce bain d’urine d’abord tiède mais se refroidissant et d’autre part très malodorant la surface se trouvant à quelques cm de mon nez et ma bouche, le moindre mouvement que je fait a pour effet de me soulever comme on nage mais je n’ai pas l’intention de nager la dedans, aussi mes efforts pour conserver l’équilibre et ne pas chuter dans un désagréable plouf deviennent vite épuisants.

Mais elle reviens, avec une banane épluchée et un petit cornet en polystyrène contenant une madeleine.

« - Voila, je t’apporte un peu de nourriture avec cette banane et une madeleine ça devrait te suffire pour un moment voit j’ai mis la madeleine dans un support qui la fasse surnager quand à la banane elle est trop lourde tant pis, mais je vais y mettre un peu de crème.»

Toujours aussi perverse et rusée elle introduit la banane dans sa vulve mais il me semble pour m’être désagréable et pas assez longtemps se faire jouir, puis elle laisse tomber ce fruit dans mon bocal et le bain d’urine. Enfin elle pose le petit radeau contenant la madeleine, je comprends que si je veux manger je vais devoir faire preuve d’adresse, je vois qu’il y a aussi à coté de la madeleine un petit dès contenant du café, quelle gentillesse.
Je lui demande si elle pense me tenir ainsi prisonnier de son bain d’urine pendant très longtemps et si elle croit que je vais pouvoir manger dans ces conditions.
Elle me réponds qu’elle est en train de m’éduquer parce que les hommes ont abusé de leur pouvoir sur les femmes pendant des siècles et plus, et qu’il est tant d’inverser le sens de l’histoire. Je pourrais encore m’énerver, montrer ma colère à quoi bon, je n’ai aucun pouvoir et me révolter ne fera je le sais qu'augmenter la quantité de sévices qu’elle me réserve dans ses projets.

Essayer de manger dans cette situation relève du prodige, la banane reposant au fond du bocal est bien lourde pour le peu de force musculaire dont sont dotés mes minuscules membres je suis donc obligé de plonger mes mains la tenir à main gauche et de l’autre main en arracher des morceaux tout imprégnés d’urine que je peux ensuite porter à ma bouche, mais je n’ai rien mangé depuis le début de cette aventure et la faim me tenaille. Manger la madeleine est une opération encore plus difficile, car l’espèce de radeau flottant sur lequel elle se trouve risque de chavirer à chaque mouvement malhabile de ma part et je ne peux éviter qu’elle se mouille et s’imprègne. Au final ce déjeuner m’apporte plus d’inconfort qu’autre chose, et je me rends compte que ma tortionnaire apparemment occupée à se maquiller observe dans son miroir mes efforts plutôt inefficaces. Cette femme est un modèle de psychisme pervers, de plus en plus je la déteste.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : sam. 18 déc. 2010, 11:01 
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Suite de mon histoire, surtout pour les nouveaux membres, les anciens n'y verrons pas d'importants changements.

Cinquième chapitre

Une promenade particulière.

Ma perverse tortionnaire maquillage terminé, viens vers moi pour me dire :
«- Ah petit poisson, as-tu bien mangé ?»
La garce se moque encore de moi, je réponds que non pas vraiment bien mangé et puis je veux sortir de ce bain détestable.
« - Il était pourtant sympathique ce bain d’urine tiède et fraîche du matin et je crois que c’est bon pour la peau.
- De toute manière je veux sortir de là c’est humiliant, c’est froid et malodorant et ça me pique la peau.
- D’accord je vais vider ton bocal aller viens ».

Cela dit, sans précautions elle attrape mon bocal en me bousculant à l’intérieur me fait tomber dans la pisse. Elle se dirige vers le bac de douche, puis me renverse avec le bocal laisse couler dans la bonde, je me retrouve à plat ventre.

Enfin elle m’attache par la cheville avec une ficelle qu’elle avait préparée, l’autre extrémité au montant de la porte coulissant de la douche. Humiliation de plus me voila pris ; attaché par la patte comme les hannetons que j’empêchais de voler quand j’étais gosse.
« - Vous n’êtes qu’une sale garce vous savez.
-Ah mais non je t’éduque. Crois tu que ta minable petite vie de vigile vaut la peine ; alors qu’incapable d’empêcher une bande de malfrats de maltraiter des jeunes filles pour les envoyer sur le trottoir à Paris ; tu appellerais sans souci la police, si une mère de famille cache sous sa veste un sachet de deux tranches de jambon pour nourrir ses enfant au repas du soir».
Je ne discute plus elle aura toujours raison, ainsi prisonnier par la patte elle me laisse, et va dans une autre pièce de la maison.

Un assez long moment plus tard elle reviens tenant dans une main un plateau qui visiblement supporte quelques excréments dont certains plus longs même que ma taille de minus petit homme ; et parmi cela un petit crâne d’os comme une grosse noisette des orbites vides et un maxillaire inférieur, l’horreur absolue, de l’autre main une petite fourchette à escargots.

« - Regarde je te nomme médecin légiste mon grand, tu vas faire l’autopsie de ce squelette, chercher les autres os, nous dire de quoi il est mort et lui faire une sépulture plus honorable.
- Ah non pas ça tuez moi si vous voulez mais je n’y toucherai pas.
- D’accord je plaisantais tu te moque pas mal de la sépulture de ce mec et moi aussi alors rendons le à sa destinée, le wc c’est mieux ainsi ».
Elle repart et je commence vraiment à me faire du souci sur l’avenir qui m’est réservé.

Plus tard elle revient habillée cette fois d’une robe et d’un chemisier décolleté sans soutien-gorge la provocation semble bien être son quotidien, elle s’approche de moi qui suis assis sur le bac de douche pour me reposer, puis elle soulève sa robe pour que je constate que cette fois elle ne porte pas de culotte mais un collant bas résille, larges mailles.

Elle me détache et me rince sous un jet d’eau de la douche, parce que dit elle je ne sent pas bon, c’est même pis qu’une odeur de poisson. Puis me glissant sous les mailles de son collant, elle me fait pénétrer par les pieds dans son vagin, en m’expliquant qu’ainsi ma tête dépassant et retenue par les mailles je peux respirer et je ne risque pas de tomber.

« - Nous allons faire des courses me dit-elle sans rire, et je pense pouvoir encore profiter de ta présence, peut être mieux que si je prenais mes boules de geisha ».
Tiens donc, elle n’est jamais rassasiée toujours des jeux toujours des plaisirs, pour moi les plaisirs c’est moins sûr quoique, ma position cette fois est plus confortable qu’hier je ne suis plus asphyxié je respire mieux.
Pendant quand elle marche ou si elle gravit des escaliers les muscles de la gaine interne de son vagin exercent sur mon corps des petites pressions agréables, j’espère quand même quelle ne va pas m’écraser comme cela s’est produit avec l’autre homme miniaturisé, mais après tout ma situation est si peu enviable que vivre ainsi ou mourir la différence est bien mince.

Je ressent même au bout d’un moment une forme de plaisir que j’avais oublié en subissant des sévices et une érection me vient, est ce qu’elle s’en rend compte, je suis sans doute trop petit pour cela. Pourtant elle se sert de moi comme d’un sex-toy il doit bien y avoir une raison.
Elle va ici ou là elle entre dans des boutiques, monte ou descend des escaliers, un moment elle est descendue dans le métro, elle court pour attraper une rame.

Pose et moment de repos elle s’est assise à la terrasse d’un café, elle se penche vers moi qui suis toujours entre ses cuisses et à demi voix je l’entends dire.
« - Attention mon poisson ton érection heurte mon point G si tu continue je vais jouir et je ne réponds pas des conséquences pour toi, ton collègue s’en était mal trouvé.
- Moi je ne peux rien faire pour empêcher ce qui m’arrive, tirez moi ou tournez moi pour modifier ma position.
- Non attends je vais faire autrement nous descendons aux toilettes ».

Les toilettes, encore une surprise sans doute plus désagréable pour moi que l’inverse, je me rends compte qu’elle s’accroupit mais sans s’asseoir elle me dit.
« - Le ne m’assieds jamais sur le siège des toilettes publiques, tes taquineries de mon point G m’ont donné envie de pipi, mais je ne peux pas te sortir et te poser n’importe où.
Le sol carrelé n’est guerre propre et les ustensiles équipant cet endroit ne le sont pas non plus, te sortir et te remettre en place ensuite me ferai prendre un risque prophylactique, je te garde comme tu est, la résille du collant te maintiendra sans souci ».

Je pense, voila encore un prétexte qui n’a de valeur que l’importance qu’elle fait semblant de lui donner, et elle ajoute.
« - Peut être tu devras fermer les yeux et la bouche, prendre une grande respiration ».

Et voila c’est partit pour une nouvelle épreuve exotique si ce n’est érotique, je pourrai bientôt tenir un registre des mille facéties et perversions d’une sorcière mal aimée. Dans la position que j’occupe à l’intérieur de son vagin la source de la miction se trouve juste sous mon menton.
D’abord je perçois les contractions et autres petits phénomènes transmis par ses sphincters puis le jet survient avec force sous l’effet de pression, comme pour arracher ma tête, je sent mon corps glisser vers l’extérieur de cet étui ou je suis installé, mais les mailles du collant résille retiennent ma tête, je ferme les yeux et la bouche je retiens ma respiration, combien trente, quarante,cinquante secondes, une éternité.

« oops voila c’est fini, cela a calmé un peu l’excitation qui me prenait juste avant, mais j’en ai mis partout les mailles du collant et ta tête ont fait pulvérisation, tu n’avais pas de parapluie ? ».

Parapluie, drôle d’idée, des averses ou giboulées de ce genre je n’en connais pas beaucoup.

« Maintenant je vais te tourner afin que ton ventre soit orienté du coté opposé à mon point G je ne veux pas t’écraser comme l’autre dans un trop fort orgasme, tu est mon dernier souffre douleur et je n’ai pas prononcé la peine de mort contre toi.»

Et je pensais oui salope perverse continue à bien t’amuser.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : lun. 03 janv. 2011, 10:27 
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Voici donc pour celles et ceux qui n’auraient pas lu ce récit dans la précédente époque de Vassilia ; la suite des aventures de ce malheureux homme.

sixième chapitre

Un drôle de dessert

Ouf, nous voila rentrés, à la maison.
Hola, si je commence à ainsi, je suis mal barré !
La maison, ici ça n’a jamais été chez moi; c’est même le lieu de mes supplices, et ma prison, même délivré d’une des inventions perverses de cette garce, je ne suis pourtant pas libre ; soit attaché par une patte, ou placé à l’intérieur d’un bocal en verre, d’où je ne peux m’évader ; une prison.

Et c’est repartit, elle m’a sorti de la gaine de chair qui me coinçait, au gré des réactions musculaires de cet organe, elle m’a léché soit disant pour me nettoyer mais je sais que c’est une autre facette de ses fantaisies orgiaques, car cela me stresse toujours un peu, la crainte qu’il lui prenne l’envie de me bouffer.

Je ne vais pas pouvoir vivre longtemps avec tous ces tracas, c’est à devenir fou.
Ainsi elle m’a remis dans le bocal en verre disant, « repose toi petit poisson ».
Elle s’est fait couler un bain, et se prélassant dans la baignoire, réactiver mes craintes d’être encore utilisé pour satisfaire ses caprices, mais non pour le moment elle me fiche la paix.
Je suis extenué et roulé en boule au fond de mon bocal, je finis par m’endormir.

Je suis perdu dans une région inconnue, il fait chaud humide, j’étouffe dans toute cette chaleur, je suis coincé au fond d’une vallée, c’est quoi tout ça suis-je dans une jungle inexplorée, les falaises qui m’entourent sont oppressantes. Ah voici une grosse averse de pluie chaude, le ravin où je me trouve se remplit très vite, au secours je vais me noyer !

Je me réveille c’était un rêve, mais la réalité n’est pas plus rassurante, j’ouvre les yeux sous un flot qui m’oblige à les refermer, c’est donc repartit elle ne modifie pas beaucoup ces distractions.

« Hello, petit poisson mais tu dormais ?
Désolée de t’avoir réveillé mon bain était agréablement réconfortant mais la chaleur de l’eau m’a donné envie de pipi, je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu’aux toilettes ton bocal était bienvenu.
Voila donc ton bain, et c’est du pipi tout frais prélasse toi je vais chercher de quoi te faire une petite collation.»

Un instant plus tard la revoilà avec une petite barquette de fraises soupoudrées de sucre.
« Regarde le bon petit dessert que je t’apporte.»
Puis elle plonge la main dans mon bocal, où je m’efforce de rester debout pour ne pas encore me noyer d’urine, elle m’attrape puis s’allongeant sur le carrelage elle me coince entre ses cuisses refermées.
Elle prend une fraise enveloppée de sucre et la glisse dans sa chatte, puis une autre encore, et me tenant dans l’autre main elle m’enfonce tête en avant dans son vagin disant va manger. J’ai à peine eu le temps de retenir ma respiration je glisse entre ces parois de chair puis mon crâne butte sur le fond, dans une gluante purée de fraise où ma tête est engloutie, mais elle me ressort et me couche sur le ventre entre ses nymphes garnies de compote de fraises, elle dit encore mange va, mange régale toi.

Elle appuie mon visage dans l’orifice de son vagin, dans cette confiture de fraises sucrée, elle me déplace aussi sur le promontoire durci de son clitoris qui est gonflé et qui se dresse bien plus gros que mon minuscule nez.
Je suis maintenant tout englué de fraises, j’ai malgré moi une érection, elle m’attrape encore pour me prendre dans sa bouche, et sucer la compote de fraise sur tout mon corps, la caresse de sa langue provoque malgré moi un orgasme que j’évacue dans sa bouche, quelle garce.

Mais ce n’est pas fini, car au gré de son extravagante gymnastique les fraises dont elle ne cesse de se garnir le sexe produisent une purée qui, je m’en rend compte lorsqu’elle me replace contre sa vulve et dans la raie de ses fesses que jusqu’à son anus la purée a coulé.
Mange me dit elle, mange nettoie bien ma chatte et mon cul maintenant, et elle coince ma tête à l’orifice de son anus m’obligeant à lécher et manger pour ne pas être étouffé dans la confiture de fraise sucrée, car le sucre en poudre quelle à utilisé fond à la chaleur du corps l’ensemble est devenu une confiture épaisse.

Apparemment son plaisir est important, elle m’inflige des postures variées parfois ma tête enfoncée à l’ouverture de l’anus ou parfois placée entre les lèvres écartelées de son sexe m’obligeant à manger les fraises sucrées mêlées, aux écoulement maintenant abondants provenant de ses orgasmes répétés.
Mais je finis par ne plus pouvoir avaler de cette confiture nouveau genre j’étouffe je m’étrangle, elle s’en rend compte.
« Ok dit donc tu as bien mangé, et j’ai bien joui, un vrai régal ce dessert tu est bien d’accord ? »
Et changeant de caprice elle me fait retomber avec un désagréable plouf dans le bain d’urine qu’elle m’avait fait au fond du bocal, à moi maintenant d’essayer de survivre malgré toutes ses misères.

Chaque jour donc, chaque moment pour un nouveau supplice nouveau caprice, dont je ne verrai jamais la fin.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 11 janv. 2011, 16:15 
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Septième chapitre

Une pénétration spéciale

je considère cette histoire comme un conte pour adultes je ne cherche pas à en faire un sujet crédible, ce qu’il n’était pas non plus dans l’original.

J’essaie d’imaginer l’état d’esprit d’une femme qui considère les hommes avec mépris et pense qu’ils sont de toute façon coupables de multiples mauvais traitements physiques et psychiques, des arguments qui lui permettent de justifier son comportement, envers ceux sur lesquels elle peut agir en vengeant toute la gent féminine.

Il est peu probable qu’une femme pense et se comporte de façon aussi perverse pour exercer toutes les humiliations possibles, j’invente de multiples actions qui reprennent un peu les sujets abordés quand on parle des sexualités alternatives. J’espère réussir à vous amuser je n’ai pas la prétention d’écrire un texte très littéraire.

Après qu’elle m’ait obligé à patauger dans sa confiture de fraises, puis replongé dans le bain d’urine qu’elle m’avait fait auparavant, et m’y laissant encore macérer assez longtemps pour me dégoûter à jamais d’urolagnie avec une partenaire aussi sexy soit-elle, elle revient m’en sortir comme l’autre fois en m’y bousculant pour m’emmener dans le bac de douche où elle me renverse avec le contenant.
C’est peut-être son obsession de me faire barboter dans sa pisse mais pour moi c’est l’obsession inverse qui prévaut je n’en peux plus il me semble que m’a peau est imprégnée de cette odeur, ma langue et mon palais en gardent le goût acre et amer, mon estomac même me renvoie des relents désagréables.
Cela me rend malade cette femelle est cinglée c’est une salope. Elle n’a même pas pris soin de nettoyer le fond de la douche en faisant couler l’eau.
Comme l’autre fois, elle me rattache par la cheville, je suis épuisé je reste couché sur le socle en faïence du bac de douche, mais toujours nu, j’ai froid ; le temps passe, me semble long car je n’ai pas d’autre repère que la lumière du jour déclinant pour l’évaluer.

Ah la revoilà, elle allume l’éclairage de la salle de bain elle est toujours nue ça doit être sa façon de vivre. Enfin elle me passe sous le jet d’eau ; c’est pas trop tôt ma peau est irritée par cette macération permanente d’urine. Elle me détache et m’essuie dans une serviette éponge. Qu’est ce qui lui prend ? Je suis surpris par cette gentillesse à moins que ce soit une autre perfidie ou a-t-elle été touchée par la grâce.

Voila maintenant qu’elle m’emmène dans la chambre. Elle me couche sur un drap éponge et commence à m’enduire le corps d’une huile parfumée ; la friction lente de ses mains sur tout mon corps a pour effet de me donner une érection, j’ose à peine croire à tant de gentillesse, après l’enfer serait-ce le paradis ? Je ferme les yeux, je reste coi. J’ai peur que ce ne soit qu’un recul pour mieux sauter.

Maintenant elle sort du tiroir de chevet un cordonné de soie qu’elle me passe sous les bras puis, faisant un noeud dans mon dos, termine en me ceinturant le buste. Qu’est ce qu’elle invente encore ? Je ne veux plus réfléchir, ces continuelles prises de tête m’épuisent. Elle repart dans la salle de bain en me tenant suspendu comme un pantin au bout de cette ficelle. Ce n’est pas très confortable d’autant qu’elle me balance comme un pendule.
Durant toute cette préparation elle n’a pas dit un mot, pas de petit poisson cette fois, et je n’ai pas posé de questions, par peur d’apprendre ce qu’elle me prépare. Sur le sol elle étale un tapis de bain, elle se couche sur le dos et tenant toujours en main le bout de la ficelle elle me met debout entre ses cuisses écartées ; évidemment, il fallait s’attendre à de nouvelles péripéties.
Je suis contre son sexe ; elle appuie sa main sur mon dos pour m’obliger à pénétrer entre les lèvres de sa vulve. J’ai eu le temps d’observer à la brillance de ses yeux que je vais encore subir ses caprices, je dois m’y faire !

Toujours est-il que la ficelle de soie qui est accrochée autour de mon buste m’inquiète vraiment car je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a un but à cela. Je ne tarde pas à comprendre ! Après quelques passades et frictions dans sa vulve, contre son clitoris et à l’entrée de son vagin, voila qu’elle me déplace vers son anus.
Elle replie ses jambes, et elle appuie sa main sur mon dos pour m’obliger à pénétrer cet orifice par les pieds, les jambes, puis mon bassin mes hanches et de nouveau elle me parle.


« - Tu vois poisson, tu est quand même un peu petit pour combler ma chatte, j’espère avoir avec toi d’autres plaisirs en cet endroit là, mais pour ne pas te perdre car cet étui n’a pas vraiment de fond, je t’attache, ainsi je pourrai plus facilement te ramener à l’air libre. »

Puis ce genre de spéléologie dans un corps humain commence pour moi. Je comprends maintenant le but de l’imprégnation de ma peau avec des huiles car elle n’a pas de grandes difficultés à poursuivre ma plongée en appuyant sur mes épaules. Je suppose qu’elle agit sur les muscles de son anus qui s’ouvre au passage de mon corps, maintenant ma tête ; j’ai acquis de l’entraînement et je prends une puissante aspiration avant de disparaître complètement. Cet étui naturel du corps de femme est plus resserré que le vagin je suis un peu plus compressé, je sent maintenant les muscles de son sphincter qui se relâche et se contracte.
Je me fait l’effet d’être un suppositoire je suis comme aspiré, elle possède la technique car me voici maintenant dans son rectum, la salope. Son sphincter s’est refermé sur moi, la panique me prend, mais elle a calculé son coup elle tire sur ma ficelle et ploc, me ressort juste avant que je n’étouffe.

« - Comment ça va poisson ? » me dit-elle.
« - tu as tenu 20 secondes d’apnée je vais faire ton entraînement, il faut que tu tienne plus longtemps d’accord ? On recommence on va gagner une seconde à chaque fois et puis soit plus adroit tu ne dois prendre ton souffle qu’au dernier moment. »
Et rebelote elle me repousse à l’intérieur de son cul.


Je pense que son plaisir a plusieurs facettes. Le plaisir organique d’abord comme si j’étais un plug et je suis certainement plus intéressant que ce genre d’instrument car je ne peux pas m’empêcher de me débattre : malgré moi je réagis, je me contracte, je frissonne, je bouge mes bras et mes jambes essayant de m'extraire dans l'autre sens. Les multiples passages qu’elle me fait subir dans son anus et son rectum me donnent un énorme stress à chaque fois l’impression que je vais mourir, que mes poumons vont éclater et dans la panique j’ouvre ma bouche j’essaie de trouver l’air qui me manque.
Puis l’humiliation qu’elle me fait subir, le plaisir psychique qu’elle en ressent. Hé oui quand elle se décide enfin à mettre fin à ce supplice je suis mort épuisé totalement, je m’écroule entre ses fesses, je me fait horreur, je sent mauvais.

La garce précise d’ailleurs :
« - Quel cochon tu fait tu est tout sale et tu pue ! »
Hé oui salope mais c’est toi qu’est sale je pense sans le dire.
« - Il faut que je te nettoie maintenant, viens. »

Et elle me traîne au bout de sa ficelle comme un chiffon jusque dans le bac de douche pour me pisser dessus, encore. Oui c’est une manie chez elle mais cette fois, cela me rend un peu plus propre. Je ne me suis pas vu dans un miroir mais ce que j’entrevoyais de mon buste jusqu'à ma taille n’était pas reluisant.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 18 janv. 2011, 15:46 
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Quelques lecteurs et lectrices de cette histoire parue avant le crash de Vassilia avaient fait des commentaires. J’espère que les nouveaux lecteurs apprécient également cette histoire fantastique.

Huitième chapitre

Inquiétudes pour mon avenir.

Des supplices à répétition c’est vraiment trop, cette femme est folle et criminelle. Sa récente fantaisie "tel le supplice de la baignoire, torture consistant à plonger plusieurs fois la tête du supplicié dans une baignoire pleine d’eau" aurait pu provoquer ma mort, ses distractions érotiques dépassent l’imagination...

J’en suis à me demander si la solution finale par avalement et plongée dans son estomac ou bien l’écrasement absolu dans l’orgasme de son vagin n’aurait pas été préférable.

Après m’avoir remis, presque sans vie au fond du bocal, où je récupère un peu, retrouvant en même temps que quelques forces, un semblant de raisonnement cohérent. Je me dis que demain dimanche sera la deuxième journée du week-end, par conséquent que va-t-elle faire de moi lundi, si elle doit reprendre son travail, à ce moment j’ignore encore que le sortilège peut être inversé, et je ne vois pas beaucoup d’espoir, dans mon avenir.

J’entends le claquement de talons de chaussures sur le carrelage, elle se déplace toujours nue, mais c’est une variante elle porte des bottines. Elle me ressort du bocal me pose sur le sol sur le dos, et ajuste sa chaussure, pour me piétiner sans m’écraser.
« - Alors poisson ça va mieux ?
- Oui salope mais dites moi, comment faisiez vous pour deviner l’instant où me faire ressortir avant de m’asphyxier complètement ?
- C’était très facile poisson, car à l’instant où tu commençais a étouffer tu étais pris de tremblements musculaires de mouvements mal coordonnés que je ressentais sur les muscles de mon sphincter et contre les parois de mon rectum, un vrai délice croit moi, aucun plug même vibrant ne procure d’aussi bonnes sensations. »
Salope, quelle salope; elle est dégoûtante de malice mais je reconnais qu'elle en fait un grand art.

« - Et tu vois insiste-t-elle l’exercice t’a été profitable tu as gagné 10 secondes au fil de la répétition des plongées; encore quelques séances d’entraînement et tu pourras t’inscire aux records de plongées sous-marine, oui je sais avec moi ce n’est pas le grand bleu, c’est plutôt le petit sombre dit-elle en riant.
Salope cause toujours je pense sans répondre, elle me tient sous sa chaussure et je ne peux pas bouger, mais elle soulève sa semelle, me retourne sur le ventre appuie de nouveau et dit :
- Je t’apporte un nouveau petit dessert. »

De la crème chantilly conditionnée en bombe, qu’elle projette sur le sol entre ses pieds à quelques cm de ma tête. Elle est donc accroupie au dessus de moi, qui suis toujours coincé sous sa chaussure, le nez sur le sol.
« - Ah mais j’ai encore envie de faire pipi, c’est un peu trop souvent va falloir que je consulte »
Voila qu’elle re-pisse ça ne finira donc jamais, son urine gicle sur le petit tas de chantilly devant moi, m’éclabousse à outrance de crème et de pisse.
« - Ah j’ai encore pissé sur mes chaussures cela aussi m’arrive trop souvent, et ton dessert pauvre poisson, il est tout délayé. »
Elle soulève son pied, me libère, mais me promène à plat ventre dans cette flaque dégeulasse.
« - Mange, lèche, allez lèche, si tu ne mange pas tu vas dépérir. »
Elle n’a pas totalement fini de pisser des petits jets viennent frapper ma tête.

Elle me verse maintenant du sucre en poudre sur la tête ; ça devient vite poisseux et comme elle appuie mon nez et ma bouche dans la flaque qui s’étire sur le carrelage je suis obligé de lécher et avaler pour pouvoir respirer, et elle dit :
« - Mais tu mange comme un cochon, regarde moi ça, tu t’en mets jusqu’au ventre, comment puis-je faire, ton éducation c’est vraiment difficile. »

Alors toujours accroupie et me tenant fermement dans sa main elle écarte sa chatte avec l’autre main et m’y enfonce par la tête en tournant comme une vrille, elle me fait ainsi faire plusieurs plongées et sorties. Puis elle m’écarte sans me libérer et se penche vers son sexe qu’elle fait semblant d’ausculter.
« - Cochon, me dit-elle, mon méat urinaire est maintenant englué de sucre, tu peux le déboucher avec un de tes doigts ils sont assez petits allez va. »

Et elle me repositionne dans sa chatte en m’ordonnant de nettoyer avec mon doigt l’orifice de son urètre, une autre de ses inventions, ses caprices sont infinis, pendant que je m’exécute enfonçant mon index dans son méat elle recommence à pisser, l’urine provoque la dilatation du conduit autour de mon doigt et gicle de nouveau en tous sens.

Puis arrive enfin le moment où elle cesse de me tourmenter elle me remet dans le bocal, tandis qu’elle essuie avec une serpillière, les saletés qu’elle à fait.
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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : sam. 22 janv. 2011, 13:26 
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Ah voila donc la suite.

Neuvième chapitre,

Connaissance avec une nouvelle femme.

Ouff enfin un peu de repos il fait totalement nuit, je me mets en boule au fond du bocal, il faut que je dorme, elle m’épuise cette salope .Je me suis endormi et cette fois pas de rêves, un oubli réparateur comme quoi même au fond d’un bocal on peut faire une bonne nuit.

Je m’éveille il fait jour ; ah je me souviens c’est dimanche aujourd’hui pas de bruit tout est calme, mais pas pour très longtemps, une sonnerie stridente me vrille les tympans, les parois de verre du bocal vibrent aussi.
La porte de salle de bain étant restée ouverte, j’entends des voix maintenant.
« - Ah Sylvianne bonjour me chérie je t’attendais, mets toi à l’aise,
- oui Maria oh j’ai chaud les escaliers à monter pour arriver chez toi, tu sais c’est crevant, et il fait chaud chez toi, bien sûr tu reste toujours nue.
- Oui mon cœur je me sent bien mieux nue on est obligées de s’habiller pour aller au boulot, chez moi je me relaxe, tu peux te déshabiller toi aussi prends tes aises. »

Je suis curieux de voir qui est là quelle est cette nouvelle femme, je regarde au travers la parois de verre de ma prison et je vois une grosse femme, ah celle-là ne souffre pas de la faim, elle acquiesce au conseil de sa copine la gitane, elle dégrafe sa jupe enlève son chemisier, libère de gros seins lourds, et dégage aussi des grosse fesses de sa culotte laissant son linge en petit tas sur le sol, apparemment, ces femmes me semblent très intimes.

« -Ah tu sais Maria j’ai besoin de me rafraîchir le visage j’ai eu tellement chaud, je vais dans ta salle de bain.
- Oh mais c’est quoi dit donc qui est dans ton aquarium, ce n’est pas une souris pas un poisson non plus.
- Ah non c’est un humain tu vois bien, je l’ai ramené d’une expédition punitive que j’avais entreprise dans la cité à coté, j’ai eu l’occasion de rapetisser des mecs que je voulais corriger, je te raconterai.
- Mais il est tout mignon on croirait un petit jouet. »

Disant cela elle m’attrape et me sort du bocal pour dit-elle m’examiner mieux, elle me tourne dans ses mains pour m’ausculter semble-t-il, elle me pose sur le sol, se penche pour encore m’observer.
Elle vacille par perte d’équilibre et floc elle tombe sur les fesses moi dessous écrasé. Je me retrouve coincé entre des énormes fesses tressautantes et glissantes imprégnées de transpiration qui se referment sur moi, coincé par les efforts qu’elle semble faire pour se redresser.
Enfin la voila à genoux moi coincé dans sa raie, mes tracas ne finiront donc jamais après l’une c’est l’autre ; passant son avant bras entre ses cuisses qu’elle écarte elle pose sur moi sa main potelée et intentionnelle il me semble, au lieu de me retirer de ce mauvais cas elle appuie sur mon dos et ma nuque, ma tête et mon buste s’enfoncent dans son anus palpitant ; elle me pousse j’en ai l’impression ne cherchant pas trop bien à m’extraire, mais en limite elle m’accroche par les chevilles et me ramène à l’air libre.

Quelle vie, à salope, salope et demi ; il me semble que celle-là ne vaut pas mieux que l’autre. Elle me remet debout sur mes pieds entre ses cuisses écartées, j’ai la vision d’une forêt de poils broussailleux qui s’étendent jusque dans la raie des fesses, ce prénom sylvestre qu’elle porte, Sylvianne me semble bien approprié ; elle me regarde me renifle.
« - La pauvre petite chose dit elle, en me regardant il s’est Sali, peut être je ne m’étais pas assez bien essuyée quand je suis allée au WC à mon réveil, comment le nettoyer. »

L’autre, Maria maintenant que je sais son nom, lui dit, tu n’as qu’a lui faire pipi dessus ça va le laver je crois qu’il aime bien, oui salope je pense, causes toujours.
Mais sur ce conseil l’autre pisse un énorme jet, n’ayant pas eu le temps de prendre une position de solidité sur mes jambes me voilà propulsé à 50 cm en arrière, et projeté sur le dos dans le bac de douche comme une quille.
Elle continue à m’arroser puis enfin me relève, essuie avec du papier WC les dernières traces sur ma peau. Me voila à nouveau dans ses mains pour une nouvelle tranche d’examen.
Alors non, je pense fichez moi la paix toutes les deux ça n’arrêtera donc jamais ?
Ouf elle me remet enfin dans le bocal.

« - Il est drôle dit donc ce petit mec, on en ferait bien un jouet !
- Oui c’est ce que j’en ai fait figure toi je te raconterai, mais tu sais finalement il est bien sympa, il accepte mes envies sans broncher. »

Bien sympa, salope va qu’est-ce tu crois que j’ai envie de faire si je pouvais me défendre, tu mérite des tonnes de gifles. Pendant ce temps la grosse poilue se fait couler la douche s’essuie avec une serviette éponge, me regarde encore avec un air égrillard, tout cela ne me donne pas de bien grandes espérances pour le déroulement de la journée. L’autre depuis le salon dans la pièce à coté l‘appelle, viens dit-elle j’ai plein de choses à te raconter.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : lun. 24 janv. 2011, 18:41 
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Dixième chapitre

Emmerdements dans le bocal

Me revoilà dans le bocal, en fin de compte là au moins je suis peinard pourvu qu’elles me foutent la paix c’est tout ce que je demande, elles m’épuisent et si elles s’y mettent à deux elles finiront par avoir ma peau.
Salopes, salopes, je pense en essayant de trouver le sommeil j’entends en bruit de fond leur bavardage dans le salon à coté, leurs éclats de rire aussi, je n’entends pas assez bien leurs paroles pour comprendre ce qu’elles disent et je m’en fout, je veux dormir, dormir.
Je commence enfin à m’assoupir quand un bruit de voix plus élevé me sort de ma torpeur c’est la voix de Maria la gitane.
« - Oui, tu sais où est la toilette dans la salle de bain, va chérie. »

J’ouvre les yeux et je vois l’autre, la grosse arriver, toujours à poil elle aussi, ça doit être deux lesbiennes ces pétasses, Maria à dit la toilette, elle parlait du WC j’imagine.
Mais que fait donc cette salope, elle pose ses grosses fesses sur les bords supérieurs de mon bocal, l’ouverture a juste la bonne dimension pour le confort de ses fesses.
Holà je m’inquiète !

Je n’ai pas le temps de réfléchir très longtemps, elle pisse un petit jet contre la paroi au dessus de ma tête puis l’horreur, je vois avec effroi le pourtour de son anus se gonfler, s’ouvrir comme une fleur monstrueuse, et un long excrément en sort et s’étire, bien plus long que ma taille de minus rapetissé, cela glisse entre ses fesses et les poils écartés ça s’allonge et tombe au fond du bocal.

A peine est-je eu le temps de reculer et me coller contre la paroi de verre dans mon dos, cette merde affreuse s’étale sur le fond et s’enroule comme un vilain reptile, un autre excrément plus petit vient s’échouer sur le premier, et l’ensemble reste en tas, c’est immonde et prend une partie de mon espace vital.
Je reste collé à la paroi de verre les pieds sur le fond qui est plat, baignants dans de la pisse colorée par cette merde, je crains de glisser et de m’étaler, je n’ose pas bouger.
Je suis écoeuré pas seulement par la vue, car l’odeur est épouvantable dans cet espace confiné, asphyxiante ; je vois même des veloutes de vapeur qui s’élèvent de cette monstruosité.

Puis Maria arrive et prend un air surpris, s’adressant à sa copine qui s’est relevée.
« - Oh Sylvianne qu’as-tu fait, mais ce n’est pas là le WC, tu n’as pourtant pas bu ma chérie.
- Non j’ai pas bu, c’est une petite folie qui m’a pris, juste pour voir comment allait réagir ton petit mec, il est tellement trognon.
- Ah d’accord mais regarde le, il ne donne pas l’impression d’aimer ça. »

Et toutes deux elles éclatent de rire.
« - Ah Sylvianne tu me surprends, mais on ne va quand même pas le laisser dans une si vilaine situation.
- Non Maria c’est une plaisanterie mais il était trop excitant tu sais, je vais prendre des gants latex dans cette boîte sur l’étagère, et retirer à la main son caca. »

Mon caca ! C’est n’importe quoi, elle se moque de moi en plus l’effrontée.
Elle enfile donc des gants et la main dans le bocal elle essaie de prendre ce qu’elle y a déposé, elle n’a même pas pris la peine de me sortir pour me protéger des souillures, elle étale plus ou moins cette horreur en la prenant et va la jeter dans le WC.
Puis elle m’attrape avec ses gants souillés et me dépose au fond du bac de douche, et cette fois c’est avec le jet de la pomme de douche qu’elle me rafraîchit, elle pense aussi à laver le bocal avant de me redéposer dedans.
Maintenant elle se douche tandis que l’autre cinglée assise sur le bord de la baignoire lui fait la conversation, elles ont repris leur bavardage de nanas, shopping en ville, jolies fringues, ect…

Je ne suis plus leur centre d’intérêt grand bien me fasse, je ne désire qu’une chose qu’elles me fichent la paix et dormir, ah oui dormir, cette vie de dingue m’épuise. Mais j’ai trop de soucis pour trouver rapidement le sommeil, quelle vie pour moi maintenant en admettant qu’elles ne me fassent pas crever. Petit Homuncule je ne pourrai survivre si je retrouve la liberté, même en admettant que je puisse me nourrir de presque rien, le moindre événement peut me tuer, un chat me prenant pour une souris, le moindre insecte guêpe ou abeille, araignée peut me faire trépasser, quand je vois la taille d’un moustique aussi gros pour moi qu’un oiseau.

Non vraiment, je ne désire même pas m’évader, à tout prendre la protection relative de mon bocal reste le seul moyen de survie ;
« mon bocal tiens je viens d’y penser en termes de possession, comme une maison, et qui n’est même pas très sure ; suffit qu’il tombe de ce meuble où il est posé et crac sur le carrelage il se casse. » Ah non c’est à devenir fou.

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : mar. 01 févr. 2011, 21:02 
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Onzième chapitre

Connaissance approfondie de Sylviane la copine.

Ah oui le bocal, mon bocal, ma maison comme j’ai changé, je ne parle pas de ma minuscule dimension d’homuncule là ! Non je parle de ma façon de penser car ces salopes finissent par m’avoir à l’usure, vivre dans un bocal à la merci de leurs caprices survivre si elles me nourrissent comme le feraient des chercheurs de laboratoire avec leurs souris blanche, je suis plus à plaindre qu’une souris parce qu’elles sont incapables d’analyser leur sort les souris, mais moi si.
J’ai du mal à m’endormir, malgré moi je temps l’oreille sur le bavardage qu’elles ont repris dans le salon à coté, et voila la Sylvianne, sale pétasse qui hausse le ton je reconnais sa voix.

« - Te fait pas de souci pour demain chérie je vais rester chez toi je garderai ton petit copain, à la boutique tu sais on ne travaille pas le lundi tu pourras aller au bureau tranquille, je m’occuperai bien de lui. »

Ouille, je pense ça ne promet rien de bon tout ça, avec cette femme encore plus salope que l’autre que vais-je devenir. C’est pas facile d’être cool, même en pensant que, pas de panique demain est un autre jour.
Quoi il fait jour ? Ah, j’ai quand même dormi, elles me crèvent faut dire, leurs supplices me servent de somnifère.
C’est l’autre garce tiens, qui me secoue elle m’attrape par un bras pour me sortir de ma nuit, insouciante elle m’emmène ainsi suspendu comme font les fillettes avec leurs poupée mais je ne suis pas une poupée moi merde enfin, je suis vivant.

Elle m’a mis debout sur le bord de table, elle est assise devant moi toujours nue ; bien sûr elles se plaisent à poil ces gonzesses, elle pose ses grosses mamelles sur la table et m’emprisonne à l’intérieur.
« - T’est comme une minus petite bite coco, mais tu ne vaux pas une bite tu peux même pas me faire une branlette espagnole. »
Pffu elle est vulgaire en plus, non je suis pas une bite je pense, mais toi t’es une sale conne, n’empêche ses façons de faire sont tordues mais elles m‘excitent quand même j’ai la trique et elle me fait éjaculer, après cela et bien tant pis je pisse, après tout et ce qu’elle m’a fait hier j’ai pas de respect à avoir.
C’est à peine si elle s’en rend compte bien sûr, je suis tellement petit.
« -Ah mais il m’a mouillée le petit salaud, tu ne pourras pas dire que je te fait pas plaisir. »

Cela étant elle frotte mon ventre maintenant contre son téton qui est à mon échelle aussi gros qu’un poing fermé c’est une horreur d’observer des femmes devenues géantes quand on est minuscule, car tout ce que je trouvais mignon chez une femme quand j’avais encore ma taille normale devient horrible chose sous mes yeux de minuscule humain, et sa transpiration me dérange, les pores de sa peau m’apparaissent comme des trous sombres, les gouttes de sueur se forment à leur surface comme des perles brillantes et roulent sur mon corps je suis dans un bain puant.

Ah changement de programme elle lèche mon ventre maintenant « pouah, cette grosse langue de vache sur mon sexe telle que je la vois est loin d’être lisse elle est faite de crevasses et de bourrelets elle est rappeuse ah la vache elle me fait encore jouir.
« -Bon t’as pris ton plaisir mais maintenant à moi. »
Voila qu’elle écarte d’une main les poils et les lèvres de son sexe et elle me plonge tête la première à l’intérieur de son vagin elle mes frotte contre les parois puis elle m’enfonce plus profond je crois que mon crâne viens butter sur le col de son utérus, par réflexe de sauvegarde je tends les bras, mes mains s’enfoncent à l’intérieur, « ça ne finira donc jamais, sans cesse de nouveaux supplices. »

Comme l’autre qui m’avait fait explorer son cul, elle me retire toutes les 20 secondes afin que je respire puis me replonge elles se sont probablement transmis la recette ; ces plongées successives m’épuisent encore et chaque nouvelle étape est plus pénible, son vagin ruisselle de cyprine, me noie chaque fois plus, les parois deviennent par l’effet des orgasmes de cette femme, rigides et me compriment la cage thoracique.
Enfin cela s’arrête, elle me repose sur la table ou je m’écroule comme une chiffe molle, elle me ramène dans le bocal, et me dit.
« - Bien mon bonhomme t’es pas solide, écoute voir, on va faire une promenade tous les deux, il fait très beau dehors, je ferai quelques achats, repose toi je viens te prendre dans un instant. »

Cela ne peut plus durer, il faut que je trouve un moyen pour reprendre ma liberté quitte à mourir, je préfère encore cela.
Mais me laissant trop peu de temps pour réfléchir, trouver une solution, la revoilà habillée d’une jupe légère et chemisier apparemment sans soutien gorge, cette salope ne crains même pas le ridicule ses grosses mamelles se balancent sous l’étoffe légère. Elle m’attrape puis soulève sa jupe, je vois qu’elle a mis un string ficelle, elle s’accroupit puis elle m’enfonce les pieds devant dans son rectum, ma tête juste entourée par les bourrelets de son anus comme je serais dans un passe-montagne et ses poils brillants de sueurs comme une jungle tout autour.

La mince bande de son string passée entre ses fesses, me retiens la tête m’empêchant ainsi d’être éjecté par terre quand elle se relève et nous voila partis pour moi, contre mon gré dans une nouvelle aventure.


A suivre

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 Sujet du message : Re: Histoire de sortilèges
MessagePosté : jeu. 10 févr. 2011, 17:34 
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Douzième chapitre

En promenade avec Sylviane.

Ainsi calé les pieds au fond son cul la tête à peine dépassant la corolle de son anus; la grosse salope m’emmène pour une sortie en ville, je ne vois rien mais j’entends les bruits de la circulation roulement assourdi des voitures bruits de clacksons, ect,…

Parce que des fesses et du trou du cul elle transpire, des liquides piquants et malodorants ruissellent sur mon corps et imprègnent le string ficelle qui bloque le sommet de ma tête ; dans cette inconfortable position pieds et bassin plus haut que mon buste et ma tête, le sang descend dans mon cerveau. Mes oreilles bourdonnent je me sent perdre conscience.

Ah heureusement la position change je cherche à comprendre, j’ai l’impression quelle s’est assise car je ne sent plus de mouvement comme c’était le cas pendant sa promenade. Un peu de calme enfin, je me sent mieux, sans doute sa position assise a remis ma tête et mon corps en situation plus horizontale, je suppose qu’elle s’est installée à la terrasse d’un café.
J’entends maintenant des bruits assourdis, des chocs de verres ou de tasses, mais la pression qu’exercent ses fesses, en position assise sur mon corps, a pour effet de me faire glisser dans l’étui organique qui me comprime; ainsi ma tête exerce une poussée sur la bande de tissu de son string sans que je puisse intervenir.

Elle a du s’en apercevoir car elle passe sa main entre ses cuisses ses doigts emprisonnent ma tête qu’elle sort un peu de sa gaine de chair, et penchée elle me dit.
«- Comment ça va petit trognon ? » bah je ne peux lui répondre, cette situation ne permettant pas l’entretien d’un dialogue.

Elle me repousse au fond de son anus et se concentre sur la dégustation de sa consommation.
« A ta santé salope je pense, mais je ne dis rien, d’ailleurs je sais qu’elle s’en fout de mes états d’âme ».

Ma situation n’est pas fort améliorée car je perçois un mouvement bizarre des muscles de son sphincter emprisonnant mon corps ; ce mouvement exerce simultanément une pression puis un relâchement, pression relâchement, et encore et encore.

Ah c’est quoi ce truc. La salope ! Je comprends, elle joue avec ses sphincters. Cet exercice qui est recommandé après un accouchement, pour remédier au risque d’incontinence.
Et cette gymnastique musculaire à pour effet de me faire glisser, aller et venir, dans la gaine organique qui m’emprisonne, cette salope en repos sur une chaise à trouvé ce moyen pour s’exciter et en jouir, je sent croître les fluides organiques malodorants qui baignent mon corps.
Cela se prolonge et me voila de nouveau au bord de la défaillance et d ‘une perte de conscience.
Quand la situation enfin redevenue plus paisible, je reprends mes esprits.

Un nouveau phénomène me surprends. Un souffle chaud survient du coté de mes pieds, la gaine de chair qui m’enveloppe se dilate, ce souffle circule le long de mon corps jusqu’à mon visage et mon nez, c’est extrêmement malodorant asphyxiant; ceci s’achève avec un bruit de trompette me faisant mal aux tympans, tandis que la rosette de son anus vibre tout autour de ma tête.

Ah la salope encore, elle s’est relâchée, c’est un gaz intestinal écoeurant qu’elle à fait.
De nouveau elle se penche vers moi pour me dire.
« Comment ça va minus ? Excuse moi je viens de faire un pet. »

Si je pouvais te répondre vieille salope tes oreilles siffleraient, mais que faire je suis condamné à subir sans broncher. Maintenant elle repart en promenade ma situation inconfortable prends heureusement bientôt fin, elle rentre au domicile de son amie ; enfin elle me sort de son cul, et me remet dans le bocal, sans même me doucher pour me débarrasser des fluides visqueux malodorants qui imprègnent ma peau.

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