Comme promis, la suite de mes rencontres de la semaine.
Aujourd'hui mardi, j'ai eu deux rencarts, le matin avec un mec assez loin de chez moi, l'après-midi avec un autre mec actif dans la ville à côté de mon domicile.
Le matin donc, je prends la voiture et en route pour M...... sur Seine pour voir un type souhaitant me travestir pour me baiser. J'arrive près de chez lui, je me gare et lui téléphone pour arriver à sa porte. Conq minutes après, je suis devant un pavillon et je sonne. Ou plutôt je vais pour sonner mais la porte s'ouvre avant et un grand blond me fait signe de rentrer.
Salutations et il me montre un tas de vêtements sur une chaise.
"Tu enfiles tout çà et tu me rejoins dans la chambre..."
Je me déshabille rapidement et commence à mettre la lingerie, culotte et sous-tif assortis. Il y a même des bas et un porte-jarretelles. Je passe ensuite à la robe mais j'abandonne vite, mes (grosses) rondeurs dépassent ses capacités. Par contre, je mets la perruque et enfile les escarpins à talons en maudissant le type, je suis pas du tout à l'aise dedans et je manque de me casser la figure en allant le rejoindre.
Il est à poil sur le lit. Il me dit de tourner devant lui pour admirer sa salope. Je m'exécute.
Puis il me fait signe de le rejoindre sur le lit ce que je fait avec enthousiasme. Je plonge sur sa queue mais il me repousse et me fait mettre à quatre patte, en 69 au dessus de lui. Je replonge sur sa queue et la lèche goulument tandis qu'il passe un doigt sur le fond du slip, insistant bien sur ma rondelle qui se gonfle illico.
A présent, je le pompe avec amour, alternant avec des coups de langues sur ses couilles. Il sent assez fort, mélange de pisse et de transpiration, une bonne odeur de mâle mais cela ne me dérange pas, trop occupé à le sucer et surtout à me faire doigter car il a écarté mon slip et me travaille le cul avec ses doigts. Je lui demande de me lubrifier, pour toute réponse il me tend ses doigts et je les suce. Il me les réenfourne tout pleins de ma salive et recommence à me pénétrer.
D'un coup, je le sens haleter et se cambrer, par réflexe je soulève ma tête pour lâcher sa queue, bien m'en prend car à peine à l'air libre, son membre me crache trois bons jets de sperme en pleine figure. Pour une première, je suis servi mais ma première réaction est de l'engueuler pour avoir failli jouir dans ma bouche sans capote.
Il bafouille quelques excuses mais je suis énervé et je décide d'arrêter là la partie de jambes en l'air. Je retourne dans l'entrée et reprends mes habits "civils". Une fois rhabillé, je pars en lui lançant un "au revoir" pas très aimable.
En voilà un que je rayerai dorénavant de mon carnet d'adresses !
L'après-midi, changement de décors. Le type que je rencontre est un jeune d'une trentaine d'année, l'air viril, souriant aussi. Une fois chez lui, je ne peux m'empêcher de lui raconter ma mésaventure du matin. Il rit, moi moins mais il m'assure que je ne crains rien car il est lent à venir et ne veut pas me faire courir le moindre risque. Un type normal en quelque sorte.
Je me mets à genoux, nu, devant lui et lui ouvre sa braguette. Sa queue est légèrement bandée. Je la sors doucement et lèche le gland. Il est circoncis, je préfère. Je parcours sa tige avec ma langue, puis je descend sur ses couilles. Lui il sent le propre. Je reviens sur le gland, je le lèche à nouveau, puis je m'attarde sur la fente, il gémit.
J'ouvre les lèvres et je gobe lentement sa queue, jusqu'à avoir ses poils contre ma figure. Je commence à aller et venir, lentement, il apprécie et moi encore plus. Sa queue n'est pas trop grosse, pas trop longue, je me régale.
Au bout de quelques minutes, j'arrête ma gâterie et lui propose d'aller sur le lit, plus confortable. Il retire ses vêtements et nous nous couchons. En fait, je me blottis dans ses bras, je me frotte contre son torse, je lui caresse les tétons avant de les léchouiller. Puis petit à petit, je descends vers son bas-ventre. Arrivé à bon port, j'engloutis, c'est le mot exact, sa queue et je me mets à le pomper, j'ai envie de le faire durcir au maximum, de lui faire du bien, pour qu'il puisse bien me prendre.
A un moment, il m'arrête, il veut mon cul, çà tombe bien, j'ai très envie de lui offrir !
Il me fait mettre sur le dos, me relève les jambes et plaque sa queue sur mon petit trou. Il me caresse la rondelle avec son membre, doucement, c'est vraiment un expert. Puis il se relève, enfile une capote, me tartine le cul avec du lubrifiant et reprend la position, son gland contre mon anus.
Je n'en plus et je lui demande, je l'implore de me prendre, de me défoncer. Il appuie sa queue sur mon trou et doucement, il me pénètre. Jamais un mec ne m'avait pris aussi tendrement.
Une fois bien à fond, il reste quelques instants immobiles, s'en est trop, je gémis :
"Prends-moi, défonce-moi, fais-toi du bien !"
Comme s'il n'attendait que ça, il commence à me pilonner le cul, d'abord doucement puis plus vite pour terminer en me défonçant comme un fou. Je suis aux anges, son ventre claque contre mes fesses, je hurle, l'encourageant à jouir.
La chevauchée dure, dure, il est en effet long à jouir, mais je ne m'en plains pas.
Au bout de longues minutes, je commence à avoir le cul en feu, il pousse un cri et je sens sa queue se tendre en moi. Il vient de jouir.
Il reste au fond de moi puis se retire, toujours doucement. Décidément c'est un bon coup !
On se nettoie, lui la queue et moi le cul, puis bisous et je rentre chez moi.
|