Citation :
C'est le "style Bibi"!
Ah bon, j'ai un style moi ?
Alors là, j'ai une croustillerie à narrer, mais elle n'est pas du jour. Je vous laisse en juger, puis pourquoi pas critiquer.
Bonne lecture les amis.
Il y a peu, j’ai eu la chance de pouvoir retrouver de bonnes vieilles sensations. En effet, avec un copain que je fréquente régulièrement depuis pas mal de temps, nous nous sommes autorisé un interdit : il m’a pris sans préservatif.
Oui, je vous entends déjà hurler à l’inconscience, et vous avez raison !
Situons les choses. Marc, la cinquantaine, bel homme, est marié à une très belle femme. Nous nous sommes rencontrés il y a à peu près un an; timidement enfoncer dans le siège de sa voiture, caché derrière ses lunettes de soleil, il se trouvait garé dans un recoin d’un parking réputé pour son parcours de santé. Je ne ferai pas de dessin, mais c’est le genre de lieu où l’on ne saute pas que des obstacles, et où il n’y a pas que des joggers qui perdent haleine. J’aime bien les fourrés, mais je préfère de loin “découvrir” mes mecs dans une voiture; aussi je n’hésite pas à marcher le long des parkings pour prendre un peu la température. En arrivant à la hauteur de Marc, après avoir dépassé quelques exhibitionnistes dépourvus d’intérêt derrières les vitres de leur aquarium, je ne m’attendais à rien de spécial : soit le mec à sa bite à la main ou bien se tâte la bosse, soit il nous ignore. Là, sa glace était baissée, sa radio distillait de la musique contemporaine, et ses grandes mains trônaient à mi-cuisse. Je lui adresse un petit sourire, et comme il me le retourne, j’en profite pour “embrayer un début de dialogue” en sortant mon paquet de cigarettes pour lui en tendre une. Ses premiers mots furent : “Non merci, il est beaucoup trop tôt pour moi. Par contre, je peux vous offrir du feu !” Je me penche pour étreindre sa flamme en le remerciant.
Je sais, c’est banal, mais une approche est TOUJOURS banale, seule la suite peut éventuellement rendre cette phase intéressante. Mais en tous cas, ça marche très bien, aussi bien que de se secouer la queue en guise d’appel de phare. Toujours est-il que l’homme parle, et je peux tout autant apprécier son aspect physique que son élocution. Sa voix est posée, il semble cortexisé, a de très belles mains, des mains de meneur, de dirigeant; c’est du moins l’impression qu’elles me donnent. Bref, au bout d’une dizaine de minutes, il m’invite à partager son habitacle “plutôt que de me voir planté là devant lui”, selon ses propres termes.
De fil en aiguille, il m’explique qu’il n’est jamais venu dans un lieu pareil, et n’a aucune expérience “de la chose”. Pudique, il parle souvent par parabole. Je ne veux pas brusquer cet homme charmant, et lui narre lentement l’objet de ma présence ici, ma passion pour le beau sexe viril. Sans vulgarité aucune, je lui dévoile mon amour pour la fellation, le plaisir que j’éprouve, autant à découvrir un homme qu’à l’emmener sur les chemins de l’orgasme. Inutile de vous dire que quelques minutes plus tard, je découvrais le très beau sexe de Marc. Des mains de meneur, disais-je, mais une queue prodigieuse, au gland de velours, une hampe droite… de la belle ouvrage. Lorsqu’il eu bien joui, il se confia davantage, sur la culpabilité de tromper madame, entre autres. Plus à son aise, un peu plus tard, il se retrouvait de nouveau entre mes lèvres, mais à sa demande, cette fois, et il apprécia tout autant.
Il me plaisait beaucoup, complètement hors du commun dans un lieu d’abattage pareil, une perle rare en quelque sorte. Je lui donnais mon numéro s’il désirait me revoir, ne serait-ce que pour boire un coup, discuter “entre mecs”, ou bien les deux, au choix. Peut-être quinze jours passèrent avant qu’il ne m’appelle. Il vint me rendre visite, me remerciant de le recevoir, et assez vite me parla du plaisir qu’il avait éprouvé. Comme une belle bosse déformait son pantalon, je le lui ai ouvert pour m’occuper de son splendide 3 pièces. Il m’a paru encore plus épais, plus massif, mais aussi beaucoup plus long à venir.
Nous nous voyons depuis assez régulièrement. Plus ou moins brièvement, mais…pleinement. Il n’est pas passif, et si de tant à autre il aime me masturber pendant que je le suce tendrement, c’est plutôt vers mes fesses que ses doigts se perdent habituellement. C’est pour cette raison qu’il y a environ trois mois, une fois bien bandé entre mes lèvres, ses doigts cherchant mon anus après avoir relevé mon peignoir (j’aime bien être nu chez moi !), je lui demandais s’il voulait bien me prendre. J’avais envie de le sentir si fort en moi, son gros bout coulissant dans mon rectum. J’étais propre, dégagé, il avait un peu de temps…
Je l’encapote tout en le suçant, le chevauche alors qu’il est allongé sur le canapé, plaçant mon anus juste au-dessus de sa hampe. Par de subtils mouvements de bassin, sa queue découvre un endroit que madame refuse de lui céder. Nous prenons notre temps, et comme avec tout nouvel amant, nous cherchons la position la plus agréable pour nous. Chaque queue, chaque caractère sont différents, et il est important de trouver l’accord entre posture et plaisir. Certains sont fous pour la levrette, d’autres pour le missionnaire, et entre les chevaucheurs, les chevauchés, les extrémistes contorsionnistes… Moi je raffole d’être pris en petite cuillère, allongé sur le côté, ma jambe tenue par mon mec, pris en douceur, mais complètement. J’adore quand leurs couilles roulent contre ma fesse en bout de course, surtout les gros paquets !
Re bref, Marc a pris le temps d’apprécier, il m’a agréablement surpris par sa présence en moi, ne jouissant qu’après que je l’en ai imploré. C’est le seul moment où il a perdu contrôle, m’envoyant une quinzaine de puissants coups de reins en remplissant la capote du précieux nectar. Et c’est parti ainsi, il aimait bien m’enculer lorsqu’il avait le temps de bien faire les choses, comme cette fois où il prit mes jambes le long de son torse, le dos sur l’accoudoir du canapé, lui debout, et qu’il me saillit jusqu’à me faire décharger l’intégralité de mon stock de sperme dans une éjaculation spontanée d’anthologie !
Voyant son grand respect, je lui confiais tout en le nettoyant entre mes lèvres que j’aimerais tant le sentir jouir et s’écouler en moi, que j’avais connu ça jeune, et compte tenu de ce qu’il mettait dans la capote à chaque fois… Une dizaine de jours plus tard, il m’avoua qu’on pourrait faire un dépistage, si j’étais toujours d‘accord. C’est ce qu’on fit.
Je pris beaucoup de soin à me laver, à m’épiler le sexe et l’anus. C’est dans le lit qu’il me prit, en petite cuillère, comme j’aime tant me faire enculer. Il ressortait régulièrement pour que je le suce lorsqu’il était trop près du point de non-retour, puis renfonçait en moi sa grosse queue. Comprenant qu’il allait bientôt venir, je me mis à plat ventre sur un oreiller, bien offert. Son nœud revint écarteler mes chairs alors qu’il pesait de tout son corps sur moi. Il fouilla mes reins, ses couilles contre les miennes, et m’offrit toute la fougue de son organe jusqu’à ce qu’il explose au fond de mon ventre. Comme je lui criais de me remplir, je sentais chaque contraction de sa hampe, une indicible chaleur envahissait tout mon bas ventre pendant ce qui me parut une éternité avant de s’immobiliser, le souffle court. Lorsqu’il eu fini de jouir, il resta un long moment sans bouger, son gros sexe immense planté en moi. Seules ses couilles glissaient le long des miennes, libérées après cet orgasme.
Lorsqu’il roula sur le côté, son sexe encore long coulissant hors de mon intimité, je ne pus résister à l’envie de le prendre entre mes lèvres. Agenouillé entre ses jambes, je l’ai sucé avec passion, avec tendresse, l’étirant entre mes lèvres en enroulant ma langue autour de son gland encore gonflé. Je l’avais eu entre mes fesses, je le voulais maintenant entre mes lèvres ! Lentement, la vie revenait en lui, devenant de plus en plus rigide, ses couilles dans une main, l’autre caressant son ventre plat et poilu. De mon anus béant commençait à s’écouler son sperme, à l’autre bout, j’en voulais autant. Je le pompais bruyamment, respirant par le nez comme une locomotive, salivant pour bien qu’il coulisse. Les premières contractions de sa hampe allaient dans mon sens, je voulais son foutre. Ma main vint alors l’étreindre dans un rapide mouvement de branle, et il jouit de nouveau, m’enfonçant sa barre brulante au fond de la gueule à chaque jet de foutre que j’avalais avec délice.
C’est comme si j’avais du champagne dans la tête, mon cul me brulait, son foutre coulait le long de ma cuisse alors qu’il me déchargeait entre les lèvres. Je lâchais ses bourses, et me mis à me branler sans abandonner sa queue. En quelques va-et-vient, j’ai joui avec beaucoup d’intensité, libérant toutes les tensions accumulées.
Lorsqu’il est parti, je suis resté nu, le ventre délicieusement remué.
Nous l’avons refait encore une fois tout aussi intensément une bonne semaine plus tard, puis nous sommes repassés au préservatif, les rapports anaux étant plus “à risques”.
PS : le test qui a suivi est toujours négatif, comme prévu. Je vais pouvoir le sucer jusqu'à la lie !