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Au Brésil, un garçon s’est tellement masturbé qu’il en est mort.


Un adolescent de 16 ans s’est en effet masturbé 42 fois et il en est mort selon un journal local brésilien.

Son marathon de la masturbation a commencé à minuit. Et sa 42e éjaculation lui aurait été fatale. Retrouvé mort dans son lit, il possédait une grande collection de pornos dans sa chambre.

Sa mère était au courant de la dépendance au sexe de son fils. Elle avait demandé l’aide d’un psy avant de se tourner vers le pasteur du village. Sans succès.

Pour rappel, un homme peut se masturber au maximum 6 à 7 fois de suite…

Source : entrevue.fr

Attraction-répulsion. En jouant sur ce ressort bien connu, Dennis Hof, un entrepreneur américain, espère attirer une clientèle bien particulière dans son nouvel établissement, qui ouvrira ses portes d’ici un mois à 150 km de Las Vegas. Un lieu lui aussi particulier puisqu’il s’agit d’une… maison close.

La prostitution étant légale dans le Nevada, cet entrepreneur spécialisé dans l’industrie du sexe a eu l’idée géniale de proposer un bordel d’un genre totalement nouveau, puisque ses clients auront le choix entre différentes créatures tout droit sorties des… films de SF.

Baptisé « Alien Cathouse » (« Bordel des aliens »), ce nouveau lieu de débauche vous promet « des filles d’un autre Monde » et permettra à tout fan de SF de satisfaire ses fantasmes les plus fous. Inutile de préciser que les « filles » qui officieront dans ce lieu vont devoir porter d’improbables costumes et subir d’interminables séances de maquillage.

Oui mais celui-ci ne doit pas s'abandonner à l'éjaculation, c'est possible de se masturber très longtemps tant qu'on n'a pas joui, mais le faire 42 fois je n'y crois guère

Un archevêque espagnol : "Violez les femmes, parce qu'elles le méritent"

Javier Martinez, l’archevêque de Grenade, a légitimé le viol pour les femmes qui ont avorté dans son sermon de Noël. L'auteur portugais Manuel António Pina, s’en émeut et condamne fermement ses propos dans le Jornal de Notícias (via Google Translate) :
« Quand il s’agit de l’intolérance, l'Eglise espagnole n'a de leçon à prendre de personne… Maintenant que le [Premier ministre] Mariano Rajoy, proche de l'Eglise, a annoncé son intention d'éliminer « la corruption de la loi laïque sur l'avortement » que le gouvernement de son prédécesseur Zapatero a fait adopter, je me suis fait remettre l’homélie de Noël de l'archevêque de Grenade, Javier Jimenez, dans laquelle il affirme « qu'une femme qui a avorté donne à un homme la licence absolue, sans restriction pour abuser de son corps, parce qu’elle a commis un péché comme si elle avait le droit de commettre ce péché'. … Pour l'archevêque, les crimes d'Hitler et ceux de Staline (il a oublié Franco) sont « moins épouvantables que l'avortement ». Dans ces moments-là, même un athée voudrait qu’il y ait un dieu pour condamner ces personnes. »

Une paire de fesses endommage une toile à 30 millions de dollars



En 1961, Piero Manzoni avait mis ses excréments dans des boîtes de conserve et les avaient vendues sérigraphiées. Carmen Tisch, a été beaucoup plus loin au musée Clyfford Still de Denver: cette Américaine de 36 ans s'est servi d'une toile comme d'un papier hygiénique.

Le 29 décembre, elle a d'abord mis un coup de poing à la toile 1957-J no.2 de Clyfford Still, estimée à 30 millions de dollars, l'a égratignée, puis a retiré son pantalon et ses sous-vêtements, pour frotter ses fesses contre la peinture, relate le Denver Post. Selon Lynn Kimbrough, la porte-parole de la police de Denver citée par le journal, Carmen Tisch a également essayé d'uriner sur la toile, et des expertises sont en cours pour savoir si le liquide a effectivement touché l'oeuvre. «Apparemment elle n'aurait pas uriné sur la peinture, ou l'urine n'aurait rien abîmé, donc elle n'est pas poursuivie pour ça», a déclaré Lynn Kimbrough.

Les dommages sur la toile sont estimés à 10.000 dollars. Carmen Tisch est toujours en détention, elle saura vendredi quelles charges sont retenues contre elle.

Le musée Clyfford Still a ouvert le 18 novembre dernier pour exposer les 2 400 oeuvres de l'artiste local, considéré comme le maître de l'expressionisme abstrait.

Marennes (17) : le mari trompé distribue des tracts au supermarché pour se venger

Un quinquagénaire se dit trompé par sa femme. Samedi, il s'est rendu dans la commune de l'amant supposé pour y distribuer des tracts

Si vous pensiez que le mari trompé se réfugiait généralement dans un silence prostré, détrompez-vous. En tout cas, ce n'est pas le genre de Jean-Luc, qui préfère extérioriser son cocufiage comme on crie son amour. Quinquagénaire installé dans le Médoc, il dispose d'une cabane ostréicole à Brouage (17), où lui et sa femme passent leurs vacances depuis quatre ans. Un beau soir de juillet 2011, tandis que les Binuchards se produisaient en concert, devant l'église de Marennes, le Médocain et son épouse ont fait la connaissance d'un homme. « Il est peu à peu devenu l'amant de ma femme », affirme Jean-Luc.

En guise de vengeance, le cocu (magnifique ?) a trouvé une riposte cinglante : distribuer des tracts devant la grande surface du centre-ville de Marennes. « Je me suis rendu ici car c'est la commune de résidence de son amant. Je veux que tout le monde sache ce qu'il m'a fait. »

Il prend le risque

Pour parvenir à ses fins, Jean-Luc n'y va pas de mainmorte, conscient des poursuites judiciaires qu'il pourrait encourir. Sur le document imprimé par ses soins figure notamment une photo de sa femme et de son amant supposé. Leurs visages sont floutés. Mais il y a pire. Car le Médocain a inscrit la première lettre du prénom de son épouse et livre des informations détaillées sur le prétendu cocufieur : âge, situation familiale, activité associative et profession.

Il pousse même le vice jusqu'à mentionner son prénom, suivi d'un X. Et selon lui, le vilain Monsieur X se vanterait d'honorer ses clientes, comme indiqué en d'autres termes sur le document. Un dernier petit mot pour la route : « Il m'a pris ma femme, amour de ma vie (preuves à l'appui). » Et Jean-Luc de laisser son mail sur le bout de papier, dans l'espoir de réunir un comité de soutien.

Ainsi, les clients de la grande surface ont-ils croisé Jean-Luc, petit homme tout mince et dégarni, vêtu d'un blouson de cuir. Dans la grisaille du jour, il dissimule son humeur maussade derrière de petites lunettes de soleil rondes. « Bonjour madame, c'est moi le cocu. » « Bonjour monsieur, je suis le mari trompé. Eh oui ! »

L'air tantôt amusé, tantôt consterné, les passants paraissent le plus souvent incrédules. Toutefois, Jean-Luc trouve un peu de réconfort lorsqu'une femme lui souhaite « bon courage ». « Je compte aussi mettre ces tracts dans les boîtes aux lettres », annonce-t-il.

Il faut dire que le courroux de notre homme remonte au mois d'août. « C'est à cette période que j'ai commencé à avoir des doutes, confie-t-il. Ensuite, grâce aux relevés téléphoniques, j'ai remarqué que le numéro du gars revenait sans cesse. Je me suis donc mis à lire plusieurs textos qu'il lui envoyait. Normal. » Ou pas.

Divorce en vue

En tout cas, certains de ces SMS ont abîmé sa corde sensible. Celui-ci, par exemple : « Je t'aime, bises. » Et puis, il y a tous ces messages pour le moins croustillants, que la décence nous oblige à ne pas divulguer. Une véritable estocade pour notre Médocain, qui s'en est remis au talent d'un détective privé.

« Cela fait vingt-huit ans que nous sommes mariés. En novembre, nous avons même acheté une maison à Bourcefranc. Et aujourd'hui, ma femme vit toujours avec moi… Mais bon, on va tout droit vers un divorce. » Cette issue paraît en effet très probable.

Le photographe italien Oliviero Toscani, familier des campagnes à scandale, a lancé jeudi à Florence un calendrier publicitaire composé de douze photos de pénis, un an exactement après avoir publié un calendrier orné des pubis féminins.



Lors de la présentation au Palazzo Nonfinito, le musée national d'anthropologie et d'ethnologie, Oliviero Toscani a défendu sa nouvelle production: "c'est le pendant de l'autre calendrier. Sans celui-ci, l'autre ne servait à rien, et vice-versa! Il faut bien s'amuser un peu et arrêter de tout rationaliser!"

"Nous les hommes, nous sommes beaucoup plus civilisés que vous les femmes! Vous vous énervez tout de suite dès qu'on parle de vos petites 'affaires'", a-t-il dit, en référence à l'ire de certaines féministes, après la présentation du précédent calendrier.

Les calendriers promeuvent l'image du consortium toscan Vera Pelle, un groupe de tanneurs qui a recours à des colorants naturels extraits de plantes.

Présent lors de la présentation, Rocco Siffredi, star des acteurs pornos italiens, a estimé que "le plus important, c'est de dédramatiser" le sexe.

Un artiste-peintre présent dans l'assistance observait: "moi je pense que le fait de montrer les organes génitaux diminue l'attraction sexuelle".

Selon le critique d'art Philippe Daverio, "le nu féminin est toléré, le mâle malheureusement n'a pas de droit. Ainsi nous sommes ici pour défendre le droits du mâle contre le bigotisme".

Toscani a bâti sa carrière sur le scandale, illustrant jadis les campagnes pour les vêtements Benetton d'un homme mourant du sida (1992) ou de condamnés à mort aux Etats-Unis (2000). Plusieurs de ses campagnes ont été interdites en Italie, notamment celle montrant deux hommes en train de s'embrasser.

Sexe en érection devant la coiffeuse
samedi 21.01.2012, 05:03 - La Voix du Nord

Quelle mauvaise mouche a donc enhardi Mickaël Lenoir, 26 ans, le jour où une coiffeuse vint lui couper les cheveux à domicile ?
Le prévenu, toujours vierge a priori, n'a pas été en mesure de répondre correctement à cette question cruciale posée à l'audience correctionnelle de jeudi. Le malheur a voulu que, le 15 novembre 2011, à Souchez, le garçon ait senti monter son désir charnel pour la jeune femme pendant la coupe.
Celle-ci terminée, le coiffé, ne se tenant plus, dénude prestement le bas de son corps et présente un sexe en érection au moment où la coiffeuse lui rend la monnaie.
Funeste erreur ! Au lieu de demander poliment à la dame si une aventure sentimentale avec lui la tenterait éventuellement à l'avenir, le voilà qui brûle les étapes de la séduction, pressé qu'il est de se débarrasser de son pucelage. La première explication que le jeune homme donna à la barre était encore à côté de la plaque. Sevré d'amour avant de l'avoir connu, il avoue avoir craqué à cause de multiples râteaux subis avec les filles. « J'ai appelé une coiffeuse à domicile dans l'espoir d'avoir une relation sexuelle si le courant passait bien. » Il a interprété la bienveillance courtoise de la coiffeuse au travail comme une invitation à passer à l'acte, oubliant qu'il est interdit de se déshabiller devant quelqu'un sans son consentement. Pire, il la tint un instant par les poignets devant son effroi outré. Devant ses cris en revanche, il prit peur et la relâcha.
Le savon que passa au prévenu la procureure Élise Bozzolo fut proportionnel au passé professionnel du jeune homme. Naguère gendarme adjoint volontaire dans l'est du pays, il a été poussé vers la sortie à la suite de deux hospitalisations, l'une pour dépression à tendance suicidaire, l'autre suite à des violences issues de son mal-être au sein du milieu militaire. Il a introduit un recours à cette décision. Au moment des faits, il était suivi par un psychiatre, à qui il a caché l'agression sexuelle qu'il venait de commettre. « Il est clair que vous ne pouvez retrouver votre ancienne fonction ni être garant des valeurs morales devant des personnes faibles et je m'assurerai qu'il en soit ainsi. Votre acte était prémédité, lui a reproché le ministère public mais vous êtes encore très loin de saisir la gravité de votre agression sur la victime. » M e Yaël Koskas eut beau assurer que son client, dont le casier était vierge jusqu'alors, n'était pas un prédateur sexuel sautant sur tout ce qui bouge, la décision du tribunal coupa en deux les sévères réquisitions du parquet : six mois de prison ferme, suivi socio-judiciaire pendant trois ans sous peine de voir l'emprisonnement triplé dans sa durée, obligation de soins, de travail et d'indemnisation de la victime, à qui mille euros de dommages et intérêts sont accordés.

Une petite chose que j'ai entendu ce matin à la radio. Une maison close spécialisée dans les aliens va ouvrir ses portes très prochainement dans le Névada, à proximité de Las Vegas.
vu dans Menly